J’avoue – et les plus perspicaces d’entre vous l’avaient noté – que le billet précédent sur la difficulté du jeu de rôle de science-fiction était un peu pure provoc’.
Parmi les traditionnelles discussions de convention, une question qui est revenue souvent ce week-end pendant Octogônes, c’est celle de la difficulté de jouer de la science-fiction.
Séance de rattrapage DVD hier soir avec District 9, film de science-fiction sud-africain de Neill Blomkamp que tout le monde, son frère et son petit chien a déjà vu depuis sa sortie en 2009. Et ce pour une bonne raison: il est bordélique, mais très bien.
Surface Detail, le dernier volume en date de la série de la Culture, de Iain M Banks, parle en vrac de virtualité, de mort, de résurrection, de vengeance, d’enfer et de conspirations foireuses.
On parlait récemment des stéréotypes et de leur usage, bon ou mauvais, en fiction. Le film Cowboys & Aliens que je suis allé voir hier soir avec le gang habituel est une assez bonne illustration d’un usage sinon bon, du moins fort distrayant des stéréotypes.
Je vous conseille d’aller lire le discours de Charles Stross lors de la conférence USENIX 2011, intitulé Network Security in the Medium Term, 2061-2561 AD.
C’est la question qui bruisse dans la blogosphère fantastico-SF francophone, suite à un article de Sylvie Denis relayé par Blop, Gromovar, Hugin & Munin et bien d’autres.
L’article Confort de niche, éditorial de la revue Angle Mort, est une réflexion intéressante sur la place de la science-fiction dans la culture contemporaine, mais dont les conclusions peuvent également s’appliquer au jeu de rôle.
Pour ceux qui doutaient encore que la Pologne est en train de devenir une grande nation du prog, du métal et de musiques assimilées (= que j’écoute), je vous présente Earthshine, dernier album en date de Tides From Nebula.
Quatre ans après leurs premiers délires – et surtout après la sortie de Battle Los Angeles –, les tenanciers de RPG.net s’interrogent de nouveau sur les raisons d’une invasion extra-terrestre.
L’article de Romain Rivière, intitulé « Il faut rejeter la licence globale ! » et au demeurant excellent, ne m’a pas tant interpellé à cause de son sujet que par l’autre cause qu’il défend: un revenu universel pour tous.
Star Trek: Enterprise est une série en quatre saisons qui s’intéresse au tout premier vaisseau hyperluminique terrien. Personnellement, je l’aime bien; par certains côtés, elle est à l’opposé de la série originelle et, par d’autres, pas du tout.
Crown of Slaves et Torch of Freedom, de David Weber et Eric Flint, sont les deux tomes d’un spin-off de la série « Honor Harrington », qui se situent entre les trois derniers épisodes de la série. Ceux qui, comme moi, ont… Continue Reading →
Un des effets secondaires de mon récent engouement pour LibraryThing est que je me suis aperçu que j’avais depuis bientôt un an (je l’avais reçu à Noël) Black Man, le dernier roman de Richard Morgan, sans l’avoir lu. C’est malin…. Continue Reading →
Le 6 octobre 2009, toute la planète perd connaissance pendant deux minutes et dix-sept secondes. Pendant ce laps de temps, les personnes inconscientes voient ce qui leur arrive le 29 avril 2010, autour de dix heures du soir. Puis elles… Continue Reading →
Ça faisait un moment qu’Anathem, dernier ouvrage en date de Neal Stephenson, m’observait sur les rayons de ma bibliothèque. J’anthropomorphise (ou zoomorphise, si on veut), parce qu’avec ses mille pages de texte et sa couverture cartonnée, l’ouvrage tient beaucoup du monstre.
Elle nous vient de President Evil, commentateur sur Derrière le paravent, un blog que décidément j’aime beaucoup parce qu’il parle de Tigres Volants. Pas seulement, mais surtout. Bref: Donc j’affirme que l’univers [Tigres Volants] est bien plus sérieux que les univers… Continue Reading →
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