Je joue sans doute beaucoup plus aux jeux vidéo que je ne devrais, sans pour autant ne pas me considérer comme un hardcore gamer, mais je vais répondre aux questions du Traqueur Stellaire sur mon activité vidéoludique.
Une infiltration, des projets secrets, une corpo bien méchante et une héroïne qui bastonne: dans ce deuxième épisode de la bande dessinée Mermaid Project, priorité est donnée à l’action, peut-être au détriment du reste de l’histoire ou, à tout le moins, d’une certaine cohérence.
Bon, sans aller jusque dire, à l’instar de Fulgan, que Pacific Rim, c’est « Goldorak contre les monstres mutants d’outre-espace », force est d’avouer que ce blockbuster estival signé Guillermo Del Toro colle assez bien à cette description lapidaire.
Le troisième tome de la série uchronique Wunderwaffen, qui part sur le postulat que la Deuxième Guerre mondiale s’enlise après l’échec de l’encerclement de Stalingrad et du débarquement en Normandie s’intitule Les Damnés du Reich, ce qui illustre fort bien le thème.
Quand on parle d’invasion extra-terrestre, soit les Terriens gagnent et c’est la fête, soit c’est les autres et c’est le cauchemar; dans tous les cas, c’est rare que l’on regarde ce qui se passe après. C’est pourquoi Defiance, une nouvelle série télévisée américaine de science-fiction, dont la première saison vient de se terminer, fait figure d’oiseau rare.
Si je vous reparle aujourd’hui de Borderlands 2, c’est parce que j’ai également téléchargé les quatre DLC et que c’est vraiment de la bonne!
Il m’a fallu un peu de temps avant d’appréhender la trilogie de romans de Pierre Pevel connue sous le nom de Les Lames du Cardinal. Ce n’est pas vraiment ma faute (OK, si : un peu), mais je me méfie des pastiches et des pavés.
Il fut un temps où, quand madame mon épouse manifestait le désir d’aller à la Japan Expo, sans aller jusqu’à faire la gueule, je manquais quelque peu d’enthousiasme. Seulement, depuis quelques années, le grand raout des otakus de France et de Navarre s’est adjoint une convention sœur, la Comic-Con, dédiée aux bandes dessinées, aux webséries et aux jeux.
Si la série continue sur cette lancée, le titre du cinquième volume de La Guerre du retour contre-attaque devrait à peine tenir sur l’intégralité de la couverture. Dans le cas présent, ce deuxième tome s’intitule déjà Le Retour de la Guerre du retour contre-attaque.
Après pas mal de déceptions cinématographiques, ça fait plaisir de voir enfin un film qui tient plus que ce qu’il promet. De plus, ce film est une suite, puisqu’il s’agit de Despicable Me 2, ce qui en fait un oiseau encore plus rare.
Jésus contre Hitler est un trio de courts romans d’aventures, avec des zombies nazis en Sibérie, Cthulhu au milieu du Pacifique, ou le Tibet pour y rencontrer le Yéti.
Je vais être direct: Into Darkness, deuxième film de la série Star Trek rebooté par J.J. Abrams, ne m’a pas vraiment convaincu. Et, de ce que j’ai perçu des conversations avec le gang habituel à la sortie de la salle, c’est une impression partagée.
Or donc, un capitaine d’origine gênoise nommé Colomb traversa un beau jour l’Océan atlantique à bord de trois navires pour découvrir ce qui s’avéra être l’Amérique. Fort bien, sauf que dans ce treizième tome de la série Jour J, intitulé Colomb Pacha, ledit capitaine a pris le prénom Abdel après sa conversion à l’Islam et navigue pour le compte de l’émir de Corfou.
Cette chronique est à placer sous le signe de la honte: d’une part, Strate-à-gemmes est le premier livre de Terry Pratchett que je lis (Good Omens, écrit avec Neil Gaiman, ne compte pas vraiment), d’autre part, il a fallu que Fulgan me le colle d’autorité dans les mains pour que je l’ouvre (depuis qu’il fait de la musculation, je ne me sens pas trop de le contrarier) et, pour ne rien arranger, je l’ai lu en français.
Avertissement copinage: non seulement Éric Nieudan a été mon superviseur à l’époque où j’ai réalisé quelques traductions de suppléments pour Feng Shui, mais c’est devenu un ami. Autant dire que, plus que jamais, toute prétention d’objectivité dans cette chronique de son court roman Gaia, planète du prince perdu, est vouée d’avance à l’échec.
Ça fait un petit moment que je n’ai pas soumis à votre appréciation un webcomic; ça fait aussi un moment que je n’en ai pas découvert de nouveaux réellement intéressants. Jusqu’à récemment: je suis tombé, via io9, sur Ava’s Demon, l’histoire d’une adolescente est possédée par un démon dans un monde futuriste multiplanétaire.
Alias échaudé craignant la bière tiède, c’est avec une réticence qui s’est avérée mal placée que j’ai fini par attaquer les fascicules Harry Dickson édités par le Carnoplaste et signés de la plume de Robert Darvel.
© 2025 Blog à part — Powered by WordPress
Theme by Anders Noren — Up ↑