Dans le monde des conventions de jeu, il y a les grands raouts internationaux-ou-presque, comme le FIJ, Trolls & Légendes ou OctoGônes, et puis il y a les événements locaux ou régionaux. Ce n’est pas faire injure à la Nuit du Jeu Oniris que de dire qu’elle fait partie de la seconde catégorie.
Bon, voilà, Freaks’ Squeele, le jeu d’aventures est sorti, je peux donc retourner à ma médiocrité routinière habituelle, entre les cartons à ranger, la villa à gérer et les chats à grattouiller. Ou pas.
Trois jours, six parties de Freaks’ Squeele, le jeu d’aventures, trois créations de personnage – dont une avec Florent Maudoux qui illustre un des personnages – plein de bouquins vendus, beaucoup de bières, beaucoup de crêpes et beaucoup de gens: tel est mon bilan de l’édition 2017 d’OctoGônes.
… ou de la sortie, puisque dès demain, 29 septembre, Freaks’ Squeele, le jeu d’aventures est officiellement disponible en boutique. Après un poil plus de deux ans de travail sur le sujet et quelques malédictions diverses, c’est un peu le soulagement pour mon co-auteur principal, Antoine, et moi-même.
Je ne sais pas si l’idée était de prendre au mot les mauvaises langues qui prétendent que le Valais est resté coincé dans les années huitante, mais cette édition 2017 de DivinaSion affichait une thématique “1980” assez marquée, avec son sous-titre “Laser Hawk” et sa déco de bar ultra-thématique, avec console Atari, Mac SE et néons qui clignotent.
Et zoupla! C’est parti pour RPGaDay, le défi des questions-réponses sur le jeu de rôle, version 2017. Voici donc ma première fournée de réponses
À l’origine, il y avait un Plan Génial: retourner à la Japan Expo pour y faire des démos de Freaks’ Squeele, le jeu d’aventures.
Or donc, ce week-end, j’étais encore en convention, à La Horde. La Horde, c’est la convention du coin de la rue. Bon, pas tout à fait, mais elle est à environ trente minutes de chez moi à pieds, ce qui change pas mal des bleds exotiques accessibles avec douze correspondances et des moyens de transport exotiques.
Je peux me tromper, mais il me semble que j’ai participé à toutes les éditions d’Orc’idée depuis sa création en 1992, à la Croix-d’Ouchy. On pourrait dire que c’est devenu une sorte de rituel, une habitude, une routine, mais ce n’est pas mon point de vue.
Hier, je suis tombé sur un article du quotidien britannique The Guardian qui parlait de jeu de rôle : Monsterhearts: ‘A lot of queer youth are made to feel monstrous by people around them’.
Alors bon, ces temps, je suis un peu le nez dans le guidon avec l’écriture de Freaks’ Squeele et de ses divers suppléments, mais j’ai quand même vu passer sur Twitter une râlaison de Greg Pogorzelski sur la notion de fiction, d’univers partagé et du canon – c’est-à-dire ce qui fait partie du contexte officiel d’une fiction.
Ça fait un moment que je vous bassine avec le « Projet Gingerbread », un jeu de rôle sur lequel je bosse depuis maintenant quelques mois avec les collègues de 2 dés sans faces. Depuis vendredi passé, c’est officiel: derrière ce nom de code se cache Freaks’ Squeele, le jeu d’aventures. Autant dire que je suis tout fier!
Après les groupes éponymes, la tendance de l’automne est aux bouquins qui ont pour titre Clémentine. Bon, ce n’est pas tout à fait vrai: ce sixième tome de la série Freaks’ Squeele est une bande dessinée et l’ouvrage de Cherie Priest chroniqué il y a peu est sorti depuis plusieurs années. Au fait, pourquoi s’appelle-t-il “Clémentine”? Je ne sais pas, je cherche encore…
Déjà cinq tomes avec ce Nanorigines et Freaks’ Squeele m’apparaît comme une de mes séries préférées, un délire construit à mi-chemin entre les univers de Harry Potter et d’In Nomine Satanis/Magna Veritas, le tout traité à la double sauce du manga shoujo et de l’humour décalé.
L’autre soir, en faisant un peu la poutze dans ma bibliothèque, je suis tombé sur mes trois volumes de la bédé Freaks’ Squeele de Florent Maudoux et je me suis dis que ça faisait longtemps qu’on n’avait pas eu droit… Continue Reading →
En général, quand je parle de quelque chose “à la française”, ça veut souvent dire “en moins bien”, voire “en tout pourri”. Exemples: variété française, série télé française, etc. Il y a fort heureusement des exceptions et la bande dessinée… Continue Reading →
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