De passage à Trolls & Légendes, j’ai raflé les trois volumes des Nouvelles aventures de Harry Dickson signés Gérard Dôle et parus aux éditions Terres de Brume: Le vampyre des Grampians, Le loup-garou de Camberwell et Le diable de Pimlico. Je n’aurais peut-être pas dû: ils m’agacent.
Un article récent intitulé Two Approaches To Creating Plots: Dominoes, and Water sur le blog rôliste américain Gnome Stew a attiré mon attention parce qu’il exprime en une analogie très simple une intuition que j’avais déjà depuis un moment.
De Gaulle meurt dans un accident d’hélicoptère le 31 mai 1968 et la situation insurrectionnelle à Paris dégénère en guerre civile. Cinq ans plus tard, la capitale se reconstruit et un ancien soldat revient demander des comptes. Telle est la base de L’imagination au pouvoir.
Le blog rôliste de Rob Donoghue, Some Space to Think, propose un excellent article intitulé The Meek Shall Inherit The Tabletop sur la notion de faiblesse dans le jeu de rôle.
C’est Psychée, à qui je parlais de mon amour immodéré pour L’Usage du monde, qui m’a donné envie de lire L’épopée de la Croisière jaune de Jacques Wolgensinger.
Le plan de salle de la convention Trolls & Légendes a réveillé en moi le souvenir de l’Auberge du joyeux condamné, à mi-chemin entre le jeu de rôle et le jeu de plateau, jouée notamment par correspondance du temps de Plié en deux.
Je dois à Ghislain de m’avoir fait découvrir le groupe pyrénéen Stille Volk au travers de leur dernier album en date, Neuit de Sabbat (paru en 2009).
Ce billet fait suite à une série de messages entre Cédric Ferrand, moi et quelques autres sur la question de la création de jeu de rôle, par opposition à l’écriture de scénarios pour des jeux existants.
J’avais beaucoup entendu parler de The Atrocity Archives et de sa suite, The Jennifer Morgue, série signée Charles Stross et j’avais jusque là un peu hésité, principalement par anti-lovecraftisme primaire. C’est un tort, car la série est tout bonnement excellente.
La Fête du Jeu, convention regroupant un grand nombre de clubs valaisans, a pris ses quartiers au Casino de Saxon, lieu mythique du jeu en Suisse.
Je vous ai déjà causé des concerts de Trolls & Légendes, mais je ne me suis pas seulement allé voir des groupes dont je n’avais jamais entendu parler (sauf deux).
Les Eyldar et, dans une moindre mesure, les Atlani adorent l’eau; du coup, les bains publics occupent une place centrale dans la vie sociale – une place où les vêtements n’ont pas la leur.
Hier soir, nous sommes allé voir Suckerpunch. Vous avez vu la bande-annonce, le reste du film est pareil: filles sexy, gros flingues, bastons furieuses et c’est à peu près tout.
Si les personnages souhaitent renouveler leur garde-robe, acquérir une arme ou à peu près n’importe quel objet manufacturé, il va leur falloir là encore changer d’habitudes: par exemple, ce n’est pas la peine de chercher une boutique de prêt-à-porter. Silestarin compte par contre quelques tailleurs tout à fait compétents.
Ne cherchez pas d’épicerie à Silestarin : il n’y en a pas. Le plus souvent, les habitants achètent leur provisions via les services de l’intendance. Les habitats du système produisent une grande partie de ce qui y est consommé, mais les importations peuvent facilement être ruineuses.
Il y a aussi le marché, dont une partie de la vingtaine d’étals qui occupent tous les deux jours la place centrale du village.
Dans cet article et les deux à suivre, je vous propose une petite immersion dans la sphère culturelle atlano-eyldarin et quelques idées de saynètes, conçues pour meubler des temps morts et donner aux joueurs un petit aperçu de la vie quotidienne. Commençons par quelques généralités.
Et c’est reparti, comme chaque année, pour le compte-rendu de la convention Orcidée ! Un événement tellement bien rodé qu’on pourrait le résumer en une formule de carte postale : « Temps magnifique, wish you were here. »
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