Invasion est un autre de ces bouquins que j’ai récupéré au hasard d’un Humble Bundle et que j’ai attaqué sans à priori. C’est sans doute une bonne chose: si j’avais su de quoi il s’agissait, j’aurais sans doute passé mon chemin et raté quelque chose.
Deuxième rattrapage de film semi-moisis pas vus au ciné, The Wolverine, la suite des aventures du sociopathe immortel qui fait « snickt! » quand on l’énerve. Cette fois-ci, il part au Japon pour y perdre son immortalité.
Avec ce huitième tome de sa série de superhéro(ïne)s décalée et érotique *Empowered*, Adam Warren continue à développer son univers particulier, reprenant les codes des superhéros à sa sauce, faite de post-modernisme, de réflexions transhumanistes et de jeux à base d’uniformes idiots et de cordes à nœuds (oui, ce modèle aussi).
Pour une fois que nous étions à Genève un week-end, nous en avons profité pour aller voir le dernier volume en date des blockbusters de l’univers Marvel des Avengers, en l’occurrence Thor: The Dark World. Avec quelques arrières-pensées, vu que le premier nous avait paru certes plaisant, mais guère plus.
Après les groupes éponymes, la tendance de l’automne est aux bouquins qui ont pour titre Clémentine. Bon, ce n’est pas tout à fait vrai: ce sixième tome de la série Freaks’ Squeele est une bande dessinée et l’ouvrage de Cherie Priest chroniqué il y a peu est sorti depuis plusieurs années. Au fait, pourquoi s’appelle-t-il « Clémentine »? Je ne sais pas, je cherche encore…
Quelque part, pour quelqu’un comme moi qui ai une relation avec les histoires de superhéros que l’on pourrait qualifier de « conflictuelle » en se vautrant avec délices dans l’euphémisme, ce premier volume relié des récentes aventures de Deadpool, titré Dead Presidents, est exactement ce qu’il faut.
Après pas mal de déceptions cinématographiques, ça fait plaisir de voir enfin un film qui tient plus que ce qu’il promet. De plus, ce film est une suite, puisqu’il s’agit de Despicable Me 2, ce qui en fait un oiseau encore plus rare.
« Donnez un masque à un homme et il vous dira la vérité ». C’est cette citation d’Oscar Wilde qui conclut Le préfet spécial, le quatrième tome de la bande dessinée Masqué, signée par Serge Lehman (scénario) et Stéphane Créty (dessins) et, par la même, le premier cycle de cette série superhéroïque française.
Paris en 1919: alors que le peuple se réjouit de la fin de la Grande guerre, un être étrange à la tête de fer rôde dans la banlieue nord. Marie Curie, la « Reine du Radium », et Léo Saint-Clair, alias Le Nyctalope, joignent leur force pour capturer celui que les journaux ont appelé L’Homme truqué.
Deuxième volume du « Triptyque Milkweed », The Coldest War, de Ian Tregillis, fait donc suite à Bitter Seeds, roman uchronique fantastique où, pour contrer des surhommes créés par les Nazis, la Grande-Bretagne doit faire recours, dans le plus grand secret, à un groupe de démonologistes – et, pour cela, payer le prix du sang en sacrifiant une partie de sa population. Plus de vingt ans après la fin de la guerre, resurgissent les anciens surhommes nazis et, surtout, l’inquiétante Gretel et ses pouvoirs d’oracle. Le problème, c’est qu’ils ne sont plus seuls: les Soviétiques aussi ont leurs super-agents.
Ça faisait un petit moment qu’avec le gang habituel, nous n’étions pas allé au ciné. Objet de la séance d’hier: Iron Man 3, comme son nom l’indique troisième volet des aventures du super-héros le plus cool du moment, j’ai nommé Tony Stark.
Il n’y a pas grand-chose de plus frustrant que de tomber sur un bouquin dont le contexte vous attire mais dont le style donne l’impression que vous n’êtes pas le public-cible. C’est le sentiment que j’ai en reposant, après l’avoir terminé, Dimension super-héros 2, le second (pour le moment) recueil de nouvelles consacré à l’univers Hexagon (site en anglais, mais on peut aussi consulter l’article signé Romain d’Huissier, un des auteurs des anthologies).
Bon, si vous lisez ce blog depuis un moment, vous avez dû noter que je suis passionné par les uchronies en général et celles sur la Seconde Guerre mondiale en particulier. Bitter Seeds, ouvrage signé Ian Tregillis et formant la première partie du « triptyque Milkweed », a attiré mon attention en présentant non seulement une utopie, mais une utopie fantastique et néanmoins glaçante.
Allons bon, encore une série de super-héros; pour quelqu’un qui dit ne pas aimer ça, c’est de moins en moins crédible. Oui, mais The Twelve n’est pas une série standard. Déjà, elle est signée par J. Michael Straczinski, le génial scénariste de Babylon 5 et, d’autre part, elle part sur un présupposé intéressant: douze super-héros de « l’âge d’or », capturés par les Nazis à la toute fin de la Seconde Guerre mondiale, sont retrouvés au début du XXIe siècle.
Hier soir, après le traditionnel barbeuque du samedi soir, nous avons regardé Ghost Rider: Spirit of Vengeance. Ça devait arriver: à force de s’enquiller des séries de films de superhéros, on devait finir tomber sur un qui n’est pas terrible – à se demander même comment ça se fait que la proportion ne soit pas inverse.
On ne change pas une équipe qui gagne: la quatrième saison de la Flander’s Company reprend très exactement les mêmes éléments des deuxième et troisième saisons, tout en y rajoutant un petit coup de volant scénaristique classique, certes, mais toujours efficace.
Chapitre final de la trilogie consacrée à Batman par le réalisateur Christopher Nolan, après Batman Begins et The Dark Knight, c’est peu dire que The Dark Knight Rises était attendu. C’est une relecture modernisée et « réaliste » du personnage, dans un monde très noir, et qui commence d’ailleurs sur une séquence surprenante: un Bruce Wayne physiquement diminué, vivant en reclus depuis huit ans et qu’une série d’événements le visant personnellement va enfin faire sortir de sa retraite.
Après avoir regardé la deuxième saison de The Venture Bros. et y avoir réfléchi sur les toilettes (ce qui est assez raccord), je suis arrivé à une réalisation: cette série est aux dessins animés américains des années 1970-1980 ce que Excel Saga est aux animes. C’est une sorte de cri – d’amour ou de haine, je ne sais pas trop; disons que, si c’est de l’amour, c’est de l’amour vache! Attention, je vais un peu spolier.
Après un excellent premier tome, la série Masqué de Serge Lehman et Stéphane Créty se poursuit avec ce deuxième tome, Le jour du Fuseur. Je n’en dirai pas plus, d’une part parce que Rom1 en a déjà abondamment parlé sur son blog, et ce bien mieux que je ne saurais le faire et, d’autre part, parce qu’il est difficile de ne pas déflorer l’action.
Or donc, je suis allé voir The Avengers, le dernier film de superhéros en date, et c’était très bien. Ne comptez d’ailleurs pas sur une chronique en longueur: certains de mes collègues blogueurs geeko-rôlistes l’ont déjà fait avant moi (et mieux… Continue Reading →
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