Jolly: Family
Six ans après le deuxième opus de leur Audio Guide to Happinness, Jolly revient avec un nouvel album, Family, entre rock, prog, pop et metal.
Rock et metal progressifs, science-fiction, jeu de rôle et divagations de vieux gauchiste; maison fondée en 2002
Six ans après le deuxième opus de leur Audio Guide to Happinness, Jolly revient avec un nouvel album, Family, entre rock, prog, pop et metal.
Imaginons un Fates Warning alternatif où John Arch serait encore chanteur. Il ressemblerait sans doute au deuxième album de Arch/Matheos, Winter Ethereal.
Parmi les albums achetés ces derniers temps, en voici deux qui sont pas mal, mais, pour des raisons différentes, que je peine à chroniquer au format normal. Et comme ce sont deux albums instrumentaux (dans le titre, c’est donc « instrus », pas « intrus »), c’est l’heure des Restes du samedi, avec Driving Slow Motion et Mörglbl.
Pour un peu, j’ai failli oublier cette édition 2019 d’Octopode! Si j’y étais allé en 2016, en 2017 j’avais la tête dans les cartons et, l’année passée, j’étais à RPGers. Heureusement, la promo sur les réseaux sociaux a bien fait son travail.
Un an après les événements de la saison 2, nous voici de retour à Hawkins, Indiana, début juillet 1985, pour une nouvelle saison de Stranger Things. Les enfants ont grandi, les adultes ont vieilli et, sans surprise, les menaces reviennent.
Avec The Regal Bastard, le musicien américain d’origine suédoise Nad Sylvan poursuit son histoire vampirique, commencée avec Courting the Widow et continuée par The Bride Said No (que je n’ai pas écouté), sous la forme d’un nouveau concept-album de rock progressif aux faux airs de Genesis.
C’est Angry Metal Guy qui m’a fait découvrir Graveshadow via leur dernier album, Ambition’s Price. Le moins qu’on puisse dire, c’est qu’ils ne sont pas fans de ce qu’ils appellent le « nightwishcore » – le metal symphonique à voix féminine. Pourtant, cet album a trouvé grâce à leurs oreilles et j’ai décidé de m’y intéresser.
Dream Theater qui passe en concert à Guitare en Scène, littéralement à cinq bornes de chez moi? C’est le genre d’occasion où je ne réfléchis même pas et j’achète le billet tout de suite.
Je ne suis pas sûr d’avoir vraiment apprécié cette deuxième saison d’American Gods. Je préfère le dire tout de suite pour qu’il n’y ait pas d’ambiguïté. Et non, je n’ai toujours pas lu le bouquin de Neil Gaiman.
Dans la série des concerts de post-rock avec des groupes que je ne connais pas, mercredi passé c’était Radio Moscow à l’Usine de Genève! Bon j’exagère un peu: si c’est effectivement un groupe que je ne connais pas, en première partie, il y avait Monkey3.
Quand on parle metal progressif, il est difficile de passer à côté de Dream Theater, un des pionniers du genre. À fortiori quand le groupe américain sort un nouvel album, comme ce Distance over Time.
Nous sommes en 1959, la deuxième mission vers Mars va bientôt atterrir et Yasmin rentre chez elle, quelque part entre les États-Unis socialistes d’Amérique et la Nova Africa. Dans ce Fire on the Mountain, de Terry Bisson, elle vient recueillir l’héritage d’un aïeul qui a été témoin de l’événement qui a changé l’histoire de l’Amérique.
Au début de Paradox Bound, de Peter Clines, Eli est un enfant de Sanders, petite ville du Maine dans laquelle il ne se passe jamais rien. Sauf quand une Ford A pilotée par Harry, une jeune femme vêtue d’une redingote et d’un tricorne déboule dans sa vie. Plusieurs fois.
Ne vous laissez pas tromper par le nom: The Great Adventure, le dernier album de Neal Morse – OK, techniquement, « The Neal Morse Band » – n’a pas grand-chose à voir avec The Grand Experiment, mais plus avec son précédent, The Similitude of a Dream.
En général, quand on parle de dreadnought, on imagine un vieux navire de guerre, un gros tas de métal obsolète. Eh bien Dreadnought, c’est un peu ça: un mélange improbable entre du black metal et du prog-folk vintage. Vous ne me croyez pas? Écoutez donc ce A Wake in Sacred Waves – découvert via Angry Metal Guy.
Il y a un peu plus de trois ans, je vous parlais de One Small Voice, album de proto-prog-metal du groupe américain Heir Apparent, qui avait d’ailleurs splitté avant même sa sortie. Surprise! Trente ans plus tard, les voici qui reviennent avec The View from Below.
En 1795, un jeune colonel de l’armée du roi de France débarque à la Nouvelle-Orléans insurgée. En apprenant qu’il ne doit pas intervenir lorsqu’une armée espagnole va revenir pour reprendre et piller la ville, il se mutine. C’est ainsi que commence l’épopée de Napoléon en Amérique, signé Sébastien Capelle.
Une jeune femme et un robot, tirant un kayak, traverse une zone aride au milieu d’une tempête de sable. Ainsi commence The Electric State, le dernier ouvrage de Simon Stålenhag. Il se déroule dans ce qui était autrefois les États-Unis, mais en cette année 1997 alternative, c’est un no man’s land entre les USA et Pacifica.
Les fêtes, c’est la période où on abuse des bonnes choses et on le regrette, l’estomac lourd, l’œil jauni et l’esprit brumeux. Dans mon cas, c’est une surdose de death-metal. Un peu trop inspiré par des chroniques de Angry Metal Guy, j’ai ramassé les albums de Beyond Creation, Hinayana et Irreversible Mechanism.
Ça fait un moment que je ne vous avais plus parlé de Coheed and Cambria. Leur nouvel album The Unheavenly Creatures – ainsi qu’un article paru chez mon confrère L’Ours inculte – est l’occasion de revenir sur ce qui est un chouïa plus développé que simplement un énième groupe américain de metal progressif.