Rock et metal progressifs, science-fiction, jeu de rôle et divagations de vieux gauchiste; maison fondée en 2002

Category Lectures

Les mots que je lis (avec ou sans images).

« La Lune n’est pas pour nous », de Johan Heliot

Dans La Lune n’est pas pour nous, roman de Johan Heliot, il y a des Nazis, des Zeppelin, du dieselpunk, de l’uchronie et des extra-terrestres. Je signe où? En fait, avant de signer, j’aurais peut-être dû faire attention à un léger détail: ce livre est en fait non seulement la suite de La Lune seule le sait, que je n’ai donc pas lu, mais il précède également La Lune vous salue bien. Du coup, j’ai un peu l’air fin en déboulant au milieu d’une trilogie.

« Qantice », de Tony Beaufils et Marie Fontaine

Ceux qui lisent ces pages ont sans doute déjà vu passer cet étrange mot, QanticeProjet de métal symphonique/progressif, mais également concept de science-fiction décliné ici sous la forme d’un roman, par la plume bicéphale de Tony Beaufils (par ailleurs guitariste du groupe et Orc au Banjo dans une autre vie) et Marie Fontaine.

« Stoner Road », de Julien Heylbroeck

Avec Stoner Road, le roman de Julien Heylbroeck, je continue dans mon petit périple dans les contrées littéraires du « sex, drugs, magic and rock’n’roll » (après Perkeros et Armageddon Rag). C’est un peu un hasard, parce que j’ai acheté le bouquin à l’origine par pur copinage, mais il se trouve que ça tombait pile-poil dans le flux.

« Dans l’enfer des hauts de page »

Cela faisait un bon moment que j’attendais – que j’espérais, même – une réédition des « hauts de page », de Yann & Conrad. Dans l’enfer des hauts de page est donc un bouquin petit format, qui répond en partie à ce souhait et me permet de me replonger avec délectation dans cette trop brève époque d’un Spirou habité par l’esprit d’un humour presque adulte.

Ray’s Day: c’est aujourd’hui

Petite piqûre de rappel aux ceusses qui n’ont pas vu mes quelques 167 messages sur ce sujet, ces derniers jours: aujourd’hui, c’est le Ray’s Day, fête de la lecture, des lecteurs et des auteurs. C’est même la première du genre, lancée par Neil Jomunsi et soutenue par un certain nombre d’auteurs – dont votre serviteur.

« The Armageddon Rag », de Georges R.R. Martin

Il y a cinq minutes, j’ai finalement reposé The Armageddon Rag, de Georges R.R.Martin. Oui, ce Georges R.R. Martin. Pour la plupart des gens, c’est l’auteur de la série Game of Thrones; pour moi, c’est l’auteur de The Armageddon Rag.

Les Chants de Loss

Ceux qui suivent mon blog suivent souvent celui de Psychée et ceux qui suivent le blog de cette dernière auront noté que, récemment, elle s’est lancée dans l’écriture d’un roman intitulé Les Chants de Loss. Elle vient de lancer un site spécialement pour ce projet de roman de fantasy/davincipunk.

Perkeros

S’il devait bien y avoir une nation pour nous offrir une bande dessinée qui parle de métal progressif, il fallait que ce soit la Finlande, d’où nous arrive l’excellent Perkeros, de JP Ahonen (dessin, scénario) et KP Alare (scénario) traduit en français chez Castermann.

« Some Remarks », de Neal Stephenson

J’aime bien Neal Stephenson, mais il faut reconnaître que, surtout ces dernières années, il a la prose un peu envahissante. Du coup, je me suis intéressé à Some Remarks, un ouvrage de taille raisonnable (un peu plus de trois cents pages) qui regroupe une petite vingtaine de textes courts: interviews, conférences, nouvelles et autres articles.

One Way

Un vaisseau spatial expérimental. Un équipage de huit cas sociaux. Une mission potentiellement sans retour. Des agendas secrets. C’est One Way, de Christopher Baldwin, une de mes plus récentes découvertes en matière de webcomics.

