Au vu de mon bilan Flattr pour le mois de juillet 2015, la question se pose de nouveau: tendance lourde ou sécheresse saisonnière? Car les recettes se sont élevées à €7.53, ce qui est le point le plus bas depuis décembre 2012. Dans le même temps, mes dons sont toujours de €10, mais avec 39 clics.
En attendant la prochaine navette pour Bételgeuse via Orion et les Perséides, j’ai Helios/Erebus, le dernier album de God Is an Astronaut, dans les oreilles. Via les systèmes haptiques de ma combinaison, je peux sentir les vents solaires d’étoiles inaccessibles, les rayonnements gamma de quasars invisibles; pour un peu, je pourrais presque goûter l’herbe de l’Irlande, terre natale de ces fleurons du post-rock.
Il y a cinq ans, j’avais quelque peu craqué pour une paire de Vibram FiveFingers. Pas les films pornos – je sais qu’avec moi, la précision n’est probablement pas anodine – mais les chaussures de Hobbit minimalistes à orteils apparents et aux couleurs ignobles. À l’usage, cette version s’était avérée sympathique, mais pas forcément pratique.
Il m’a fallut un bon moment avant d’écrire cette chronique de Illusory Blues, de Messenger. J’avais acheté l’album à l’instinct, lors de mon dernier passage au rayon prog de Gibert Musique, et il stagnait quelque peu dans ma liste de lecture, entre deux titres plus intéressants.
Paris en vert (et contre tous) La Ville libre de Paris n’a jamais manqué de plans mégalomanes – pardon, de Plans Mégalomanes! – mais celui lancé par l’actuelle administration, consistant à transformer la cité européenne en grand jardin d’ici à… Continue Reading →
Quand j’ai vu que Clair & Obscur chroniquait Birdbrain’s Travels, le nouvel album de The Healing Road, j’avoue avoir ressenti une certaine crispation, en rapport avec ma précédente expérience avec ce projet. Expérience que l’on pourrait résumer par « on peut donc être trop influencé par Mike Oldfield ».
Le Banquet de la Licorne est le septième tome des aventures du mandarin Tân, aventures écrites par l’écrivaine d’origine vietnamienne Thanh-Van Tran-Nhut et qui se déroulent au XVIIe siècle dans son pays natal. Non, je n’ai pas lu les autres. Pas encore.
Ce fut un week-end studieux; geek, mais studieux. But du jeu: se lancer dans la photographie de portrait, celle qui implique des éclairages, des costumes, du maquillage et toutes ces sortes de choses.
Après la Croatie, un autre pays exotique à accrocher à mon tableau de chasse musical: Singapour. Car c’est de cette riante cité-État (insérez ici rires des fans de Tigres Volants) que provient le groupe de post-rock In Each Hand a Cutlass, dont The Kraken est le dernier album en date. Mille remerciements à Neoprog pour cette découverte!
Au hasard de mes lectures, je suis tombé sur un article du site français Weka, intitulé Le comportement des habitants est inadapté aux écoquartiers. Il pose que le plus gros problème actuel que rencontre les quelques écoquartiers, c’est que les habitants en sont restés à une mentalité « hachélème » qui n’est pas du tout adapté à leurs spécificités.
Malgré cagnard, festivals et obligations professionnelles, je poursuis mes réflexions et expérimentations sur les mécanismes de jeu en posant quelques considérations sur les ressources et les contacts.
The Tangent a pendant longtemps été un groupe enthousiasmant, mais, ces derniers temps, je le trouve surtout frustrant. Illustration par A Spark in the Aether, son nouvel album, qui, après un Le Sacre du Travail plutôt sympa, retombe dans ses travers auto-référents.
Autant j’avais bien apprécié le premier tome du Vaisseau ardent, de Jean-Claude Marguerite, autant j’ai eu plus de difficultés avec cette deuxième partie, intitulée La Rédemption du pirate.
Alors voilà, l’édition 2015 du Night of the Prog s’est terminée il y a presque une semaine, après trois jours de folie – trois, parce que c’était l’édition du dixième anniversaire. Je ne vais pas – trop – revenir sur les groupes, je vous ai déjà fait trois articles sur le sujet. Mais un tel festival, ce n’est pas que les concerts.
La météo, radieuse la veille, nous gratifie d’ondées matinales. Rien de tel pour se réveiller de bonne humeur qu’une tente dont l’atmosphère est saturée d’humidité et des douches privées d’eau chaude. Qu’à cela ne tienne: on n’est pas là pour se la couler douce, y’a Night of the Prog, deuxième jour! Avec un programme de folie, en sus.
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