Le nordagust, l’esprit du vent du nord, souffle indubitablement sur le nouvel album de Nordagust, In The Mist of Morning. Contrairement à ce que laisse penser la pochette, on n’est pas dans le post-black métal, mais un rock progressif lent, mais riche.
Je ne suis pas un grand fan du sous-genre dit « rock progressivo italiano » et qui désigne le style musical typique d’une pétée de groupes transalpins qui me sont tous plus inconnus les uns que les autres. Néanmoins, je me suis laissé tenter par le premier album éponyme de Il tempio delle clessidre.
Quand je vous disais qu’il y avait du lourd dans mon pipe-line musical, ce n’était pas juste du bête teasing à deux balles. Parce que oui, pour moi, Lazuli, c’est du lourd ! Il a fallu moins de cinq ans pour que cette formation française devienne un incontournable du rock progressif et ces 4603 battements en sont autant de preuves incontestables.
De deux choses l’une : ou vous êtes fan du style Steven Wilson et ce fort bien nommé Warm Winter de Memories of Machines va vous transporter une fois de plus, ou vous ne l’êtes pas et vous allez passer la journée à lancer hargneusement des fléchettes sur l’effigie du coupable.
Finn Arild Aasheim est un musicien norvégien de rock progressif dont le moins qu’on puisse dire est qu’il fait une fixation sur Genesis. D’ailleurs, c’est simple: le premier morceau de son nouvel album, Testament, s’appelle « Genesis ».
R€volu$ion, dernier album des Français de Nemo, n’entraîne pas chez moi une hypertrophie de la glande dithyrambique, mais propose un rock progressif bien pêchu et accrocheur.
Si je croyais en la réincarnation, j’aurais une explication toute trouvée pour la ressemblance frappante entre Rites at Dawn, le dernier album des prog-heads norvégiens de Wobbler, et le Yes des années 1970…
Underground Community, dernière galette en date du groupe espagnol Harvest, est plutôt du genre calme et subtil, avec des mélodies aux frontières du pop inspirées en grande partie par Marillion.
A Grounding in Number est le dernier album en date de Van der Graaf Generator (attention! site web qui pique les yeux pire que mySpace précédente génération), un vétéran du rock progressif sombre et déconstruit.
Si l’on excepte que j’ai raté le début des prestations d’IlianA et de L’Effet Défée et que j’ai fait l’impasse sur Medieval Baebes (j’ai vu Faun en entier, par contre), la soirée d’hier était très bien.
Il y a des fois où on se fatigue du death progressif aux inspirations folk caréliennes et des déconstructions post-industrielles de vingt-sept minutes. Moi, dans ce genre de cas, je vais voir Magnum jouer The Visitation dans une auberge isolée, au milieu des elfes et des trolls.
Welcome to My DNA est le troisième album de Blackfield, groupe composé de l’artiste israélien Aviv Geffen et Damien Wilson. Sans surprise, la musique de Blackfield ressemble beaucoup au rock progressif mélancolique que fait Porcupine Tree, peut-être avec un côté plus pop.
Ces temps, je me suis retrouvé avec toute une platée de groupes de rock progressif qui avaient pour caractéristique d’avoir été encensé par la critique en leur temps sans pour autant que je vois personnellement l’intérêt du groupe. C’était déjà… Continue Reading →
Atto IV est un groupe de rock progressif italien qui, si j’en juge par leur tout nouvel album Shattered Lines, fait dans le néo-prog moderne, le genre de musique avec de l’énergie par mégajoules, des compositions complexes et souvent déjantées. Du coup, on a droit à des soli de guitares agressives et de claviers débridés et, surtout, des compositions que n’hésitent que rarement à passer la barre des cinq minutes.
Petit coup de projecteur sur une initiative à saluer : Pass of Era, groupe américain qui distille un rock progressif moderne et pas (trop) conventionnel, propose son premier album, un EP intitulé The Scripted Dream, gratuitement au téléchargement depuis leur site…. Continue Reading →
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