Vous l’aurez compris au titre: je trolle un peu. Je reviens aussi sur un sujet sur lequel j’ai tendance à faire une fixation: la place de la critique dans la création. La faute en revient conjointement à Fabrice Colin, qui a écrit sur son blog (please follow) the golden path l’article par pitié ne me faites pas de mal, et à Laurent Kloetzer, qui l’a partagé.
J’ai hésité un long moment avant d’acquérir ce live de Dead Can Dance, simplement intitulé In Concert. J’aurais peut-être dû hésiter un peu plus, car je me suis retrouvé avec Anastasis en prime – et à double, du coup.
J'ai plein d'histoires dans ma tête, mais ça vous le savez déjà. Une de ces histoires, en rapport lointain avec l'univers de Tigres Volants, concerne une civilisation eyldarin militarisée – un peu comme l'Elcarasiri, mais à l'échelle de la galaxie.
Comme je fais une fixette sur les avions, j'avais imaginé qu'ils avaient des intercepteurs dont la dernière génération, au nom de code “Dieu des ténèbres”, avait un peu la tête du modèle ci-dessus – baptisé moins poétiquement “Chicken Jet” par son auteur, Al Brady.
L'image vient du fabuleux site “Concept Ships”.
Nom de code « Dark Deity » J’ai plein d’histoires dans ma tête, mais ça vous le savez déjà. Une de ces histoires, en rapport lointain avec l’univers de Tigres Volants, concerne une civilisation eyldarin militarisée – un peu comme l’Elcarasiri, mais… Continue Reading →
Bon, ce n’est pas la première fois que je vous en parle, mais le Festival international des jeux de Cannes (FIJ pour les intimes) est en train de devenir un évènement ludique incontournable, marquant en plus l’ouverture de la saison des conventions.
Deuxième rattrapage de film semi-moisis pas vus au ciné, The Wolverine, la suite des aventures du sociopathe immortel qui fait « snickt! » quand on l’énerve. Cette fois-ci, il part au Japon pour y perdre son immortalité.
J’avoue: j’aime bien Transatlantic et leur rock progressif à grand spectacle, qui tente de réconcilier, avec plus ou moins de bonheur, les anciens et les modernes. À l’écoute de *Kaleidoscope*, leur dernier album, j’ai quand même l’impression que le supergroupe est en train de tourner gentiment en rond.
Il y a quelques semaines, un jugement en appel a condamné Olivier Laurelli, alias Bluetouff, à €3000 d’amende. Son crime: avoir trouvé, au hasard d’une recherche à partir d’un site très connu et qui rime (mal) avec « muggle », une palanquée de documents censément confidentiels.
Comme je l’avais mentionné dans mes billets précédents, j’ai passé trois jours à Washington, DC (là-bas, on dit juste « DC », pour éviter de confondre avec l’état du même nom). Si j’étais méchant, je dirais que sans les mesures de sécurité à l’arrivée, ça aurait été quatre jours, mais ce serait très exagéré: je n’ai attendu qu’une heure et demie dans la file au contrôle des passeports.
En fait, Elysium, ça aurait pu être un putain de bon film. Il aurait juste fallu decrétinifier le contexte, donner un poil plus de consistance à certains des personnages, avoir une mise en scène plus percutante et avec moins de scènes illisibles pour cause de caméra sur l’épaule. Ah, et aussi un scénario qui tienne la route. Trois fois rien, en somme.
J’ai l’air fin: à peine rentré, des étoiles plein les yeux, de ma visite au Stephen F. Udvar-Hazy Center, j’apprends qu’il existe un second National Air and Space Museum, celui-ci situé en plein centre de Washington, non loin du Smithsonian Institute (dont il est d’ailleurs une annexe).
Or donc, je suis à Washington DC. Officiellement, c’est pour le boulot, mais ce dimanche, c’était quartier libre et j’en ai profité pour aller voir un musée qui me faisait de l’œil depuis un petit moment, le National Air and Space Museum, et plus particulièrement le Stephen F. Udvar-Hazy Center.
En cette année anniversaire, la lecture d’un ouvrage sur l’histoire de Donjons & Dragons s’imposait: c’est chose faite avec Of Dice and Men, du journaliste américain David Ewalt, qui prouve une fois de plus que le jeu de rôles mène à tout (y compris à travailler pour Forbes), même sans avoir forcément à en sortir.
Cet hors-série de Charlie-Hebdo, intitulé La laïcité, c’est par où?, date un peu, puisqu’il est sorti en septembre 2013 – avant donc À bas la pub!, que j’avais chroniqué précédemment. Je l’ai trouvé cependant plus pertinent que ce dernier, peut-être parce qu’en ces temps où les fous de Dieu battent le pavé pour faire régresser les droits acquis, il est plus d’actualité.
Plus j’écoute ce Truths, Lies & Half Lies, du groupe anglais Mr So & So, plus je me dis qu’autant le nom de l’album que celui du groupe sont bien choisis: il y a un peu de tout dans cet album, au point qu’on en perd quelque peu le sujet de vue.
Pour un jeune officier frais émoulu de l’Académie spatiale comme Andy Dahl, recevoir un poste à bord de l’Intrepid, vaisseau-amiral de l’Union universelle des planètes, est un rêve. Sauf qu’il s’agit d’un poste où le risque de mourir de façon spectaculaire est remarquablement élevé. Bienvenue dans le monde de Redshirts, roman de science-fiction signé John Scalzi!
Je ne sais pas pourquoi, ces temps-ci, je me retrouve submergé d’albums de post-rock, sans avoir rien demandé à personne. Le dernier en date, c’est At the Dawn of Twilight, du trio français Amphetamin, dont c’est ici le premier « vrai » album (après un EP).
Ceux qui me connaissent (ou qui me fréquentent sur les réseaux sociaux et ailleurs) savent qu’en matière de jeux de mots pourris, il faut faire très fort pour me surprendre. Le Tumblr Laissez parler les petits papiers… fait très, très fort.
Tiens, puisque, la semaine passée, je vous parlais de mes pseudo-bonnes résolutions (elles ne compteront vraiment comme telles quand je les aurai réalisées), en voici une que j’ai commencé à mettre en application: l’usage de logiciels open-source. On va dire que c’est une sorte d’effet Snowden en retard…
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