Noveria: Aequilibrium
Ah, le power-metal progressif, ce genre génial quand il est bien fait! Eh bien Noveria, groupe italien de power-prog, nous propose Aequilibrium.
Rock et metal progressifs, science-fiction, jeu de rôle et divagations de vieux gauchiste; maison fondée en 2002
Ah, le power-metal progressif, ce genre génial quand il est bien fait! Eh bien Noveria, groupe italien de power-prog, nous propose Aequilibrium.
Qu’est-ce que la vie d’une personne? Paragon, le nouvel album d’Uneven Structure, groupe de metal progressif français, tente de répondre à cette question.
C’est par un biais étrange que j’ai découvert Étrange. Vous avez dit Étrange? Comme c’est bizarre. D’accord, je dois être au moins le trentième à faire cette blague à propos de cet album de metal progressif instrumental, premier du duo éponyme et néanmoins français.
Avec The Regal Bastard, le musicien américain d’origine suédoise Nad Sylvan poursuit son histoire vampirique, commencée avec Courting the Widow et continuée par The Bride Said No (que je n’ai pas écouté), sous la forme d’un nouveau concept-album de rock progressif aux faux airs de Genesis.
Nouvel album du groupe français de metal symphonique Qantice, The Anastoria continue allègrement la fresque de science-fiction baroque entamée par ses deux prédécesseurs.
Dans la série “comme-son-nom-l’indique-metal”, voici Rhapsody of Fire, groupe de metal symphonique, et son album, The Eighth Mountain. Au moins, sur ce point, on n’est pas déçu (à part que ce n’est pas leur huitième album). Musicalement, c’est autre chose.
Il y a des jours où on tombe sur des trucs vraiment bizarres. Par exemple, Quidam, de Violence Mortuaire, que j’ai d’abord croisé sur le blog de Fred Bezies avant d’être directement contacté par le groupe. Je suis faible, j’ai craqué.
Ça fait un moment que je ne vous avais plus parlé de Coheed and Cambria. Leur nouvel album The Unheavenly Creatures – ainsi qu’un article paru chez mon confrère L’Ours inculte – est l’occasion de revenir sur ce qui est un chouïa plus développé que simplement un énième groupe américain de metal progressif.
Ceux d’entre vous qui aiment se balader dans les cercles du metal symphonique reconnaîtront sans doute le nom de Michael Romeo – guitariste de Symphony X – qui apparaît sur cet album, War of the Worlds, Pt. 1. Autant vous le dire tout de suite: ce n’est pas du reggae.
En règle générale, j’avoue volontiers une tendresse coupable pour les albums de power-metal symphonique, malgré tout leurs aspects kitsch et leurs claviers “pouët-pouët-licorne” – selon l’expression d’une amie. Pourtant, j’ai du mal avec Lionheart, dernier opus en date de Serenity.
Il paraît qu’à ses débuts, Moonspell, c’était quelque chose de brutal. Moi qui n’ai découvert le groupe qu’assez récemment – avec Alpha Noir – j’ai plutôt été attiré par son côté mélodeath et par l’hommage massif à Sisters of Mercy sur le précédent album, Extinct. Ce 1755 est d’une autre trempe et, pour certains, c’est une forme de retour aux sources.
On attendait Time II, mais le groupe finlandais de death-metal mélodique Wintersun nous livre à la place The Forest Seasons. Au moins, on reste dans la thématique du temps qui passe.
Le rock progressif est un genre qui a produit son lot de supergroupes – il est même possible qu’il soit à l’origine du terme. Lonely Robot est un de ces projets “all-stars” qui ont fleuri ces dernières années, projet que je découvre avec ce nouvel album The Big Dream.
S’il fallait une mesure pour estimer la distance parcourue par le groupe anglais Anathema de ses débuts doom à aujourd’hui, le titre de leur nouvel album, The Optimist, serait un bon indice.
C’est via Progcritique que j’ai découvert Fall, deuxième album du groupe britannique Freedom to Glide, qui propose un néo-prog mélancolique et un concept sur la Deuxième Guerre mondiale, deuxième volet d’une trilogie commencée avec leur premier album, Rain.
Epica revient avec The Holographic Principle et une question qui peut se résumer par “sera-t-il meilleur que le précédent?” Il faut dire que The Quantum Enigma avait placé la barre très très haut dans le style metal symphonique à grand spectacle.
L’âge a quelque peu calmé les Suédois d’Evergrey: leur nouvel album, The Storm Within – un concept autour d’une histoire d’amour interstellaire – a un côté très policé, presque civilisé, qui contraste quelque peu avec le metal progressif énervé et rageux de leurs débuts. Mais c’est juste un côté.
Gunfire est un groupe italien de metal symphonique, Age of Supremacy est leur dernier album et, avec celui-ci, je commence une série d’albums récupérés par le service de presse de Jolly Rogers Records, un label italien qui a eu la gentillesse de me contacter et de me donner accès à leur matériel.
On a déjà vu des “Part One” sans “Part Two”, mais ce n’est pas le parti-pris de Vanden Plas, qui vient de sortir Chronicles of the Immortals: Netherwold (Path 2), la suite de leur concept-album de métal progressivo-symphonique avec des vrais bouts de vampire dedans.
Lorsque Dream Theater a annoncé son nouvel album, The Astonishing, les prog-heads de la planète ont doublement dressé l’oreille. D’abord, parce que Dream Theater et ensuite parce que le groupe américain annonçait un double album, trente-quatre pistes et deux heures et demie de musique.