Une infirmière, veuve de frais, se lance dans la traversée du continent nord-américain, toujours secoué par une guerre civile qui dire depuis dix ans; c’est ainsi que l’on pourrait résumer Dreadnought, de Cherie Priest. Ce roman, qui peut tout aussi bien se lire de façon indépendante, est en quelque sorte la suite – techniquement, le troisième de la série « Clockwork Century » – de Boneshaker, même si ce n’est pas immédiatement apparent.
Cruel dilemme, épisode N+1 : soit je vous parle des choses que je n’aime pas dans Formicapunk, le septième tome des Notes de Boulet, et je fais le billet le plus court de l’histoire de ce blog, soit je vous en dis tout le bien que j’en pense et je répète à l’envi les articles précédents.
Lentement, mais sûrement, je suis en train d’arriver au bout de l’œuvre de Nicolas Bouvier; Les Boissonnas, ouvrage de commande sur une dynastie de photographes genevois, est un des derniers que je n’avais pas encore lus.
Londres, juin 1902: un officiel est brutalement assassiné chez lui, semble-t-il par une créature de dix mètres de haut qui a ensuite disparu sans laisser de traces, autre qu’une simple feuille de papier. Simple? Pas vraiment: dans le monde de City Hall, le papier est une arme puissante et interdite, avec laquelle les auteurs talentueux peuvent donner vie à leurs créations.
Je ne peux décemment pas passer sous silence la nouvelle de la traduction en français de Lady Blackbird : Contes de l’indomptable bleu du firmament.
Sis dans l’Europe en 1881, That Darn Squid God, de Nick Pollotta et James Clay, est un délire victorien sur un thème qui m’est cher – le démontage de Cthulhu à l’arme lourde.
1925: l’Empereur Napoléon, quatrième du nom, vient de mourir et des rumeurs d’attentat pèsent sur le sacre de son successeur. Ainsi peut se résumer Vive l’Empereur!
Du steampunk, du western et des zombies, c’est le cocktail que propose Boneshaker, roman de l’Américaine Cherie Priest dont j’avais entendu parler via BoingBoing et io9 et que j’ai acheté à Dublin. Soyons honnête : je n’aime pas les zombies et je ne raffole pas du western, mais la mention « steampunk » est souvent suffisante pour me faire acheter un peu n’importe quoi.
Paris, 1900: ses gratte-ciels, ses dirigeables, ses machines à vapeur – fruits du pillage d’Univerne, l’île utopique créée par l’inventeur visionnaire Jules Verne et détruite par les grandes puissances.
J’avoue que ce titre a un peu pour seul but de faire écho au Formicapunk de Boulet, mais il m’est surtout inspiré par la nouvelle bande-annonce du film The Three Musketeers, annoncé pour très bientôt au cinéma.
You Might be a Zombie (and Other Bad News) est une compilation d’articles inédits venus des éditeurs du site satirique américain Cracked.com, principalement des listes de faits véridiques (enfin, relativement véridiques), mais franchement bizarres.
Ce samedi, on a enfin pu reprendre la partie de Lady Blackbird, commencée il y a quelques mois et interrompue par la fatigue extrême d’un des joueurs, que je ne citerai pas ici pour ne pas mettre la honte à… Continue Reading →
Adèle Blanc-Sec, journaliste parisienne au caractère impétueux, se lance en ce début du XXe siècle dans une quête pour redonner vie à sa jumelle, réduite à l’état de légume après un malencontreux accident de tennis impliquant une aiguille à chapeau. Pour… Continue Reading →
Si vous ne lisez pas le blog de Brand, c’est le moment de vous y mettre: l’animal poste peu, mais ses billets sont souvent plein de pépites. Notamment un de ses derniers qui, s’il traitait d’un jeu à la Alien(s),… Continue Reading →
Franchement, je ne vois pas comment j’aurais pu ne pas aimer ce film: il y a Sherlock Holmes, d’une part, qui est un de mes personnages littéraires préférés. Ce Sherlock Holmes est interprété par Robert Downey Jr., qui avait déjà… Continue Reading →
Je sens qu’avec ce billet, plein de gens vont encore me détester. Clockwords (j’y joue aussi sur Kongregate) est une de mes dernières découvertes en matière de petit jeu très énervant, du genre à me faire faire des insomnies. Du… Continue Reading →
Ça faisait un long moment que le DVD de Casshern traînait dans mes étagères. Hier, on s’est enfin décidé à le regarder; un peu par défaut.
Même après deux semaines aux Japon et autant au Mexique, je ne suis toujours pas habitué au kitsch. Ça pique les yeux.
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