Tag post-hardcore
Pour cette chronique de leur dernier album, Dreams of Being Dust, vous me permettrez d’abréger le nom du groupe en The World Is a Beautiful Place.
Je ne sais pas ce qu’ils ont avec le post-hardcore, mais les Belges semblent décidées à saturer le marché. Par exemple, Amenra et leur EP De Toorn.
Il y a des groupes qui annoncent la couleur, et plutôt deux fois qu’une. Par exemple, les Français de Morteville, dont le premier album est intitulé Mourir est vivre.
Cyril, bassiste de Six Months of Sun, est également celui de Lilium Sova et il m’a envoyé un lien vers cet album, Lost Between Mounts and Dales / Set Adrift in the Flood of People.
Je vais reprendre sans vergogne un artifice utilisé par de multiples chroniqueurs: Ridiculous and Full of Blood, de Julie Christmas, est fidèle à son titre.
Le fait que j’achète Stasis, le nouvel album de Hippotraktor, sans connaître quoi que ce soit au groupe ne doit rien au hasard: j’ai été influencé.
C’est un événement singulier au Château de La Sarraz: une dégustation de vins suivie d’un concert de Darius et Mars Red Sky, organisé par Humus & Wine.
Comme My Diligence allait ouvrir pour DVNE à Martigny, j’ai voulu écouter leur album. Sauf que DEATH.HORSES.BLACK. n’est que trois jours après.
Avertissement préalable: avec Murmuration, de Darius, ce présent blog entre dans une séquence post-rock assez conséquente.
L’histoire ne se répète pas. Sauf quand elle se répète. Bref, je suis retourné voir DVNE aux Caves du Manoir de Martigny, avec l’ami Christophe.
Deuxième concert du mois et non des moindres: Enslaved débarque à l’Usine de Genève, avec Svalbard et Wayfarer pour une soirée qui sent le soufre. Et la bière. Et la sueur. Bref.
C’est à une source inhabituelle que je dois la découverte de Brutus et de leur nouvel album Unison Life, dans un registre assez inhabituel pour moi.