Brooks vit en Californie, entre le Green New Deal et les « Magas », la cause perdue qui donne son titre à ce roman de Cory Doctorow, The Lost Cause.
Au début de The Bezzle, de Cory Doctorow, Martin Hench et son pote Scott Walls découvrent par hasard une arnaque basée sur le trafic de fast-food.
Marty Hensch débrouille des écheveaux d’argent sale. Un vieil ami lui demande un service et dans ce Red Team Blues, de Cory Doctorow, ça va mal tourner.
La conquête spatiale est un élément emblématique du solutionnisme technologique. Sauf que ça ne fonctionne pas comme ça.
Cory Doctorow, est un auteur et activiste. How to Destroy Surveillance Capitalism est le titre de son dernier essai, qui s’attaque aux GAFAM.
Au début de Attack Surface, de Cory Doctorow, une spécialiste de la sécurité informatique essaye de concilier son boulot et ses états d’âme.
Comme je n’avais pas assez de bouquins sur ma pile à lire – oui, c’est du sarcasme – j’ai acheté la version numérique du nouveau bouquin de Cory Doctorow, Radicalized. On pourrait le résumer par « comment devenir un terroriste en quatre leçons ».
Je viens de finir le dernier roman de Cory Doctorow, Walkaway. Il est très bien, il est très dense et, du coup, cette chronique va également être quelque peu massive. Et ce n’est pas seulement dû au fait que le français est un langage verbeux.
Il fallait bien quelqu’un comme Cory Doctorow pour détourner une des phrases les plus mythiques d’Internet et, avec son essai Information Doesn’t Want to Be Free, sérieusement débroussailler la question des droits d’auteur, de la copie, des verrous numériques et, plus généralement, de la liberté d’expression et de création au XXIe siècle.
Si je devais résumer Overclocked, recueil de nouvelles de science-fiction signé Cory Doctorow, je dirais qu’il y a du bon et du moins bon. Comme souvent avec cet auteur, en fait. Disons plus simplement qu’aucune des six nouvelles ne m’a laissé une impression impérissable – à part peut-être “When Sysadmins Ruled The Earth”, qui m’a causé un bout d’insomnie, mais seulement parce qu’il y atomise Genève et tue des chats.
Dans la série des suites casse-gueule, Homeland, de Cory Doctorow, est la suite de l’excellent Little Brother, un roman jeune adulte dans une Amérique contemporaine douloureusement similaire à notre époque, mais où un attentat terroriste a précipité la ville de San Francisco dans un état de surveillance presque totale.
Avouez que, d’entrée de jeu, avoir Charles Stross et Cory Doctorow à l’affiche, ça fait un peu dream team pour ce The Rapture of the Nerds, roman de science-fiction décalé bien comme il faut que l’on pourrait résumer par “la Singularité vue par quelqu’un qui ne l’aime pas”.
Comme je l’avais prédit vendredi, il ne m’a pas fallu longtemps pour finir Pirate Cinema, le dernier bouquin de Cory Doctorow. Enfin, dernier, c’est vite dit: il en a publié tellement ces derniers temps que j’ai un peu perdu le compte. Toujours est-il que Pirate Cinema est le plus récent de ces bouquins “jeune adulte” dans la lignée de Little Brother ou For The Win.
Je suis en train de lire un des derniers bouquins de Cory Doctorow, Pirate Cinema. Fiction? Paf! Mes flux RSS me crachent des exemples encore plus absurdes!
Si la question des droits numériques vous intéresse, c’est la lecture de la semaine: l’article de Cory Doctorow sur BoingBoing, intitulé Lockdown: The coming war on general-purpose computing.
Le dernier article de Cory Doctorow, A Vocabulary for Speaking about the Future, est un excellent complément à un texte dont je vous avais précédemment parlé sur la science-fiction en tant que littérature du présent
En m’intéressant à la politique, j’essaye de comprendre comment les choses fonctionnent (ou, le plus souvent, comment elles ne fonctionnent pas); couplé avec des études d’histoire, ça permet aussi de voir quel est le poids de traditions et de pratiques passées – et souvent dépassées.
Tiens, en passant: le numéro 8 du magazine de science-fiction français Galaxies est paru. Il reprend une version relue et augmentée de mes billets sur les ouvrages de Cory Doctorow (à part celui d’aujourd’hui, pour des raisons évidentes), le tout… Continue Reading →
Dans un avenir proche, des ados de Chine, d’Inde, d’Indonésie ou du Vietnam travaillent dans des jeux massivement multi-joueurs, un peu comme à la mine : ils y récupèrent monnaie virtuelle et objets légendaires, pour le compte d’intermédiaires sans scrupules –… Continue Reading →
J’ai enfin terminé Makers, de Cory Doctorow. C’était touffu. Le roman suit deux inventeurs, Perry et Lester: ce sont des bidouilleurs de génie qui utilisent les copieux fonds de poubelle d’une Amérique en pleine récession dans un futur très proche.
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