Fédération, tome 3: Hybrides
Après le précédent tome de Fédération, le policier Alex Greene retourne à sa routine. Sur une Terre qui accueille des extra-terrestres.
Rock et metal progressifs, science-fiction, jeu de rôle et divagations de vieux gauchiste; maison fondée en 2002
Après le précédent tome de Fédération, le policier Alex Greene retourne à sa routine. Sur une Terre qui accueille des extra-terrestres.
Terre, 2084. L’humanité semble vivre ses dernières années lorsqu’arrivent d’immenses vaisseaux: « Nous sommes Renaissance, n’ayez pas peur. »
Dans un avenir lointain, la colonie de Titan reçoit les plans de vaisseaux, les Crusaders, pour un voyage de 32 milliards d’années-lumière.
L’expression suisse “déçu en bien” illustre à la perfection le sentiment que j’éprouve à la lecture de Outsphere, roman de Guy-Roger Duvert.
Au début de ce deuxième tome de la BD d’anticipation Fédération, le policier new-yorkais Alex Green se retrouve à New York – mais à New York Underwater, également titre de cet épisode.
Trois auteurs, trois détectives, trois affaires nébuleuses qui mélangent Crimes, Aliens & Châtiments – et ce sont Pierre Bordage, Laurent Genefort et Laurent Whale qui s’y collent! Classique? Pas vraiment, parce qu’Ils sont arrivés!
Game of Thrones? Pfah! S’il y a une nouvelle saison que j’attendais avec impatience, c’est bien celle de Star Trek Discovery. L’épilogue de la première saison promettait un chouette mélange entre mystères spatiaux et figures légendaires et, au final, je ne suis pas déçu.
Que feriez-vous si, à deux heures du matin, vous découvriez une statue géante au milieu de la rue? April May, elle, appelle son pote vidéaste et ils tournent une vidéo qui, sans qu’ils s’en rendent compte va changer le monde. C’est le début de An Absolutely Remarkable Thing, de Hank Green.
Je ne lis pas souvent des traductions. Là, il se trouve que je cherchais quelque chose en petit format pour lire dans le bus et que je suis tombé, dans notre bibliothèque, sur La Tour de Babylone, un recueil de nouvelles de Ted Chiang que mon épouse avait acheté il y a quelques temps. Il est sorti en anglais en 2003 et en 2006 en version française (et 2010 pour l’édition poche que j’ai lue).
Les extra-terrestres sont venus, une fédération stellaire de plusieurs peuples, pacifique et bienveillante. Ils ont proposé que la Terre rejoigne cette fédération après un simple test. Sauf que les Terriens ont échoué à ce test. C’est le contexte que propose ce premier tome de Fédération, scénarisé par Ange avec Alain Janolle au dessin.
Remanence, de Jennifer Foehner Wells, est un roman de science-fiction qui fait suite à Fluency, que j’avais chroniqué en ces pages, avec une conclusion entre enthousiasme et déception. Je dois avouer que cet enthousiasme est quelque peu retombé à la lecture de ce deuxième tome.
Et si, dans un avenir proche, la Terre recevait un message extraterrestre et que ce message remettait en cause de façon fondamentale le concept de sapience et de civilisation? C’est, dans les grandes lignes, le principal de Existence, gros roman de David Brin.
En continuant à fouiller dans notre bibliothèque, en préparation de notre déménagement, je suis tombé sur un autre bouquin de Robert Heinlein que je n’avais pas lu, L’enfant tombé des étoiles.
Bon, j’étais parti pour vous écrire une note sur Implosion, ce septième tome de Orbital, bande dessinée de science-fiction signé Pellé (dessin) et Runberg (dessin), dans la foulée des tomes précédents. Or, en consultant mes archives, je m’aperçois que je n’ai chroniqué que les deux premières “missions”, à savoir les tomes un à quatre de la série.
Je continue mon périple un peu aléatoire, au gré des republications, dans l’œuvre de Roland C. Wagner avec Poupée aux yeux morts, réédition d’une histoire en trois tomes qui parle de voyage spatial, d’évolution, de drogues, d’amour et de jeux de mots foireux. Pile mon truc, quoi!
L’Étrangère est un bouquin qui ne peut finir que mal. C’est plus ou moins dit depuis le début; je vous spolie à peine le chapitre trois, là. Court roman de science-fiction signé de l’auteur américain Gardner Dozois. Il date de 1978, mais je l’ai reçu par service de presse de Actu SF, qui vient de le rééditer.
C’est l’histoire de cinq potes qui essayent de finir la tournée des douze pubs de leur patelin natal, vingt ans après, en terminant par celui qui s’appelle The World’s End. Et c’est là que les extra-terrestres envahissent la Terre.
Il y a plusieurs décennies, les premières sondes spatiales américaines ont repéré, dans la ceinture d’astéroïdes entre Mars et Jupiter, quelque chose qui pourrait bien être un vaisseau spatial. Dans Fluency, premier roman de la série Confluence écrit par Jennifer Foehner Wells, les premiers astronautes arrivent en vue du vaisseau, dans le plus grand secret.
Il est 15 h 45 à Washington, 21 h 45 à Paris, 12 h 45 à Mountain View, 5 h 45 au Japon. One Minute, le feuilleton numérique de Thierry Crouzet, c’est l’histoire de cette minute précise. Celle où la vidéoblogueuse Sara Cash a annoncé que les radio-télescopes de la planète avaient capté un message extra-terrestre. Juste avant qu’une panne électrique ne plonge la planète dans le noir complet.
Dans La Lune n’est pas pour nous, roman de Johan Heliot, il y a des Nazis, des Zeppelin, du dieselpunk, de l’uchronie et des extra-terrestres. Je signe où? En fait, avant de signer, j’aurais peut-être dû faire attention à un léger détail: ce livre est en fait non seulement la suite de La Lune seule le sait, que je n’ai donc pas lu, mais il précède également La Lune vous salue bien. Du coup, j’ai un peu l’air fin en déboulant au milieu d’une trilogie.