C’est – sans surprise – par le forum 1940 La France Continue que j’ai appris l’existence d’un numéro de la revue française Historia consacré à l’uchronie.
Si Roma Æterna avait réellement été éternelle? Les douze nouvelles de Semper Lupa, recueil signé Meddy Ligner, tentent de répondre à cette question.
J’ai tardé à chroniquer le troisième et dernier tome de Moi, René Tardi, prisonnier de guerre au Stalag IIb. Une première lecture m’avait laissé perplexe.
Il y a quelques années, le hasard a voulu qu’à quelques mois de distance, deux blogs me parlent d’ouvrages de Gilles Thomas, spécialiste des catacombes.
Il y a des défaites qui ont le goût de la victoire: le 26 novembre 1989, il y a trente ans, 35% des votants demandaient l’abolition de l’armée suisse.
Il est rare que je vous parle de magazines et si ce hors-série de Guerres & Histoire intitulé Et si… ça s’était passé autrement? a attiré mon attention, c’est parce que c’est un titre « grand public » (une des revues du groupe Science & Vie) qui parle d’uchronie.
Vous êtes déjà au courant que j’aime l’histoire, principalement l’histoire de Genève. Il se trouve que je suis également un grand fan des plans et des maquettes, trois passions qui se rejoignent dans un projet, Genève 1850, qui s’est ouvert ce mardi.
Début mai 1945, dans le Tyrol autrichien, un château va devenir le théâtre d’un des derniers affrontements de la Seconde Guerre mondiale. C’est le sujet de The Last Battle, un livre d’histoire de Stephen Harding.
J’ai une épouse extraordinaire. Déjà parce que c’est mon épouse et qu’il faut au minimum être extraordinaire pour me supporter au quotidien, mais aussi parce que grâce à elle, j’ai pu enfin lire Les croisades vues par les Arabes, excellent livre d’Histoire signé par Amin Maalouf.
Avec 1918, j’arrive au bout des cinq volumes que l’historien Jean-Yves Le Naour a consacré à cette Première Guerre mondiale, qui porte en elle les germes de tout le XXe siècle. Et ce n’est pas beau à voir.
Moi qui ne connaissais pas grand-chose de la Première Guerre mondiale (je connais nettement mieux la seconde et je ne suis pas super-enthousiasme à l’idée de devenir un spécialiste de la Troisième), je me régale avec la série de bouquins de Jean-Yves Le Naour sur ce conflit. 1917 est, comme son nom l’indique, le quatrième de la série.
Troisième tome de la série de livres historique sur la Première Guerre mondiale signés Jean-Yves Le Naour, 1916 est sous-titré « L’enfer« . Ce qui pose la question suivante: en quoi cette année serait encore plus infernale que les invraisemblables boucheries de 1914 et 1915? La réponse tient en deux noms de lieu: Verdun et la Somme.
Il y a des commémorations plus joyeuses que d’autres, celles autour de la guerre 14-18 le sont assez modérément. Si le commun des mortels a une assez bonne idée de l’horreur de ce conflit, des ouvrages comme ce 1914, de Jean-Yves Le Naour, met en lumière des aspects peu connus en se concentrant sur cette seule année.
Si j’étais taquin, je dirais qu’avec Jésus selon Mahomet, Gérard Mordillat et Jérôme Prieur cèdent à la très geek tendance des trilogies en quatre volumes, vu que leur ouvrage s’inscrit dans la droite ligne de leur « trilogie de Jésus » (Jésus contre Jésus, Jésus après Jésus, Jésus sans Jésus).
C’est un peu dans le désordre que j’ai suivi le documentaire Juger Pétain, en quatre parties, diffusé sur la chaîne Planète+ il y a peu (ça nous change des brocanteurs et des ventes aux enchères). C’est dommage, mais ça n’ôte rien à l’intérêt de cette émission de Philippe Saada.
Il m’arrive de me rappeler que je suis historien et de plonger dans un livre traitant de l’Histoire. Récemment, ce fut Les inconnus de Versailles, de Jacques Levron, recommandé par Tristan Lhomme – excusez du peu! – sur le blog choral de Hugin & Munin.
Quand on lit un titre comme Invraisemblances et contradictions dans la Bible, de Gerald Messadié, soit on est un athée convaincu et on ricane sur le pléonasme, soit on est un croyant et on hurle au blasphème. Et si, comme moi, on est un peu entre les deux, tendance historien, disons qu’on fait un peu des deux aussi.
Ce deuxième tome de Moi, René Tardi, prisonnier de guerre au Stalag IIb, intitulé Mon retour en France parle beaucoup de retour et, au final, assez peu de France. Cette bande dessinée biographique de Jacques Tardi sur son père est une immersion dans le quotidien des prisonniers de guerre français dans les derniers mois de la Seconde Guerre mondiale.
Quarante ans, ça fait une paye! Il était donc presque logique qu’un historien s’attache à retracer la genèse des jeux de rôles en général et de son Grand Ancêtre en particulier, j’ai nommé Dungeons & Dragons. Pour le coup, c’est Jon Peterson qui s’y colle, dans un ouvrage intitulé Playing at the World.
Depuis quelques temps, au détour d’une discussion sur un autre forum uchroniques (celui de 1940, la France continue), je me suis mis à suivre le forum anglophone Alternate History, qui compte une belle brochette de cinglés de talents et, du coup, une impressionnante collection d’histoires alternatives.
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