Sur Mastodon, il y a parfois des clashs; eh oui, c’est donc un réseau social normal. Au détour d’un échange particulièrement vif entre deux contacts, j’ai vu passer une phrase qui m’a quelque peu agacée, quelque chose comme « oui, mais on est agressé par des nazis. »
Comme si le choix pour le premier tour de l’élection présidentielle française n’avait pas été assez difficile, voici le deuxième qui arrive, avec un choix entre une fasciste à peine déguisée et un ultralibéral ex-socialiste devenu la coqueluche des médias – et du patronat.
La semaine passée, j’ai enfin reçu l’information que je pourrai voter dimanche prochain pour le premier tour de l’élection présidentielle française. C’est une bonne et une mauvaise nouvelle.
Début mai 1945, dans le Tyrol autrichien, un château va devenir le théâtre d’un des derniers affrontements de la Seconde Guerre mondiale. C’est le sujet de The Last Battle, un livre d’histoire de Stephen Harding.
J’ai une épouse extraordinaire. Déjà parce que c’est mon épouse et qu’il faut au minimum être extraordinaire pour me supporter au quotidien, mais aussi parce que grâce à elle, j’ai pu enfin lire Les croisades vues par les Arabes, excellent livre d’Histoire signé par Amin Maalouf.
Avec 1918, j’arrive au bout des cinq volumes que l’historien Jean-Yves Le Naour a consacré à cette Première Guerre mondiale, qui porte en elle les germes de tout le XXe siècle. Et ce n’est pas beau à voir.
Moi qui ne connaissais pas grand-chose de la Première Guerre mondiale (je connais nettement mieux la seconde et je ne suis pas super-enthousiasme à l’idée de devenir un spécialiste de la Troisième), je me régale avec la série de bouquins de Jean-Yves Le Naour sur ce conflit. 1917 est, comme son nom l’indique, le quatrième de la série.
Troisième tome de la série de livres historique sur la Première Guerre mondiale signés Jean-Yves Le Naour, 1916 est sous-titré « L’enfer« . Ce qui pose la question suivante: en quoi cette année serait encore plus infernale que les invraisemblables boucheries de 1914 et 1915? La réponse tient en deux noms de lieu: Verdun et la Somme.
Encore deux jours avant la fin de cette année 2016, qui ressemble beaucoup à une hécatombe de célébrités. J’ai vu quelqu’un sur Twitter mentionner le terme « Baby Bust », pour désigner la période à laquelle les héros de la génération du… Continue Reading →
Le shitstorm à la mode du moment, dans le petit monde du jeu de rôle, est illustré à plus d’un titre par le récent billet de Chuchulain, Le rôliste, pire ennemi du jeu de rôle. Je l’ai connu moins énervé, même quand il jouait un Rowaan; c’est dire.
Il y a peu – genre, mercredi 9 novembre, j’ai eu quelques échanges un peu vifs sur les réseaux sociaux avec certains de mes contacts. Un de ceux-ci concernaient un article récent de Ploum, intitulé (Ré)apprendre à rêver, et qui avait été qualifié de « platitude dépolitisante ».
C’est vendredi-vraie-vie et je vais encore vous parler de Psychée pour ensuite dégoiser sur un autre sujet. Les gens vont finir par croire qu’on est mariés, alors qu’en fait, c’est ma petite sœur – autoproclamée, mais on s’en fout. Bref, Facebook a décidé de suspendre son compte Facebook pour 24 heures, suite à des rafales de plaintes de plus ou moins mauvaise foi.
Cette réflexion est née de l’article Le féminisme, par Psychée, en quelques mots – enfin, un peu plus que « quelques » – , mais elle n’a pas de rapport direct avec le féminisme. C’est juste que sa lecture a déclenché chez moi une réflexion sur le thème « fier de » que je rumine déjà depuis un bon moment.
Dans les débats Àlakon(tm) qui reviennent régulièrement sur les réseaux rôlistico-sociaux, il y a la question de la « théorie rôliste », que j’appelle aussi jeuderôlogie. Avec, comme souvent, les écharpages entre « c’est de la branlette intellectuelle » et « on ne peut pas se dire auteur si on n’y connaît rien en théorie rôliste ».
Pour ceux qui suivent les actualités de l’édition, de la BD et des licences libres – oui, tout ça à la fois – vous avez sans doute entendu parler de « l’affaire » Pepper & Carrot. En deux mots, il s’agit d’un webcomic réalisé par un créateur français, David Revoy, disponible gratuitement, sous licence Creative Commons. Or, récemment, Glénat a décidé de publier Pepper & Carrot. Et c’est là que les choses sont parties en vrille.
Dans un peu moins d’un mois, le 22 août, ce sera le Ray’s Day, la fête des livres, des lecteurs et des auteurs. Lancé il y a trois ans par Neil Jomunsi en l’honneur de Ray Bradbury – le 22 août est le jour de sa naissance – l’événement se perpétue et c’est tant mieux!
Une de mes nouvelles expressions fétiches, c’est « ce n’est pas un problème de XYZ, c’est un problème de connards« , où XYZ est un phénomène de société quelconque. Je crois qu’une des premières fois où je l’ai sortie, c’était au cours d’une discussion avec Axelle sur le narrativisme en jeu de rôle. Pour poser le niveau, donc.
Vendredi dernier – évidemment, il fallait que ce soit un vendredi – j’ai vu passer sur Twitter une infographie qui expliquait, en gros, que le vote du Brexit pouvait s’expliquer partiellement par le fait que l’électorat de 65 ans et plus avait massivement voté « Exit« , alors que les 18-25 ans, qui étaient plutôt « Remain« , avaient peu voté.
Il y a des commémorations plus joyeuses que d’autres, celles autour de la guerre 14-18 le sont assez modérément. Si le commun des mortels a une assez bonne idée de l’horreur de ce conflit, des ouvrages comme ce 1914, de Jean-Yves Le Naour, met en lumière des aspects peu connus en se concentrant sur cette seule année.
Dans le sillage de discussions ayant eu lieu dans le cadre de Nuit Debout, Neil Jomunsi a rédigé un Manifeste pour les autrices et les auteurs libres, indépendant-e-s et solidaires. Ce manifeste, dont je suis un des signataires et à la rédaction duquel j’ai participé par la bande, est reproduit ici.
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