Ray’s Day: fêtons la lecture

Je crois vous avoir déjà dit que Neil Jomunsi est un grand malade. Déjà, c’est l’auteur de Jésus contre Hitler, un jalon dans l’histoire de la bargitude littéraire. Ensuite, il est à l’origine du Projet Bradbury, qui est aussi un joli plan de cinglé. Cette semaine, voila-t-y pas qu’il lance Ray’s Day, une fête de la lecture, des lecteurs et des auteurs, le 22 août prochain.

The Massive, tome 1

Trente minutes dans l’avenir, le monde est ravagé par une série de catastrophes climatiques exceptionnelles. Un an plus tard, à la recherche de son navire-sœur, le chalutier Kapital de l’organisation écologiste Ninth Wave sillonne les océans, en tentant de concilier son engagement et ses idéaux pacifistes avec un monde qui sombre dans la violence. Tel est le point de départ de The Massive, une bande dessinée écrite par Brian Wood.

Mermaid Project, épisode 3

Déjà un troisième épisode pour Mermaid Project, cette bande dessinée se déroulant dans un avenir dominé par le manque de ressources et la déchéance des nations du nord. D’ailleurs, cet épisode s’ouvre sur Romaine Pennac qui déboule dans une Rio de Janeiro devenue une métropole pimpante, bien plus avancée que Paris ou New York vus dans les tomes précédents.

Jour J: L’Étoile blanche

Dans la nuit du 14 avril 1912, le Titanic, qui accomplit là son voyage inaugural, évite de justesse un immense iceberg grâce au jeune Max Waterson. C’est le point de départ de L’Étoile blanche – symbole de la White Star Line, qui possède le navire –, seizième tome de la série de bande dessinée uchronique Jour J.

« Edge of Tomorrow », de Hiroshi Sakurazaka

Lors d’un assaut majeur contre les Mimics, les extra-terrestres qui ont envahi la Terre, la jeune recrue japonaise Keiji Kiriya, meurt. C’est ainsi que commence Edge of Tomorrow, roman – light novel, pour être précis – de l’auteur japonais Hiroshi Sakurazaka, dont est tiré le film avec Tom Cruise, dont je vous ai parlé hier (ou avant-hier, je me suis un peu pris les pieds dans les boutons).

« The Long War », de Terry Pratchett et Stephen Baxter

Une génération après le « Step Day », qui a vu une infinité de Terres parallèles s’ouvrir à l’humanité, Joshua Valienté repart à l’aventure pour The Long War, deuxième tome de cette saga signée par Terry Pratchett et Stephen Baxter, qui devrait en compter cinq au total (à l’heure où vous lirez ces lignes, le troisième, The Long Mars, sera peut-être déjà paru).

Wunderwaffen, tome 5: Disaster Day

Il faut dire ce qui est: le timing de ce cinquième tome de la série de bande dessinée uchronique Wunderwaffen est impeccable. Intitulé Disaster Day, il revient sur l’histoire en cours pour s’arrêter sur le 6 juin 1944, un des points de divergence majeurs (mais sans doute pas le premier) dans cet univers, avec l’échec sanglant du débarquement allié en Normandie.

« Embassytown », de China Miéville

Comment aurais-je pu résister? Un roman de science-fiction signé par China Miéville qui parle de choc culturel entre Terriens et extra-terrestres et recommandé par Gromovar, en sus. Pourtant, au final, je ne peux m’empêcher de penser que Embassytown est un peu décevant.

« Playing at the World », de Jon Peterson

Quarante ans, ça fait une paye! Il était donc presque logique qu’un historien s’attache à retracer la genèse des jeux de rôles en général et de son Grand Ancêtre en particulier, j’ai nommé Dungeons & Dragons. Pour le coup, c’est Jon Peterson qui s’y colle, dans un ouvrage intitulé Playing at the World.

« Ch3val de Troi3 », de Éric Nieudan

L’ami Éric Nieudan vient de sortir Ch3val de Troi3, une novella cyberpunk en numérique aux éditions Bragelonne et vous vous doutez bien 1) que je l’ai lue fissa et 2) que si je commence ma chronique par « l’ami Éric », c’est bien parce qu’il y a avis de copinage et de subjectivité coincée sur 11. Donc, j’ai bien aimé. Comme ça, c’est fait.

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