Et hop! Une troisième saison pour Agents of SHIELD, la série de l’univers cinématique Marvel qui, en se focalisant sur le pendant humain des Avengers, fait le lien entre les divers films. Bon, dans le cas présent, ce n’est pas vraiment le cas et c’est peut-être un peu dommage.
Y’a-t-il de la vie dans l’univers ailleurs que sur notre planète? C’est autour de cette question que s’articule L’Exoconférence, le nouveau spectacle d’Alexandre Astier. Comme son nom l’indique, c’est une conférence; et, comme son auteur l’indique, c’est une conférence qui va quelque peu partir en vrille.
Profitant des fêtes, on s’est tapé, avec une partie du gang habituel, une séance de rattrapage vidéo avec Ant-Man, un des derniers avatars récents de l’univers cinématique Marvel. Je me méfiais un peu, pour cause de manque d’affinité flagrante avec l’autre super-héros insectoïde (oui, je sais que les araignées ne sont pas des insectes), mais celui-ci était plutôt rigolo.
Double passage obligé du geek blogueur contemporain: je suis donc allé voir The Force Awakens, le nouvel opus de la saga Star Wars, et me voici donc à écrire un billet là-dessus. Histoire de rendre les choses un peu plus amusantes, je vais essayer de faire en sorte de ne rien à dévoiler de l’intrigue et des surprises d’icelles.
Une mission habitée sur Mars qui tourne mal, un astronaute laissé pour mort sur la surface de la planète et la survie à tout prix pendant plus de 500 jours, tels sont les thèmes de The Martian, dernier film de Ridley Scott, avec Matt Damon dans le rôle-titre.
Dès le premier épisode, Dark Matter, série de science-fiction canadienne, pose l’ambiance: six personnages, à bord d’un vaisseau spatial, se réveillent d’une stase cryogénique amnésiques et commencent par s’entrebraquer. Ensuite, les choses dégénèrent.
Moitié science-fiction, moitié post-apo, la série américaine Defiance nous est donc revenue pour une troisième saison – qui pourrait bien également être la dernière. Fondamentalement, si vous pensiez, à la fin de la saison précédente, que les personnages étaient dans la merde, vous n’avez rien vu!
Un des premiers conseils que j’ai entendu quand j’ai commencé à faire de la photo – c’est à dire, quand j’ai acheté mon premier reflex – a été « faut shooter en RAW« . Les gens qui me connaissent pourront facilement déduire que ma réaction initiale a été « NAN! J’VEUX PAS! », suivie assez rapidement par un « bon, je vais quand même essayer ».
Ce fut un week-end studieux; geek, mais studieux. But du jeu: se lancer dans la photographie de portrait, celle qui implique des éclairages, des costumes, du maquillage et toutes ces sortes de choses.
Après une excellente première saison, la série américano-britannique Penny Dreadful revient pour une deuxième dose d’horreur gothique dans un Londres victorien du plus bel effet. Retour gagnant? Oui et non.
Après avoir vu le dernier épisode, je me suis dit « elles sont vachement biens, ces deuxième et troisième saisons de Agents of SHIELD! » Avant de m’apercevoir que ce n’était que la deuxième saison. Que.
Lorsqu’une version française de Top Gear, l’émission vroum-vroum-débile de la BBC dont je vous avais déjà parlé, a été annoncée, j’ai eu de gros doutes. Pour moi, l’expression « à la française » veut très souvent dire « en moins bien » et, du coup, j’appréhendais quelque peu ce que pouvait donner cette édition made in France.
Dans le dernier épisode en date de Agents of SHIELD, Coulson lâche « c’est le moment d’appeler les Avengers ». La nature et l’univers cinématique Marvel étant bien faits, voici donc Avengers: Age of Ultron, le nouveau film.
Dans l’océan des suites, spin-offs, préquelles et autres de l’univers cinématique Marvel, il en est une récente que j’ai trouvé particulièrement sympathique: la série télé Agent Carter.
Petit génie de la robotique, Hiro Hamada fait le désespoir de son grand frère Tadashi, également roboticien, en gaspillant son talent dans des combats de robots moyennement légaux. Lorsqu’il parvient enfin à le convaincre d’entrer à l’université, il meurt dans un incendie, laissant à Hiro un prototype de robot infirmier, Baymax. Mais Hiro découvre que la mort de son grand frère n’est peut-être pas accidentelle.
Oui, ça me fait un peu bizarre à moi aussi, mais aujourd’hui, je vais vous parler d’un appareil photo: plus précisément du Sony DSC RX100II, celui-là même que j’ai emmené il y a une semaine au concert d’Epica et qui, disons le, m’a bien bluffé.
Galavant le brave, le fier, le redresseur de torts, est le héros de cette série télé. Il vit heureux au Moyen-Âge avec sa belle et douce Madalena, jusqu’au moment où cette dernière est enlevée par l’odieux roi Richard, qui entend bien l’épouser. Sauf qu’au moment où le héros, après avoir pourfendu un parterre de sbires, vient sauver sa belle et celle-ci lui annonce que, tous comptes faits, elle préfère la gloire et la fortune, merci et à jamais!
En rédigeant il y a peu le billet sur Jack of All Trades, je me suis aperçu que je ne vous avais pas parlé de Sleepy Hollow. Ce n’est pas très malin, parce que cette série fantastique, vaguement inspirée par le film éponyme, mérite qu’on s’y intéresse.
Jack of All Trades est une série télé assez ancienne (une quinzaine d’années) qui était passée sous mon radar avant que Ghislain ne m’aiguille dessus au hasard d’une conversation sur la carrière de Bruce Campbell et sur les inspirations Feng Shui.
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