Malgré les commentaires de mes collègues et amis sur mon caractère aigri et ronchon – commentaires pas totalement dénués de fond et imputables à ma nature de Genevois et à mon âge – je pense être raisonnablement bon public. Certes, j’aime râler, mais il est rare que je tombe sur un truc qui ne me plaise pas. Rare, mais pas impossible: là, je viens de tomber sur un bouquin de science-fiction francophone qui est limite douloureux.
Et boum! Encore un (semi) pavé signé Charles Stross que cet essai intitulé SF, big ideas, ideology: what is to be done? et résumé par Warren Ellis en « Charles Stross tabasse la SF avec un bâton merdeux ». Merci, Warren…
Il y a des jours où je me dis que faire figure de digital native quand on a 45 ans, face à des gens plus jeunes, c’est vraiment bizarre. Parce que qu’un musicien m’invite directement à télécharger illégalement son album, c’est une première!
J’ai l’impression que les acteurs traditionnels n’ont pas compris le problème majeur de leur approche industrielle de la culture: ça se copie tellement facilement qu’essayer de la contrôler est, au mieux, voué à l’échec.
Le blog du Reilly, The Best Place, revient sur un album de Spirou qui m’avait particulièrement marqué, Machine qui rêve, et sur sa suite jamais terminée, Zorglub à Cuba.
Le dernier article de Cory Doctorow, A Vocabulary for Speaking about the Future, est un excellent complément à un texte dont je vous avais précédemment parlé sur la science-fiction en tant que littérature du présent
La question Tigres Volants qui tue du jour: elle en est où, la Campagne Lupanar? Alors, pour faire simple, à peu près au même point que précédemment. À peu près.
Ça paraît une évidence, mais un livre, ce n’est pas la même chose qu’un film, qu’une bande dessinée ou qu’un scénario de jeu de rôle.
Bon, je crois qu’on a suffisamment glosé cette dernière semaine sur les sites de « partage » de jeu de rôle, abandonware et autres warez plus ou moins assumés, si on essayait maintenant de mettre en place des solutions?
De façon générale et pour des raisons aussi pragmatiques qu’éthiques, je suis plutôt pour le partage des biens culturels. Il y a tout de même des fois où la chose m’énerve: quand elle ne s’assume pas.
Partagée par Jess sur Facebook, cette « petite » bande dessinée intitulée Like an artist, par Jelly Vampire, est probablement une des plus belles illustrations que j’ai vue depuis un bon moment sur le thème de l’art et de la création.
Comme mentionné il y a quelques jours, j’ai terminé une nouvelle version de la Campagne Lupanar. Je l’ai mise en ligne, même adresse que précédemment et toujours sous licence Creative Commons.
Hier soir, je suis allé voir la deuxième partie du film Harry Potter and the Deathly Hallows et le hasard a voulu que je tombe sur un article mentionné par io9.com, sur ce qui se passe après la fin de Voldemort.
Ces deux derniers mois, ma productivité a été en-dessous de tout, mais j’ai fini par mettre un point final à ce que je considère comme étant un manuscrit quasi-définitif de la « campagne lupanar ».
Caucasian Adventures est un des plus jolis pieds de nez à une tendance détestable de la construction d’univers en général et son pendant rôlistique en particulier, j’ai nommé l’abus de stéréotypes
L’article Confort de niche, éditorial de la revue Angle Mort, est une réflexion intéressante sur la place de la science-fiction dans la culture contemporaine, mais dont les conclusions peuvent également s’appliquer au jeu de rôle.
C’est sur le site d’information français OWNI que j’ai lu un article intitulé La licence globale, une “mauvaise solution pour un faux problème”
En m’intéressant à la politique, j’essaye de comprendre comment les choses fonctionnent (ou, le plus souvent, comment elles ne fonctionnent pas); couplé avec des études d’histoire, ça permet aussi de voir quel est le poids de traditions et de pratiques passées – et souvent dépassées.
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