Fractale (en non-japonais dans le texte) est un de ces animés intéressant par son principe de départ et frustrant par son développement. Il décrit un monde utopique, une terre régie depuis plusieurs siècles par un système informatique (Fractale, donc) créant un environnement illusoire, entre réalité virtuelle et réalité augmentée, mais où l’homme est devenu une créature sans volonté, dont les moindres désirs sont exaucés.
Entre l’arrivée de Steam et une sorte de frénésie de portage de jeux plus ou moins récents, je me suis retrouvé ces temps-ci avec une belle quantité de jeux vidéos bien sympa. Le dernier en date, c’est Borderlands 2, un croisement jeu de rôle/jeu de tir à la première personne (un peu comme Deus Ex) dans un univers SF/post-apo/western à mi-chemin entre Fallout et Firefly, mais avec beaucoup plus de flingues.
Maintenant que cette (littéralement) maudite campagne lupanar est terminée, bâchée, finie, poutzée, enterrée (oui, je suis un peu fatigué), il est temps de passer à autre chose. Genre, une campagne pour Tigres Volants. Non, pas une nouvelle, n’exagérons rien: je parle ici de reprendre l’écriture et/ou la mise au propre de “Devoir de mémoire“, la campagne sur laquelle j’avais travaillée avant de lancer Le Secret du Domaine des trois sources.
Ce n’est pas souvent que Le Matin, l’un des quotidiens sous-médiocres de Suisse romande, me fait rire. Volontairement, du moins. Et c’est encore plus rare que ce soit avec la page météo. Comme quoi il y a un début à tout.
C’est un peu le “ça, c’est fait” de l’année: les exemplaires de la “campagne lupanar” destinés aux souscripteurs sont enfin partis – ou vont l’être sous peu. Ce fut loin d’être simple, pour tout un tas de raisons sur lesquelles on (=je) a une part de responsabilités, mais une part seulement.
Il y a des coups de Cosmogun qui se perdent! J’avais déjà parlé il y a quelques temps sur la scandaleuse suspension par PayPal des paiements à des éditeurs de littérature érotique, cette fois-ci c’est l’éditeur de jeu de rôle Pulp Fever qui se voit puni… parce que les ventes de leur prochain jeu, Space Adventure COBRA, provoque un pic d’activité sur leur compte.
Dans la nuit du 11 au 12 décembre 1602, un groupe de mercenaires milanais, emmené par des nobles du Duché de Savoie, tente de prendre d’assaut la cité de Genève, au cours d’une opération soigneusement préparée – qui part en sucette par pur débol. Et si ce que les Genevois fêtent aujourd’hui sous le nom d’Escalade avait réussi? C’est l’idée sur laquelle je suis parti pour écrire une “u-chronique” de Genève, capitale d’un Duché, puis d’un Royaume de Savoie qui se maintient jusqu’à nos jours.
Le 10 juin 1791, alors que les révolutionnaires marchent sur les Tuileries, la famille royale s’évade en montgolfière. Mais Louis XVI, blessé par une balle perdue, meurt peu après l’atterrissage et la reine Marie-Antoinette, devenue régente, lance la contre-offensive avec l’aide d’un jeune et ambitieux général corse. Tel est le point de départ du dernier volume de la série Jour J: La Nuit des Tuileries.
Je dois avouer une fascination certaine pour la série Blake & Mortimer, créée par Edgar P. Jacobs, et son mélange d’enquêtes très british et d’éléments de science-fiction ou de fantastique. Les dernières livraisons ne m’avaient pas réellement enthousiasmé, mais avec le nouveau volume, Le Serment des cinq Lords, je suis déçu en bien, comme on dit en là par chez nous.
Je relaye ici une initiative très intéressante de Jérôme “Brand” Larré autour de son projet de traduction en français du jeu de rôle japonais Ryuutama (dont la souscription a explosé pas mal de records): il publie sur son blog les notes de conception de l’auteur de Ryuutama.
Ces derniers temps, suite à quelques voyages et, plus récemment, une rencontre malencontreuse avec une portière de voiture, je pratique beaucoup les transports en commun. Point positif: ça me laisse du temps pour lire (parce que bouquiner à vélo, c’est moyen pratique) et, du coup, j’enquille les bouquins à la chaîne. Dernier en date: Points chauds, de Laurent Genefort.
Comme je l’avais prédit vendredi, il ne m’a pas fallu longtemps pour finir Pirate Cinema, le dernier bouquin de Cory Doctorow. Enfin, dernier, c’est vite dit: il en a publié tellement ces derniers temps que j’ai un peu perdu le compte. Toujours est-il que Pirate Cinema est le plus récent de ces bouquins “jeune adulte” dans la lignée de Little Brother ou For The Win.
Si vous voulez de la science-fiction exotique, pas besoin de faire des milliers d’années-lumière ou des milliers d’années tout court: il suffit de se plonger dans The Windup Girl, le roman de l’Américain Paolo Bacigalupi, qui se déroule dans une Thaïlande de l’après-pétrole.
Bon, si vous lisez ce blog depuis un moment, vous avez dû noter que je suis passionné par les uchronies en général et celles sur la Seconde Guerre mondiale en particulier. Bitter Seeds, ouvrage signé Ian Tregillis et formant la première partie du “triptyque Milkweed”, a attiré mon attention en présentant non seulement une utopie, mais une utopie fantastique et néanmoins glaçante.
C’est avec une certaine méfiance que j’ai abordé Histoires magiques de l’Histoire de France, le second titre conseillé par Ghislain dans mon billet sur Le matin des magiciens, après un Les livres maudits quelque peu décevant. J’en ressors beaucoup plus enthousiaste.
La sortie ciné du week-end a été consacrée à Looper, un film de science-fiction à base de voyage dans le temps qui, en apparence, ne paye pas de mine, mais a en fait pas mal de côtés sympathiques. Pas mal de côtés foireux également et, du coup, soit en arrive à entrer dans le film et on passe un bon moment, soit on coince et ça devient vite douloureux; j’étais dans la première catégorie, mais comme mes trois autres comparses étaient dans la seconde, le débat qui a suivi le film a été quelque peu houleux.
Une infirmière, veuve de frais, se lance dans la traversée du continent nord-américain, toujours secoué par une guerre civile qui dire depuis dix ans; c’est ainsi que l’on pourrait résumer Dreadnought, de Cherie Priest. Ce roman, qui peut tout aussi bien se lire de façon indépendante, est en quelque sorte la suite – techniquement, le troisième de la série “Clockwork Century” – de Boneshaker, même si ce n’est pas immédiatement apparent.
Les deux premiers volumes de la bande dessinée Orbital m’ayant donné envie de lire la suite, j’ai acheté dans la foulée les deux volumes suivants, Nomades et Ravages. Dans ce nouveau dyptique, le duo d’investigateurs de l’Office diplomatique intermondial, le Terrien Caleb Swany et lë Sandjarr Mézzoké Izzua, se retrouvent sur Terre, à Kuala Lumpur, pour superviser des cérémonies de réconciliation entre Humains et peuples extra-terrestres.
Vendredi soir, nous avons enfin terminé les deux saisons de Stargate Universe (SGU pour les intimes), dernière déclinaison en date (et sans doute avant un bon moment) de la franchise Stargate qui aura occupé nos écrans pendant presque vingt ans.
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