Tag post-rock
C’est au cœur d’une actualité bouillonnante que j’ai terminé cet épisode de Radio-Erdorin, pour mai 2024, monté dans le train entre Martigny et Genève.
Parmi les albums de post-rock de ces dernières années, peu m’avaient fait aussi forte impression que celui de Maudits. Le groupe revient avec Précipice.
Avertissement préalable: avec Murmuration, de Darius, ce présent blog entre dans une séquence post-rock assez conséquente.
Il est temps de rattraper la bourde de cette semaine et d’écouter l’intégralité de Every Sound Has A Color In The Valley Of Night, l’album de Night Verses.
Je vais raccourcir le nom de cet album de Night Verses, Every Sound Has A Color In The Valley Of Night, part 1, en « Every Sound 1 », parce que bon.
Après avoir procrastiné pendant toute la semaine, j’ai profité de l’Ascension pour finaliser l’épisode d’avril de Radio-Erdorin, désormais en ligne.
Vous êtes parfaitement en droit de soupçonner que cette chronique de In Waves, de Fall of Leviathan, soit dû au fait que c’est un groupe suisse de post-rock.
Dans le dernier épisode de Radio-Erdorin, je proposais en cadeau The One Above, de hubris., mais que je n’avais pas écouté. C’est désormais chose faite.
Insérez ici mon laïus habituel sur les groupes de post-rock. Il y a des exceptions, comme flyingdeadman le prouve avec As the hearts stop to beat.
Vous l’attendiez avec impatience, même si vous ne le saviez pas. Alors réjouissez-vous: le nouvel album de Monkey3, Welcome to the Machine, est arrivé!
C’est enfin vendredi et l’Undertown annonce une soirée post-rock avec hubris. et Rhône. Et je résiste rarement à une soirée post-rock.
Volkor X ne vient pas en paix. C’est lui-même qui l’annonce et s’autoproclame seigneur galactique suprême. Et cet album, The Loop, lui donne raison.
S’il y a des fois où l’Album de l’Année apparaît comme une évidence, 2023 a été plus compliqué et, jusqu’à très récemment, j’hésitais encore.
Vous vous souvenez que j’aime le post-rock, mais pas souvent enthousiasmé par les albums? End, d’Explosions in the Sky, c’est un peu l’exemple parfait.
Les concerts en milieu de semaine, ce n’est pas idéal. Mais je n’avais pas envie de rater Villagers of Ioannina City, qui passait jeudi à l’Undertown.
Une édition des Restes du samedi variée, du très sombre Faction Senestre au moins sombre Drache, pour finir avec du plus lumineux en la personne de CySev.
Un peu moins d’un mois s’étant passé depuis le concert, je peux donc aborder Rupture, le nouvel album de Lost in Kiev, avec le recul nécessaire.
Le premier album d’Autómata, sorti il y a deux ans, ne m’avait pas enthousiasmé, mais leur nouvel opus, Heart Murmur, propose du bon post-rock cinématique.
Le post-rock sait parfois être explosif. Parfois pas et Sigur Rós est assez typique de l’approche « parfois pas », comme l’atteste leur nouvel album, ÁTTA.
Quand L’Usine de Genève annonce du post-rock, je dresse l’oreille. Surtout quand il s’agit de The Ocean, This Will Destroy You et Lost in Kiev.