Tag rock progressif
Note à moi-même: ne plus jamais enregistrer Radio-Erdorin après 20 h. Mais bon, « publié est mieux que parfait » et l’épisode de novembre 2025 est donc en ligne.
Dans ma chronique de Watching Worlds Collide, j’avais conclu qu’Esthesis devait « tuer le père », Porcupine Tree. Trois ans plus tard, voici Out of Step, qu’en est-il?
C’est rare que j’achète des compilations, mais lorsque je suis tombé sur Blinded by the Light, j’y ai vu une occasion de me replonger dans Manfred Mann’s Earth Band.
Pour ceux qui se sont jamais demandé ce qu’aurait donné King Crimson en version metal, Cratophane a une réponse et elle s’appelle Exode.
Il y a peu de groupes qui ont un son unique, reconnaissable entre mille. Gazpacho est de ceux-ci et il le prouve une fois de plus avec Magic 8-Ball, leur douzième album.
Uriah Heep fait partie de ces groupes emblématiques des seventies que je connaissais pas, ou si peu. Du coup, quand j’ai vu Salisbury aux puces, je l’ai pris.
Au hasard de mes visionnages, je suis récemment tombé sur une nouvelle pépite du rock français: Moundrag, via cet album au nom évocateur de Deux.
On ne va pas se mentir: enregistrer plus d’une demi-heure de vidéo quand on est enroué, c’est pas idéal. Mais il y a un épisode de Radio-Erdorin à faire, celui d’octobre 2025.
Vous savez ce qui est plus cool que le rétro-prog? Le rétro-néo-prog! Vous ne me croyez pas? Allez jeter une oreille sur Wind and Memories, de Untold Stories.
Me vendre un groupe de prog-metal, ça n’est pas très difficile: mentionnez du violon et l’hémisphère austral, comme sur l’album In Thrall to Heresy de Shepherds of Cassini.
C’est une chronique de Rhyme Signature qui m’a fait découvrir Into Darkness, d’Orion. Et, encore une fois, j’aurais peut-être dû me méfier de son enthousiasme.
Steven Wilson est un des musiciens les plus influents de ces dernières décennies et je me suis intéressé à son autobiographie, intitulée Limited Edition of One.
Dans le rétro-prog, il y a des références incontournables, Et puis il y a Discipline qui s’inspire de Van der Graaf Generator, comme le prouve leur album, Breadcrumbs.
Récemment, un spectateur de Radio-Erdorin me parle de l’album Beyond Cosmic Infinity d’un groupe suisse, Flame Drop. Je me dis que c’est Flame Dream, mais non.
Par rapport au mois passé, le tournage de cet épisode de Radio-Erdorin a été placé sous le signe de la routine. Ce n’est pas plus mal.
La principale raison pour laquelle j’ai écouté l’album The Book of Hours de Agropelter, c’est parce qu’il a apparu sur mon flux RSS au moment où je faisais mes achats.
J’ai parfois l’impression qu’à chaque fois que je pense avoir le bazar sous contrôle, il y a un nouveau glitch qui déboule dans le tournage des épisodes de Radio-Erdorin.
Encore un album ramassé un peu au pif à Paris et qui a été chroniqué par les suspects habituels: Shells, par Everon. Pas que je me plaigne: il est plutôt sympa.
Dans la foulée de sa dernière tournée, Haken nous propose un petit album live, à la bonne franquette – un triple CD, intitulé Liveforms.
En commençant des recherches pour cette chronique, je me suis aperçu qu’un peu tout le monde avait déjà entendu parler de Dim Gray et de leur nouvel album, Shards.