Conclusion du diptyque lancé au tome 50, cette nouvelle livraison de Saint-Denis des Amériques, de la série uchronique Jour J, fait la part belle à l’action.
Dans ce 50e tome de la série uchronique Jour J, intitulée Saint-Denis des Amériques, Philippe VII, en son palais de Manhattan, règne sur la Nouvelle-France.
Paris, 1633: son roi, son cardinal, ses mousquetaires, ses duellistes. Et, dans l’univers de la bande dessinée Gueule-de-cuir, son Zodiaque du Diable.
Une ville-archipel qui ressemble à Venise, un événement mystérieux qui envoye des calamités sur la cité. C’est La Venise des Louves, BD surprenante.
Quand je pense « film français à gros budget », je crains les « comédies » pas drôles. Mais Les Trois Mousquetaires: D’Artagnan est une bonne surprise.
En 1610, un homme s’élance, plante son poignard dans l’habitacle du carrosse et transperce… un mannequin. Ainsi commence L’Affaire Ravaillac.
Le Dernier Mousquetaire est un diptyque de la série de BD uchronique Jour J, centré sur Charles de Batz de Castelmore, plus connu sous le nom de D’Artagnan.
La mort du docteur Lacanne et un attentat lancent l’enquête de Thésard de la Meulière, mancequetaire, dans Les Questions dangereuses, de Lionel Davoust.
Si je devais résumer en une phrase L’Héritage de Richelieu, je dirais « Les Lames du Cardinal, vingt ans après ». En effet, il s’agit là d’une suite officielle, signée Philippe Auribeau, de la trilogie de cape et d’épée de Pierre Pevel.
Deuxième tome du diptyque sur Eusèbe, le si mignon lapin de De Cape et de Crocs, Si ce n’est toi… est une preuve supplémentaire que cette bande dessinée est une des meilleures du monde. Ouais, carrément! Ceci posé, j’avoue que… Continue Reading →
J’avoue: je n’ai pas d’idée cette année pour un poisson d’avril, alors je me dis qu’autant faire la chronique d’une série bien tarte à la crème, à savoir Galavant, dont la deuxième saison vient d’être diffusée aux USA. J’avais beaucoup aimé la première et je me réjouissais à l’avance de ce renouvellement.
Bienvenue dans L’Archipel des Nuées, roman d’Éric Nieudan dans lequel les îles sont des pics, les mers des nuages et les flux æthériques servent de courants aux nefs volantes!
Galavant le brave, le fier, le redresseur de torts, est le héros de cette série télé. Il vit heureux au Moyen-Âge avec sa belle et douce Madalena, jusqu’au moment où cette dernière est enlevée par l’odieux roi Richard, qui entend bien l’épouser. Sauf qu’au moment où le héros, après avoir pourfendu un parterre de sbires, vient sauver sa belle et celle-ci lui annonce que, tous comptes faits, elle préfère la gloire et la fortune, merci et à jamais!
Jack of All Trades est une série télé assez ancienne (une quinzaine d’années) qui était passée sous mon radar avant que Ghislain ne m’aiguille dessus au hasard d’une conversation sur la carrière de Bruce Campbell et sur les inspirations Feng Shui.
Or donc, la fabuleuse série De Cape et de Crocs s’était conclue il y a quelques années sur un dixième tome qui, s’il résolvait la trame en cours, laissait néanmoins plusieurs questions sans réponse. Ce onzième tome, intitulé Vingt mois avant, entend bien en proposer quelques-unes, à commencer par celles tournant autour d’Eusèbe, le compagnon lagomorphe de nos deux héros.
Grégoire Henry Tercastel, comte de Montbazillac, est un ancien mousquetaire – gascon, comme il se doit – retiré sur ses terres au crépuscule de sa vie, qui se retrouve subitement transporté sur Mars, rajeuni, jeté au beau milieu d’une embuscade entre des hommes-bêtes et le convoi d’un lettré et de sa chambrière. C’est le point de départ du Mousquetaire de Mars, signé Éric Nieudan. Oui, ça veut dire « copinage », aussi. Un peu.
Il m’a fallu un peu de temps avant d’appréhender la trilogie de romans de Pierre Pevel connue sous le nom de Les Lames du Cardinal. Ce n’est pas vraiment ma faute (OK, si : un peu), mais je me méfie des pastiches et des pavés.
Avec la réédition de Câline et Calebasse, bande dessinée signée Mazel et Cauvin parue dans Spirou entre 1969 et 1992 (mais surtout dans les années 1970), je suis en train de me taper une madeleine de Proust enrichie à la nostalgie pure. J’ai un peu honte, mais comme le dit la pub (et, du coup, j’ai doublement honte), c’est bon la honte!
Dixième et dernier volume pour De Cape et de Crocs, une des séries majeures de la bande dessinée francophone de ces vingt dernières années: De la Lune à la Terre conclut de fort brillante manière la saga créée par Alain Ayroles et Jean-Luc Masbou. Je vous avais déjà pondu un article sur le précédent volume en parlant de clôture, mais cette fois-ci semble être la bonne – encore que.
Les Aventures de Philibert, capitaine Puceau avait l’air d’être une parodie de film de cape et d’épée, avec Alexandre Astier dans le rôle du méchant. Y’en a.
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