Ceux qui lisent ces pages ont sans doute déjà vu passer cet étrange mot, Qantice. Projet de métal symphonique/progressif, mais également concept de science-fiction décliné ici sous la forme d’un roman, par la plume bicéphale de Tony Beaufils (par ailleurs guitariste du groupe et Orc au Banjo dans une autre vie) et Marie Fontaine.
Dans la famille post-rock/post-métal déprimant et déprimé, je voudrais les Allemands. Ah, Lantlôs, bonne pioche! Car leur dernier album, Melting Sun, est un petit bijou d’ambiances en contre-jour, moitié black-metal, moitié post-rock solaire.
Avec Stoner Road, le roman de Julien Heylbroeck, je continue dans mon petit périple dans les contrées littéraires du « sex, drugs, magic and rock’n’roll » (après Perkeros et Armageddon Rag). C’est un peu un hasard, parce que j’ai acheté le bouquin à l’origine par pur copinage, mais il se trouve que ça tombait pile-poil dans le flux.
C’est le moment de dire « c’est la faute à Axelle » et de pointer un doigt accusateur dans sa direction pour la blâmer de m’avoir fait découvrir le groupe américain de pop-rock épique Les Friction, éponyme de son premier et, pour le moment, unique album. Oui, car je suis comme ça, moi, je balance! Et ça tombe bien, parce que l’album balance aussi pas mal.
Que peut bien réunir, dans le Londres de la fin du XIXe siècle, une jeune fille de bonne famille, un gentleman explorateur et son serviteur africain, un médecin-légiste et un as de la gâchette américain? Des histoires horribles, bien entendu, les fameux Penny Dreadful, fascicules dégoulinant d’hémoglobine qui donnent son nom à cette série courte (huit épisodes d’une heure).
Il y a cinq minutes, j’ai finalement reposé The Armageddon Rag, de Georges R.R.Martin. Oui, ce Georges R.R. Martin. Pour la plupart des gens, c’est l’auteur de la série Game of Thrones; pour moi, c’est l’auteur de The Armageddon Rag.
S’il y a bien un passage obligé pour le geeks cet été, c’est sans aucun doute ce Guardians of the Galaxy, nouvel opus cinématographique à grand spectacle de l’univers étendu Marvel. Et je vais tout de suite briser le suspens: il est bien. Pas exceptionnellement méga-génial-de-la-triple-mort, mais bien.
Ceux qui suivent mon blog suivent souvent celui de Psychée et ceux qui suivent le blog de cette dernière auront noté que, récemment, elle s’est lancée dans l’écriture d’un roman intitulé Les Chants de Loss. Elle vient de lancer un site spécialement pour ce projet de roman de fantasy/davincipunk.
The Machine et Replacements, les deux albums de Hibernal, ne sont pas vraiment des albums de post-rock; ce ne sont pas vraiment la musique de films qui n’existent pas non plus, ni des audiobooks de science-fiction. C’est un peu tout cela à la fois.
Septante ans après que l’avatar Aang ait rétabli l’harmonie dans les nations élémentaires du monde, un nouvel avatar arrive. Elle s’appelle Korra, c’est une adolescente de la tribu de l’Eau et elle a un très mauvais caractère. The Legend of Korra est donc une suite de la série Avatar, the Last Airbender, mais dans un monde et avec une approche qui ont beaucoup changé – mais qui déménage tout autant que la première série.
Trente minutes dans l’avenir, le monde est ravagé par une série de catastrophes climatiques exceptionnelles. Un an plus tard, à la recherche de son navire-sœur, le chalutier Kapital de l’organisation écologiste Ninth Wave sillonne les océans, en tentant de concilier son engagement et ses idéaux pacifistes avec un monde qui sombre dans la violence. Tel est le point de départ de The Massive, une bande dessinée écrite par Brian Wood.
Encore un film de la franchise X-Men auquel je vais à reculons: Days of Future Past fait la liaison entre la série « contemporaine », le flashback que constituait First Class et les spin-off sur Wolverine, X-Men Origins et The Wolverine.
Déjà un troisième épisode pour Mermaid Project, cette bande dessinée se déroulant dans un avenir dominé par le manque de ressources et la déchéance des nations du nord. D’ailleurs, cet épisode s’ouvre sur Romaine Pennac qui déboule dans une Rio de Janeiro devenue une métropole pimpante, bien plus avancée que Paris ou New York vus dans les tomes précédents.
Dans la nuit du 14 avril 1912, le Titanic, qui accomplit là son voyage inaugural, évite de justesse un immense iceberg grâce au jeune Max Waterson. C’est le point de départ de L’Étoile blanche – symbole de la White Star Line, qui possède le navire –, seizième tome de la série de bande dessinée uchronique Jour J.
Stille Volk, le groupe de folk pyrénéen tellurique, revient avec un nouvel album tellurique, intitulé La Pèira Negra, autrement dit la « pierre noire », autrement dit quelque chose de tellurique. Retenez bien ce mot, « tellurique », parce que c’est un peu le mot-clé de cet album, qui parle de pierre et de pétrification, mais aussi de forêts et de malédictions.
Ces dernières semaines, il m’est arrivé un truc bizarre: je me suis retrouvé avoir sept ans et regarder des épisodes de Scoubidou. Bon, ce n’est pas tout-à-fait exact, vu que j’en ai toujours quarante-sept et qu’il s’agit de la nouvelle série, Scooby-Doo! Mystery Incorporated (Mystères associés en français).
© 2025 Blog à part — Powered by WordPress
Theme by Anders Noren — Up ↑