C’est au site eMaginarock que je dois la découverte de cet album de post-rock, Speaking for Clouds, du groupe slovène Shadow Universe.
Achromata, le précédent album du groupe russe Aesthesys, avait fait l’effet d’une bombe. Alignments, le nouvel opus, pose la question: sera-t-il au niveau?
Key, de Pg.lost, date de 2012. Mais ça faisait un moment que je voulais découvrir ce groupe autrement qu’en fond sonore dans les concerts de post-rock.
Même si j’ai un rapport assez conflictuel avec le post-rock, j’ai plutôt bien aimé le premier album du groupe français Xanthe Dorsa.
Lebowski est un groupe de rock progressif cinématique. Galactica est leur nouvel album et, en effet, on a l’impression d’entendre une bande originale.
Quand un groupe ignore les règles de capitalisation et de ponctuation, c’est fort souvent un groupe de post-rock, comme hubris., qui propose Metempsychosis.
Obscuroscope est le nouvel album d’Astrosaur, un groupe norvégien de gros rock instrumental qui tache, quoiqu’un peu trop vintage à mon goût.
Triumph & Distaster, du groupe australien We Lost the Sea, est une variation « classique » du post-rock, plus dans le style de ce qui se fait aujourd’hui.
Russian Circles est un des premiers groupes de post-rock que j’ai découvert. Plus de dix ans plus tard, je les retrouve avec un nouvel album, Blood Year.
Imaginez que Sky over Giza est un film de science-fiction italien des années 1960, dont la bande originale est composée par La Morte Viene Dallo Spazio.
Quantum Fantay est de retour avec Yemaya Orisha, un space-rock instrumental pour vous emmener aux limites de l’espace-temps et de la conscience!
C’est par la poste qu’est arrivé mon exemplaire de 影 [kage], le nouvel album du groupe français de post-rock Neurococcyx. Ce n’est pas très courant.
Quand un ami que je n’ai pas revu depuis cinq ans me dit « Salut! avec mon groupe, on joue à Genève ce samedi. Tu viens? », ça fait un peu bizarre. Déjà, je ne savais pas qu’il jouait dans un groupe. Le groupe en question s’appelle SED et il jouait donc à Le Scène de Genève.
Un des aspects les plus difficiles de la vie de blogueur musical, c’est d’arriver à tenir la cadence, entre les sorties attendues et les découvertes géniales. C’est pourquoi Achromata, dernier album en date d’Aesthesys, qui entre dans la seconde catégorie, a mis autant de temps à avoir sa chronique.
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