Vous connaissez l’histoire: un génie et son ami, associé et biographe qui partagent une colocation dans une pension tenue par une charmante vieille dame, dans le Londres de la fin du XIXe siècle. Eh bien Professor Moriarty, de Kim Newman, reprend et retourne l’histoire en la regardant par l’œil de l’antagoniste.
L’Étrangère est un bouquin qui ne peut finir que mal. C’est plus ou moins dit depuis le début; je vous spolie à peine le chapitre trois, là. Court roman de science-fiction signé de l’auteur américain Gardner Dozois. Il date de 1978, mais je l’ai reçu par service de presse de Actu SF, qui vient de le rééditer.
Au hasard de mes divers achats de livres électroniques par Humble Bundle, je me suis retrouvé avec Uglies, de Scott Westerfeld, premier tome d’une série « jeune adulte » qui en compte trois (ou quatre, ça dépend comment on regarde). J’en avais entendu parler à l’époque de sa sortie (2005) comme étant un des meilleurs exemples du genre et, du coup, ça m’a incité à le lire.
Je vous avais déjà causé, l’année passée, de la précédente anthologie du « Prix Mille Saisons », un concours de nouvelles porté par l’éditeur rôlistico-romanesque Le Grimoire. L’édition de cette année avait pour titre, autant que pour thème, Du plomb à la lumière et a donné lieu à une sélection d’une vingtaine de textes de plutôt bonne facture.
Je vais vous faire ici un double aveu de bi-classé lecteur/rôliste: je n’ai jamais joué à Ecryme, ni jamais lu aucun bouquin de Mathieu Gaborit avant ce Bohême, roman steampunk qui se déroule donc dans l’univers du jeu sus-mentionné.
Sous la colline, de David Calvo, c’est un roman qui parle de Colline, la protagoniste, d’une colline, sous laquelle se cachent des choses, de Marseille, de ses mythes et de ses légendes, et surtout de l’Unité d’Habitation (ou Cité radieuse), bâtiment construit par notre Le Corbusier national.
J’attendais avec une certaine impatience la sortie de Mener des parties de jeu de rôles, premier tome de la collection « Sortir de l’auberge » chez Lapin Marteau, d’abord parce que j’aime bien l’idée et ensuite parce que je connais bien la moité des contributeurs.
Alors tout commence dans un squat, avec deux punks qui font les cons et leur copine qui râle parce qu’elle veut dormir. Le problème, c’est que le chambard est en partie dû à un soudain effondrement civilisationnel pour cause d’invasion de zombies: c’est Le club des punks contre l’Apocalypse zombie, de Karim Berrouka.
Il y a des commémorations plus joyeuses que d’autres, celles autour de la guerre 14-18 le sont assez modérément. Si le commun des mortels a une assez bonne idée de l’horreur de ce conflit, des ouvrages comme ce 1914, de Jean-Yves Le Naour, met en lumière des aspects peu connus en se concentrant sur cette seule année.
Pour quelqu’un qui prétend ne pas être patriote, je dois quand même avouer un intérêt certain pour les productions suisses, surtout quand elles concernent des sujets qui m’intéressent, comme ce Futurs insolites, une anthologie suisse de science-fiction et de fantastique, dirigée par Elena Avdja et Jean-François Thomas.
Troisième tome de la série Crown of Slaves, dérivée du Honorverse, Cauldron of Ghosts renoue avec l’improbable duo d’agents spéciaux Victor Cachat et Anton Zilwicki. Si on retrouve un autre duo à l’écriture – David Weber et Eric Flint – le ton est clairement plus sombre que dans les deux premiers.
Imaginons que, demain, on apprenne que non seulement le peuple féerique existe, mais qu’il revient parmi les hommes, avec sa propre technologie parallèle à la nôtre et des tonnes de solutions pour les problèmes de notre temps. C’est, à peu de choses près, le propos de Techno Faerie, de Sara Doke.
Il y a plusieurs décennies, les premières sondes spatiales américaines ont repéré, dans la ceinture d’astéroïdes entre Mars et Jupiter, quelque chose qui pourrait bien être un vaisseau spatial. Dans Fluency, premier roman de la série Confluence écrit par Jennifer Foehner Wells, les premiers astronautes arrivent en vue du vaisseau, dans le plus grand secret.
Ma lecture de Shadow of Freedom part d’un malentendu: j’ai cru qu’il s’agissait du nouveau tome de la saga de science-fiction Honor Harrington, de David Weber. Or, si cet ouvrage se déroule bel et bien dans le Honorverse, il s’agit d’une série annexe intitulée Saganami Island.
Si j’étais taquin, je dirais qu’avec Jésus selon Mahomet, Gérard Mordillat et Jérôme Prieur cèdent à la très geek tendance des trilogies en quatre volumes, vu que leur ouvrage s’inscrit dans la droite ligne de leur « trilogie de Jésus » (Jésus contre Jésus, Jésus après Jésus, Jésus sans Jésus).
Parue dans un seul volume avec Legion, The Emperor’s Soul est une autre nouvelle – une novella, pour être précis – de Brandon Sanderson, très différente du précédent, puisque se déroulant dans un contexte fantastique orientalisant, à la cour de l’empereur d’une nation genre Chine-avec-de-la-magie.
Stephen Leeds, le protagoniste de Legion, novella de Brandon Sanderson, vit seul dans un grand manoir. Seul, avec un majordome. Et aussi, JC, Ivy, Tobias et beaucoup d’autres personnes – à ceci près que ces dernières n’existent pas vraiment: ce sont des hallucinations.
Nexus, la drogue éponyme du roman d’anticipation de Ramez Naam, est un peu plus qu’une simple drogue: un outil pour augmenter les capacités du cerveau, le mettre en réseau avec d’autres utilisateurs de Nexus et même un système d’exploitation neurologique; en résumé, c’est la porte ouverte vers la transhumanité. Et c’est bien là, le problème.
Au cours de mes études d’histoire, j’ai eu l’occasion d’étudier les complots, les conspirations et autres sociétés secrètes. C’est pourquoi, quand j’en ai lu la chronique de Tristan Lhomme sur Hugin & Munin, j’ai eu envie de lire La Synarchie, signé de l’historien français Olivier Dard.
Tu es jeune, tu aimes la littérature de jeune, avec ses hachetagues et ses personnages gènedeurcouire? Tu vas quifer #MonOrchide, le deuxième tome du cycle des NoéNautes, signé de Pouhiou! Quoi, j’en fais trop? C’est pas de ma faute, c’est lui qui a commencé!
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