Découvert via contact direct dans ma boîte mail – c’est beau, la gloire! – Sarin est un groupe canadien qui, avec Burial Dream, s’affiche dans le post-métal à la Isis/Cult of Luna. L’exercice est un peu casse-gueule, en ce que le genre a déjà été balisé dans les grandes largeurs par les deux pointures précités et quelques myriades d’autres, mais ces petits jeunes de Toronto se débrouillent plutôt pas mal.
Ah, Saga! Toute ma jeunesse… Du coup, quand sort un nouvel album, comme ce Sagacity, je suis de nouveau tout fébrile – et souvent un peu déçu. Mon problème, c’est que les Canadiens ont somme toute assez peu évolué depuis ces quinze dernières années. À l’écoute de cet album, j’en viens même à me demander s’il ne faut pas parler d’auto-pastiche.
Dans la série « dissonance cognitive », je vous présente Second Sound, le nouvel album de Druckfarben. Comme son nom l’indique, c’est le deuxième album de ce groupe de rétro-progressif canadien et il réussit l’exploit de l’enthousiasmer autant qu’il m’agace.
Eh oui, encore un livre de Nicolas Bouvier! Encore faut-il préciser que ce Il faudra repartir n’est pas à proprement parler un livre, mais une collection de ce que l’on pourrait appeler vulgairement des fonds de tiroir, publiés douze ans après la mort de l’auteur. Seulement, quand il s’agit de Nicolas Bouvier, je pourrais citer plusieurs auteurs qui n’arrivent pas, dans leurs ouvrages publiés, à la cheville de ses fonds de tiroir.
L’album éponyme du groupe canadien Space Monster, nonobstant le fait que c’est un premier album, ne m’impressionne pas vraiment pas son rétro-progressif à la production catastrophique.
Mini-billet pour un mini-album: l’EP Death Rides Southward des Montréalais de Tumbleweed Dealer est arrivé dans ma boîte mail (à deux ou trois clics près) et, après quelques écoutes des trois morceaux disponibles en téléchargement gratuit, je dois dire que c’est plutôt prometteur.
Je dois avouer que, si j’aime bien le post-rock, je n’ai jamais été un grand fan d’un des plus illustres représentants du genre, Godspeed You! Black Emperor. Il faut un début à tout et, dans le cas présent, il s’agit du dernier album en date, sobrement intitulé ‘Allelujah! Don’t Bend! Ascend!.
Attention, légende (et spéciale dédicace à Bob, il comprendra pourquoi)! Deuxième album du groupe québecois Harmonium, actif dans les années 1970, Si on avait besoin d’une cinquième saison est un de ces albums mythiques du rock progressif, qui combine à la fois des critiques dithyrambiques sur un peu tous les sites dédiés et une rareté frustrante.
Et allez, avec 20/20, le nouvel album de Saga, c’est encore un groupe phare du rock progressif mâtiné AOR des années 1980 (de mes années 1980, en tous cas) dont je vais vous causer. À la différence du précédent – Asia, pour ceux qui auraient oublié – Saga est un groupe qui, à ma connaissance, n’a jamais fait de mauvais albums (Steel Umbrellas étant juste médiocre).
Après quelques écoutes du premier album éponyme de Druckfarben, je peux conclure qu’ils ne viennent ni d’Allemagne, comme leur nom pourrait laisser le supposer, ni du Canada, comme leur biographie le prétend, mais de la planète Yes!
J’entends déjà ceux (= celui) qui se gausse des noms abscons si communs dans le rock progressif ricaner de ce Hypostatic Union de Greylevel. C’est de bonne guerre, surtout quand l’album est de qualité, ce qui est le cas.
Ça faisait un moment que je m’étais promis de vous parler de Generation 13, probablement l’album le plus atypique et le plus intéressant de Saga – pourtant un des grands noms du rock progressif avec près de trente ans de carrière.
© 2025 Blog à part — Powered by WordPress
Theme by Anders Noren — Up ↑