Rock et metal progressifs, science-fiction, jeu de rôle et divagations de vieux gauchiste; maison fondée en 2002

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« Les pirates du temps », de Raymond Milési

Les pirates du temps est le troisième tome des aventures de Delcano, signé Raymond Milési, dont je vous avais déjà parlé précédemment. Pour ceux qui prennent l’histoire en route, Delcano est un agent indépendant des services secrets terriens, dans un 49e siècle multiplanétaire. Du bon vieux space-opéra des familles avec un héros mâtiné San-Antonio.

John Carter of Mars

Nouvelle séance de rattrapage cinéma hier soir avec, pour une fois, un film que j’ai regretté de ne pas avoir pu voir au ciné: John Carter of Mars. On va résumer l’intrigue simplement: un Terrien de la fin du XIXe siècle, ancien soldat de la Guerre de Sécession, se retrouve sur une planète Mars habitée (et nommée par les autochtones Barsoom), impliqué dans une guerre civile.

 

Total Recall

La séance de cinéma d’hier soir a été précédée des dialogues suivants, d’abord jeudi: « On devait pas aller voir un film ce samedi? » – « Oui, mais j’ai oublié quoi »; puis vendredi: « Ah, ça y est, je me souviens de ce qu’on voulait aller voir au ciné et c’est normal qu’on est oublié: c’était Total Recall. » Logique.

Battleship

Nouvelle soirée rattrapage en DVD hier soir, cette fois avec ce qui semble bien être l’idée d’adaptation cinématographique la plus « Wait, WHAT? » de la décennie, voire plus: Battleship, autrement « La bataille navale, le film. » Il doit être possible de faire plus naze, mais mon cerveau se refuse à l’imaginer.

Ce Roland C. Wagner que je n’ai jamais connu

Donc, aveu: je ne connaissais pas Roland C. Wagner, un des grands noms de la science-fiction française, disparu dans un accident de voiture il y a deux semaines. Et, après avoir lu l’article du Monde Roland C. Wagner : une vie de musique et de science-fiction, j’en viens à le regretter.

« Ready Player One », de Ernest Cline

Il y a des bouquins dont on achève la lecture avec une banane irrépressible ; Ready Player One, premier bouquin de Ernest Cline, est de ceux-ci. On y parle de jeux vidéo, de réalité virtuelle, de passage à l’âge adulte et des années 1980 ; ceci explique sans doute cela.

William Sheller: Excalibur

Je n’aime pas la chanson française, mais William Sheller est sans doute le seul artiste qui m’empêchera de passer tout le troupeau au napalm le jour où je deviendrai dictateur du monde. Je n’ai pas non plus l’habitude de passer des clips vidéos dans ce blog, ou alors il faut qu’ils soient bien barrés. « Excalibur », tiré de l’album Ailleurs (1989), est de ceux-ci.

Ce que je n’aime pas lire en science-fiction

Malgré les commentaires de mes collègues et amis sur mon caractère aigri et ronchon – commentaires pas totalement dénués de fond et imputables à ma nature de Genevois et à mon âge – je pense être raisonnablement bon public. Certes, j’aime râler, mais il est rare que je tombe sur un truc qui ne me plaise pas. Rare, mais pas impossible: là, je viens de tomber sur un bouquin de science-fiction francophone   qui est limite douloureux.

« Eternity Incorporated », de Raphaël Granier de Cassagnac

Dans la Bulle, seule structure humaine à avoir survécu au Virus, la vie des citoyens est contrôlée par le Processeur. À ce stade de l’évocation de Eternity Incorporated, roman de science-fiction de Raphaël Granier de Cassagnac, deux catégories de lecteurs de ce blog vont sans doute sourire : les joueurs de jeu de rôle, qui y verront une grosse inspiration Paranoïa, et les habitués de la collection Fleuve Noir Anticipation, à qui cela rappellera sans doute (et entre autres) une trilogie de G. Morris sur un thème similaire.

