Tag power-metal
Les albums d’Evergrey tombent sans faillir tous les deux-trois ans. Encore que A Heartless Portrait sort un peu plus d’un an après le précédent.
On a parfois envie d’un truc simple, carré. Zenith, le nouvel album du groupe américain Seven Kingdoms, c’est un peu ça et c’est très bien.
II y a des mots-clés qui attirent mon regard: « metal progressif », « australien » et « à la Ayreon ». Fierce Deity coche ces cases avec Power Wisdom Courage.
Si ça n’est pas un album à chroniquer un premier avril, je ne sais pas ce que c’est. « Ça », c’est The 1.21 Gigawatts Club de SkeleToon.
Soyons clair: c’est de ma faute. Le nouvel épisode de Radio-Erdorin, pour février 2022, est en retard, mais en plus il a été bloqué par YouTube.
La créativité est souvent une question de frontière. Par exemple, Ego Path, de The Silent Wedding, flirte avec power-metal, prog-metal et symphonique.
La chronique d’Angry Metal Guy me promettait un power-metal à la Sonata Arctica dans ce From the Ashes de Lastera. Promesse tenue? Pas tout à fait…
Il y a des albums que j’achète par automatisme. Glory for Salvation, le dernier opus de Rhapsody of Fire est un peu dans ce cas.
Dans le metal, je n’aime pas tout: le thrash, j’ai du mal. Mais s’il y en a effectivement dans Mechanica Temporis, de Downright Malice, il n’y a pas que ça.
Fût un temps où « claviers » était antinomique de « metal ». Ce n’est plus le cas, mais Beast in Black, avec Dark Connection, pousse très loin le bouchon.
Si vous en avez marre des groupes australiens, dommage! Parce que moi, j’aime beaucoup. Témoin le nouvel album de Teramaze, And the Beauty They Perceive.
Bon, l’épisode de Radio-Erdorin pour octobre est en ligne, sur YouTube et sur Peertube. Quelque part, c’est l’essentiel.
Et voici donc SurVive, le nouvel album de Eternal Flight, un groupe de power-metal venu d’All… euh, de Suèd, euh… attendez. Ah, ben, de la région, en fait.
Eastern High, avec son album Halo, propose un metal progressif puissant et pas trop perché. Enfin, un peu quand même, parce que prog.
Visions of Dystopia invoque des sonorités power-prog-metal. A Nightmare on Dystopian Street, fait penser aux films d’horreur des années 80-90.
J’ai un peu tardé pour acheter Abyss, le nouvel album de Unleash the Archers. Pourtant, j’avais bien aimé le précédent. Un pressentiment, peut-être?
The Revenant, projet solo d’Adrian Benegas, coche un peu toutes les cases du metal symphonique. Ce n’est pas forcément une bonne chose.
À ma droite, un petit chat qui ronronne; à ma gauche, un gros ordinateur qui souffle pour finaliser le nouvel épisode de Radio-Erdorin, pour février 2021.
Parfois, je peine à aligner trois paragraphes sur un album, et parfois, il y a des EP, comme ce Saturnalia de Deathless Legacy, qui m’inspirent.
À cause de groupes comme DGM, les deux hémisphères de mon cerveau se fâchent à mort. Normal, avec un album qui s’appelle Tragic Separation.