Je vous avais déjà parlé du duo russe Kauan. Ils reviennent avec Kuu… dans le domaine d’un post-rock planant mélancolique, idéal pour apaiser les grands nerveux ou alimenter le spleen d’une nuit d’insomnie.
Paris, 1900: ses gratte-ciels, ses dirigeables, ses machines à vapeur – fruits du pillage d’Univerne, l’île utopique créée par l’inventeur visionnaire Jules Verne et détruite par les grandes puissances.
Retenez-bien ce nom: Obiymy Doschu. Je sais, ce n’est pas facile, mais si Elehia, premier album de ces Ukrainiens, est une indication, ça risque d’être une des très grosses surprises de 2011!
Mon précédent et séminal article sur le davincipunk a été sans doute un peu léger, il est temps de s’interroger sur les éléments du davincvipunk et de voir où piocher des inspirations.
Pour ceux qui doutaient encore que la Pologne est en train de devenir une grande nation du prog, du métal et de musiques assimilées (= que j’écoute), je vous présente Earthshine, dernier album en date de Tides From Nebula.
J’avoue que ce titre a un peu pour seul but de faire écho au Formicapunk de Boulet, mais il m’est surtout inspiré par la nouvelle bande-annonce du film The Three Musketeers, annoncé pour très bientôt au cinéma.
Quatre ans après leurs premiers délires – et surtout après la sortie de Battle Los Angeles –, les tenanciers de RPG.net s’interrogent de nouveau sur les raisons d’une invasion extra-terrestre.
L’article de Romain Rivière, intitulé “Il faut rejeter la licence globale !” et au demeurant excellent, ne m’a pas tant interpellé à cause de son sujet que par l’autre cause qu’il défend: un revenu universel pour tous.
Si vous êtes un fan de Suppressed Transmission et de Ken Hite en général, vous allez adorer Things That Never Were, de Matthew Rossi. Ou le détester, c’est selon.
Trop de mutants tue les mutants. C’est la réflexion première que je me suis fait en sortant de la séance ciné de X-Men: First Class hier soir.
You Might be a Zombie (and Other Bad News) est une compilation d’articles inédits venus des éditeurs du site satirique américain Cracked.com, principalement des listes de faits véridiques (enfin, relativement véridiques), mais franchement bizarres.
“Birdwatchers”, premier tome de la série Spynest, est un jolie tranche de pulp Seconde Guerre mondiale, avec un héroïne navajo à la plastique improbable, un Ian Flemming (oui, le créateur de James Bond) en agent secret britannique raisonnablement compétent et à peu près toute la panoplie des clichés sur les Nazis.
Après Atrocity Archives et Jennifer Morgue, j’ai lu The Fuller Memorandum, troisième volume des aventures de Bob Howard, informaticien-démonologiste au service secret de Sa Majesté.
À l’écoute de Bridges of Kukuriku, dernier album en date de Quantum Fantay, nombreux sont sans doute ceux qui ont hurlé au plagiat, tant il ressemble au space-rock d’Ozric Tentacles. Personnellement, je le vois plutôt comme un passage de relais.
De passage à Trolls & Légendes, j’ai raflé les trois volumes des Nouvelles aventures de Harry Dickson signés Gérard Dôle et parus aux éditions Terres de Brume: Le vampyre des Grampians, Le loup-garou de Camberwell et Le diable de Pimlico. Je n’aurais peut-être pas dû: ils m’agacent.
De Gaulle meurt dans un accident d’hélicoptère le 31 mai 1968 et la situation insurrectionnelle à Paris dégénère en guerre civile. Cinq ans plus tard, la capitale se reconstruit et un ancien soldat revient demander des comptes. Telle est la base de L’imagination au pouvoir.
© 2025 Blog à part — Powered by WordPress
Theme by Anders Noren — Up ↑