Dans le monde de La Chair et le Sang, série de Lizzie Crowdagger, les créatures surnaturelles existent et Jessica, simple humaine, est une sorcière ratée qui vivote de petits boulots, notamment assurer la sécurité de sa copine vampire Carmen.
Au début de Paradox Bound, de Peter Clines, Eli est un enfant de Sanders, petite ville du Maine dans laquelle il ne se passe jamais rien. Sauf quand une Ford A pilotée par Harry, une jeune femme vêtue d’une redingote et d’un tricorne déboule dans sa vie. Plusieurs fois.
Londres, 2029: dans Obsolescence programmée, de Benjamin Nathé, la capitale britannique n’est plus qu’une cité bidonvillisée, dominée par les quelques rares corporations qui ont survécu au « Flash Crash » de 2023. Edgar Chaze, un mercenaire qui oscille entre idéalisme et pragmatisme, tente d’y survivre pourchassé par son dernier client.
La saison 4 de Agents of SHIELD se terminait par un gros cliffhanger des familles – ainsi qu’une séquence post-générique WTF montrant Coulson dans l’espace (aaace… aaace…) et laissant présager une cinquième saison bien fumée. Ça n’a pas raté.
Deuxième tome de la trilogie des « Chroniques de l’Étrange », signée Romain d’Huissier, La Résurrection du Dragon renoue avec le personnage de Johnny Kwan, fat si (exorciste taoiste) à Hong-Kong, de nos jours. Au menu: des esprits, des dieux, un œuf de dragon et les Cinq Poisons, de la magie et de la baston.
Ceux qui me lisent depuis un moment savent que la ligne éditoriale de ce blog peut se résumer dans « les trucs qu’Alias aime bien ». Du coup, je suis un peu gêné aux entournures pour chroniquer le premier tome de La Conspiration des Colombes, de Yann-Cédric Agbodan-Aolio.
Ai-je besoin de dire que je suis allé voir Captain Marvel? Oui, comme tout le monde. Marvel Cinematic Universe, blockbuster, superhéros, machine à fric et toussa. Que voulez-vous, moi j’aime bien.
On dirait bien que je suis en mode « suite », ces jours. Parce qu’après le deuxième tome de Terra Ignota, je me suis attaqué au huitième de The Laundry, de Charles Stross, The Delirium Brief, lu à la suite de The Nightmare Stacks. On y retrouve ce genre Bob Oliver Francis Howard (non, ce n’est pas son vrai nom) dans une merde à grand spectacle. Littéralement.
Or donc, après Too Like the Lightning, j’ai attaqué Seven Surrenders, d’Ada Palmer. Oui, je sais que ce n’est pas très malin d’attaquer aussi vite le deuxième volume d’une tétralogie dont le dernier volume n’est pas attendu avant l’année prochaine.
C’est un peu par hasard, via un article de MPC, que je suis tombé sur le groupe américain Beautiful Remorse et son nouvel album sans titre. Sans titre, certes, mais pas sans intérêt, au contraire: c’est probablement la meilleure musique que vous n’avez jamais écouté. Même si elle va probablement vous tuer.
Avertissement liminaire: je n’aime pas Spider-Man. Le personnage et ses traitements à l’écran, s’entend; je crois n’avoir jamais lu un comics à son sujet – même les Spidey, c’est dire. Pourtant, je suis allé voir Into the Spider-Verse.
Bon, je vous préviens tout de suite, après un longue période d’abstinence, j’ai repris le chemin du ciné et, du coup, j’ai vu beaucoup de film ces derniers jours. Après la suite de Wreck-It Ralph, nous sommes allés voir le troisième – et, très probablement, dernier – film de la série How to Train Your Dragon, intitulé The Hidden World.
Ralph Breaks the Internet commence six ans après le précédent opus. Après leurs aventures, Ralph et Vanellope coulent des jours paisibles, au milieu de leurs collègues des bornes d’arcade voisines. Paisible? Peut-être trop paisibles pour Vanellope, qui rêve de changement.
Oui, je suis très en retard sur la série The Laundry, de Charles Stross. Fort heureusement, comme j’ai des amis géniaux (et une wishlist à jour), j’en ai reçu deux pour mon récent anniversaire, dont The Nightmare Stacks, septième de la série et faisant suite à The Annihilation Score.
Je ne lis pas souvent des traductions. Là, il se trouve que je cherchais quelque chose en petit format pour lire dans le bus et que je suis tombé, dans notre bibliothèque, sur La Tour de Babylone, un recueil de nouvelles de Ted Chiang que mon épouse avait acheté il y a quelques temps. Il est sorti en anglais en 2003 et en 2006 en version française (et 2010 pour l’édition poche que j’ai lue).
En 1795, un jeune colonel de l’armée du roi de France débarque à la Nouvelle-Orléans insurgée. En apprenant qu’il ne doit pas intervenir lorsqu’une armée espagnole va revenir pour reprendre et piller la ville, il se mutine. C’est ainsi que commence l’épopée de Napoléon en Amérique, signé Sébastien Capelle.
Le roman de Lazare Guillemot, 115° vers l’épouvante, commence par un nuage bizarre. Dans un coin perdu de Cornouailles dans les années 1920, Billy est un orphelin qui s’improvise « guide officiel » pour les rares touristes qui viennent visiter les pierres levées de la région. Jusqu’au jour où lui et le prêtre catholique qu’il accompagne sont agressés par un nuage en forme de batracien.
Oui, je sais, je suis en retard: Too Like the Lighting, d’Ada Palmer, premier ouvrage d’une tétralogie, est paru en 2016. Mais comme le quatrième tome n’est prévu que pour 2020, j’ai bon espoir de pouvoir les enchaîner les quatre sans trop de pause.
Alerte copinage! Hot Space est une bande dessinée de science-fiction écrite et dessinée par Le Pixx, alias Pierre Le Pivain, qui a travaillé comme illustrateur (couverture et intérieur) sur Le Secret du Domaine des trois sources, la « Campagne Lupanar » pour Tigres Volants et que je connais depuis plus longtemps que ça.
Une jeune femme et un robot, tirant un kayak, traverse une zone aride au milieu d’une tempête de sable. Ainsi commence The Electric State, le dernier ouvrage de Simon Stålenhag. Il se déroule dans ce qui était autrefois les États-Unis, mais en cette année 1997 alternative, c’est un no man’s land entre les USA et Pacifica.
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