Neuf mois (avec le Sony A7 IV)
Je vais arrêter les blagues sur la grossesse, ma balance en fait des meilleures, Le but, c’est de revenir sur neuf mois avec mon nouveau Sony A7 IV.
Rock et metal progressifs, science-fiction, jeu de rôle et divagations de vieux gauchiste; maison fondée en 2002
Je vais arrêter les blagues sur la grossesse, ma balance en fait des meilleures, Le but, c’est de revenir sur neuf mois avec mon nouveau Sony A7 IV.
J’ai craqué. Après une dizaine d’années avec du matériel Canon, j’ai remplacé mon vieillissant 5D Mk III par un Sony A7 IV tout neuf. Ça fait bizarre.
Nicolas Bouvier a encore des choses à nous dire. Du coin de l’œil propose une collection de textes de l’écrivain-voyageur sur la photographie.
J’écris cet article alors que je viens enfin de terminer les photos de Japan Impact. Oui, c’était il y a dix jours; c’est là où je veux en venir. La photo, c’est cool. Avec le numérique, on n’a plus à compter sa pellicule (ou ses sous pour le développement). Avec la conséquence qu’après un événement de deux jours, on peut se retrouver avec plusieurs centaines de photos à trier.
Un des premiers conseils que j’ai entendu quand j’ai commencé à faire de la photo – c’est à dire, quand j’ai acheté mon premier reflex – a été “faut shooter en RAW“. Les gens qui me connaissent pourront facilement déduire que ma réaction initiale a été “NAN! J’VEUX PAS!”, suivie assez rapidement par un “bon, je vais quand même essayer”.
Ce fut un week-end studieux; geek, mais studieux. But du jeu: se lancer dans la photographie de portrait, celle qui implique des éclairages, des costumes, du maquillage et toutes ces sortes de choses.
Oui, ça me fait un peu bizarre à moi aussi, mais aujourd’hui, je vais vous parler d’un appareil photo: plus précisément du Sony DSC RX100II, celui-là même que j’ai emmené il y a une semaine au concert d’Epica et qui, disons le, m’a bien bluffé.