Factory of Dreams: Melotronical

Une critique de Melotronical, nouvel album du groupe Factory of Dreams, sur Progarchives, disait en substance que c’était la version bizzaro de Nightwish. Et, au-delà de la parenté immédiatement visible sur le graphisme de la pochette, je dois avouer que, musicalement, c’est plutôt bien vu.

Les auteurs de science-fiction contemporains ont-ils peur de l’avenir?

Et boum! Encore un (semi) pavé signé Charles Stross que cet essai intitulé SF, big ideas, ideology: what is to be done? et résumé par Warren Ellis en « Charles Stross tabasse la SF avec un bâton merdeux ». Merci, Warren…

Irrwisch Terminal: leçons et suite

J’avais prévenu: ma nouvelle Irrwisch Terminal dans l’univers de Tigres Volants était une expérimentation à plus d’un niveau. D’une part, au niveau de la méthode d’écriture: un premier jet plus ou moins écrit à l’arrache, dans le train entre la Belgique et Genève. Ensuite au niveau de l’envie d’écrire de la fiction dans un format un peu plus accessible au lecteur lambda que des scénarios de jeu de rôle.

Arjen Anthony Lucassen: Lost in the New Real

Oh, cool! Lost in the New Real, un nouvel album du multi-instrumentiste métaleux danois Arjen Anthony Lucassen, sur une thématique de science-fiction, avec Rutger Hauer lui-même à la narration (dans le rôle du « Dr Voigt-Kampf », ben tiens!). Que pourrait-il arriver de mal? Euh, ben, en fait, à peu près la même chose que sur les précédents albums de l’individu.

Leech: If We Get There One Day, Would You Please Open The Gates?

Le moins qu’on puisse dire avec Leech, c’est qu’ils ne se pressent pas pour faire des albums: If We Get There One Day, Would You Please Open The Gates? est leur quatrième en quatorze ans. Normal, me direz-vous: ce sont des Suisses! Ha, ha, humour. Bon. En même temps, celui-ci et le précédent sont vraiment bien foutus, ce n’est donc pas très gênant.

« Sanshôdô : La voie des trois vérités », de Jean Millemann

Autre bouquin découvert lors de Zone francheSanshôdô : La voie des trois vérités, de Jean Millemann m’a été vendu par l’auteur comme tapant dans le même concept que Tigres Volants, à savoir le choc de culture. Vente suivie par une dédicace chantée que je soupçonne fortement influencée par l’impressionnante collection de boissons alcoolisées qui tapissait le stand, mais passons.

« Le chant des Psychomorphes », de Laurent Whale

C’est sur la foi de la critique plutôt enthousiaste du Traqueur stellaire que j’avais acheté à Bagneux Le Chant des Psychomorphes, de Laurent Whale – ce qui m’avait d’ailleurs une dédicace chantée. True story. Et, pour être très honnête, ce n’est pas sans une certaine appréhension, maintenant que je m’essaye timidement à quelque chose qui s’apparente vaguement, de loin et sans lunettes (surtout les miennes), à faire semblant d’être auteur de fiction.

Irrwisch Terminal, une nouvelle dans l’univers de Tigres Volants

Bon, je ne vais pas continuer à tourner autour du pot (blague eyldarin) plus longtemps: la nouvelle dont je vous parlais en début de semaine est en ligne, sous le titre Irrwisch Terminal. J’avoue: le titre n’est pas vraiment l’élément qui me satisfait le plus dans ce texte.

Trois-quarts de siècles après la rébellion de treize districts, la nation de Panem organise chaque année les Hunger Games, un combat à mort opposant vingt-quatre « tributs », deux jeunes gens entre 12 et 18 ans tirés au sort dans chacun des douze districts survivants.

Écologie et civilisation avancée

C’est un tout petit billet très court signé Warren Ellis, dont le contenu peut se résumer à son titre: Any Sufficiently Advanced Civilization Is Indistinguishable From Nature.

« Salut Delcano! », de Raymond Milési

C’est au hasard de mes pérégrinations sur les stands de Zone franche que je suis tombé sur Salut Delcano!, de Raymond Milesi, le chaînon manquant entre la SF et San-Antonio. 

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