Terre, 2084. L’humanité semble vivre ses dernières années lorsqu’arrivent d’immenses vaisseaux: « Nous sommes Renaissance, n’ayez pas peur. »
Un homme-robot, une métamorphe, un pilote radioactif et son symbiote, soixante-quatre personnalités dans une personne et le Chef. C’est la Doom Patrol.
London, an 3000. Bodichiev enquête sur des morts qui défient l’entendement. C’est le point de départ de Menace sur l’Empire, de Viat et Olav Koulikov.
Dans The Gone World, de Tom Sweterlitsch, Shannon Moss enquête sur l’assassinat d’une famille. Et accessoirement sur la fin du monde.
A Boy and His Dog at the End of the World est un titre qui résume bien ce roman de C. A. Fletcher: il y a un garçon, son chien et la fin du monde.
Au début de Attack Surface, de Cory Doctorow, une spécialiste de la sécurité informatique essaye de concilier son boulot et ses états d’âme.
Quand commence 88 Names, de Matt Ruff, son protagoniste n’a plus que quatre-vingt huit noms pour des personnages de MMORPG. C’est un problème.
The Labyrinth, nouvel ouvrage de l’auteur et illustrateur Simon Stålenhag, raconte la survie dans un monde ravagé – et le prix de cette survie.
Et si Robert Oppenheimer s’était évertué à sauver l’humanité? C’est le thème qu’explore The Oppenheimer Alternative, de Robert J. Sawyer.
Dans « Sherlock Holmes and the Vampires of Eternity », de Brian Stableford, nous avons Sherlock Holmes, des vampires, l’éternité, mais pas que.
Ne vous fiez pas à la couverture de The Rook, de Daniel O’Malley, et de son slogan « MI5 for Wizards ». C’est beaucoup plus malin que ça.
Quand j’étais gamin, j’étais fasciné par le jeu de combat spatial Elite, sur Commodore 64. J’ai retrouvé ce feeling avec Everspace.
Raconter l’histoire de la SF en bande dessinée ressemble à une gageure. C’est pourtant le pari – au final plutôt réussi – de La Science-fiction.
Futur indéterminé, mais proche. Nellio est contacté pour travailler sur le projet Printeurs qui pourrait changer la face du monde.
Un beau jour, par hasard, l’étudiante Allison Ruth se retrouve un pouvoir incommensurable et un seul mot d’ordre: Kill 6 Billion Demons.
Paris, 1889: Tour Eiffel, spirites, assassins fantômes et superscience. C’est l’univers de la bande dessinée Naissance du Tigre.
J’ai terminé l’Intégrale raisonnée de Roland C. Wagner, qui inclut Le Faisceau chromatique, une histoire de mondes parallèles.
Encore un Blake et Mortimer! Voici Le Cri du Moloch, qui conclut l’histoire lancée par L’Onde Septimus, suite du légendaire La Marque Jaune.
Un géant un peu benêt, un enfant albino ou un bûcheron taciturne sont quelques-uns des personnages de Mémoires d’Exoterres, de Fabrice Pittet.
© 2025 Blog à part — Powered by WordPress
Theme by Anders Noren — Up ↑