Acadie, novella de Dave Hutchinson, commence pour Duke le lendemain de son anniversaire. Il se réveille avec la gueule de bois et une alerte.
Void Star, de Zachary Mason, c’est notre planète dans un avenir proche, mais mal défini – peut-être un siècle dans l’avenir, peut-être moins. Trois personnes, trois destins: Irina, spécialiste en intelligences artificielles, Thalès, fils d’un politicien brésilien et mathématicien de génie, et Kern, accro du parkour et du combat de rue sorti d’un bidonville par une voix mystérieuse au téléphone.
La Légion est un assemblage de vaisseaux-mondes qui naviguent aux confins de l’univers et qui sont en guerre les uns avec les autres pour récupérer les précieuses ressources qui permettront aux gagnants de survivre. The Stars are Legion, de Kameron Hurley, raconte comment deux femmes, Zan et Jayd, vont tenter de sauver ce qui peut l’être. Peut-être.
Au 24e siècle, un « mathusalem » – un membre de l’ultra-élite à la fortune incommensurable et quasi-immortel de fait – cherche à enquêter sur sa propre mort. Pour cela, il réincarne Takeshi Kovacs dans un nouveau corps et lui promet fortune et impunité. C’est ainsi que commence Altered Carbon, série adaptée du roman éponyme de Richard K. Morgan.
J’ai passé outre mon aversion habituelle pour les médias non-écrits et j’ai visionné la toute récente présentation de Charles Stross au 34e Chaos Communication Congress, intitulée Dude, you broke the future – tout un programme!
Et si, dans un avenir proche, la Terre recevait un message extraterrestre et que ce message remettait en cause de façon fondamentale le concept de sapience et de civilisation? C’est, dans les grandes lignes, le principal de Existence, gros roman de David Brin.
Lorsque commence Crashing Heaven, roman SF/cyberpunk de Al Robertson, Jack et Hugo reviennent sur Station, le dernier refuge de l’humanité depuis que la Terre est devenue inhabitable suite à une guerre entre IA.
Je viens de finir le dernier roman de Cory Doctorow, Walkaway. Il est très bien, il est très dense et, du coup, cette chronique va également être quelque peu massive. Et ce n’est pas seulement dû au fait que le français est un langage verbeux.
Bon, autant faire péter le suspens immédiatement: Apex, conclusion de la trilogie Nexus de Ramez Naam, est une digne conclusion de ce techno-thriller d’anticipation transhumaniste. Pour poser les choses, il commence par un échange nucléaire généralisé. Enfin, pas tout à fait, mais c’est pour dire.
On reconnaît souvent les séries marquantes à leur générique. Celle de Person of Interest commence avec la voix d’un des personnages, qui annonce:
« On vous surveille. Le gouvernement possède un dispositif secret. Une machine ! Elle vous espionne jour et nuit, sans relâche. Je le sais parce que c’est moi qui l’ai créé. »
Jusqu’à présent, les romans de John Scalzi que j’ai lus oscillaient entre le très bien (Old Man’s War) et le sympa-mais-peut-mieux-faire (Redshirts). Lock In, découvert via une chronique sur le site de Lune, est un roman d’anticipation flirtant avec le transhumanisme qui se situe assez clairement dans la première catégorie.
Crux est le deuxième roman de la trilogie Nexus, de Ramez Naam, un techno-thriller d’anticipation transhumaniste, centré sur une drogue éponyme basée sur des nanomachines, qui agit comme un système d’exploitation pour ceux qui en prennent et qui leur permet de se connecter, partager des expériences… ou pire.
Nexus, la drogue éponyme du roman d’anticipation de Ramez Naam, est un peu plus qu’une simple drogue: un outil pour augmenter les capacités du cerveau, le mettre en réseau avec d’autres utilisateurs de Nexus et même un système d’exploitation neurologique; en résumé, c’est la porte ouverte vers la transhumanité. Et c’est bien là, le problème.
Il est 15 h 45 à Washington, 21 h 45 à Paris, 12 h 45 à Mountain View, 5 h 45 au Japon. One Minute, le feuilleton numérique de Thierry Crouzet, c’est l’histoire de cette minute précise. Celle où la vidéoblogueuse Sara Cash a annoncé que les radio-télescopes de la planète avaient capté un message extra-terrestre. Juste avant qu’une panne électrique ne plonge la planète dans le noir complet.
Il faut reconnaître à Charles Stross un certain génie pour trouver des idées originales en SF et de construire des univers bluffants là-dessus. Témoin un de ses derniers romans, Neptune’s Brood, qui allie transhumanisme, hard-science et économie interstellaire.
Après avoir écouté la version musicale de After de Winter, j’ai tout naturellement eu envie de lire la suite de la trilogie post-apo The Silent Earth de Mark Healy, à commencer par Seeds of New Earth, le deuxième volume.
Pour le financier Richard Camden, le sommeil est une façon ridicule de perdre du temps, Alors, lorsqu’il apprend qu’une thérapie génique expérimentale permet de créer des enfants qui ne dorment pas, il insiste pour que son futur enfant en bénéficie. Mais ce sont des jumelles qui naissent et seule l’une des deux bénéficie du traitement. D’où le titre de ce court texte de Nancy Kress: L’une rêve et l’autre pas.
Au départ, un attentat terroriste; au final, la fin de l’humanité, ou peu s’en faut; tel est le parcours de Thinking Eternity, roman de Raphaël Granier de Cassagnac. Et oui, la proximité du titre avec Eternity Incorporated n’est pas fortuite, puisqu’il s’agit de la préquelle de son précédent roman.
Dans After the Winter, roman post-apo de Mark Healy, le narrateur Brant erre sur une terre ravagée après le « White Summer », une guerre qui, en quelque mois, a détruit la civilisation humaine et laissé la place à un hiver nucléaire de plusieurs années. Quand je dis « ravagée », ça veut dire que plus rien n’y vit. Y compris Brant, qui est un « synthétique », un androïde.
The Fractal Prince, de Hannu Rajaniemi, est la suite de The Quantum Thief, qui met en scène le génie de la cambriole Jean Le Flambeur dans un univers post-Singularité, un système solaire qui ne ressemble à plus rien de connu. Et c’est un peu le problème: si j’ai plutôt bien aimé le précédent, devoir raccrocher les wagons avec celui-ci après plus d’une année s’est avéré ardu.
© 2025 Blog à part — Powered by WordPress
Theme by Anders Noren — Up ↑