Tag rock alternatif
Ce n’est ni du prog, ni du metal, alors pourquoi diantre suis-je allé voir Trank et Spit Reckless, à l’Undertown de Meyrin? Peut-être parce que c’est cool?
Au milieu de nouveautés attendues et de découvertes improbables, des groupes osent m’envoyer leurs albums, comme Sunbeam Overdrive pour Diama.
Ce serait exagéré de dire que c’est un objet de moins dans ma bucket list, mais pour la première fois dans ma vie je suis allé à la Fête de la Musique.
Deuxième vernissage du mois et non des moindres: samedi passé, Galaad nous invitait au SAS de Delémont, en compagnie de Dark Jane.
C’est via un contact de la chanteuse Ingrid Denis que j’ai découvert le groupe parisien Oscil et son premier album, First Step on My Moon.
Pour ce nouvel album de Port Noir, The New Routine, je pourrais dire que « c’est Muse qui a décidé de faire du #progmetal », mais ce serait méchant.
On est d’accord que, dans l’ensemble, les grands réseaux sociaux sont devenus des feux de poubelle hors de contrôle. Cependant, il arrive que mes contacts m’y dirigent vers des groupes dont j’ignorais l’existence. Et, parmi ceux-ci, de véritables pépites comme cet album de Cellar Darling, The Spell.
Autant que faire se peut, j’essaye toujours de garder un thème sur les restes du samedi; bon, parfois, j’ai des trucs vraiment très disparates, récupérés chez Gibert, mais pour cette édition, il se trouve que les trois albums dont je vais vous parler viennent de formations prog (ou assimilées) avec chanteuse: Bent Knee, The Last Embrace et Thinking Plague.
Pour ce samedi, j’ai trois EP dans ma besace: Assign Fate, Shadowrise et WOLVE. Des vrais EP, hein, pas des “EP” de quarante-cinq minutes, façon groupe de post-rock français… Bref, c’est bref, mais ça bouge beaucoup.
Ah, Marillion! Ceux qui ont longtemps été mon groupe préféré ont sorti un nouvel album, intitulé F.E.A.R – pour Fuck Everyone and Run. Donc, vous qui entrez dans cette chronique, abandonnez tout espoir d’objectivité! Enfin bon; c’est mon blog, vous… Continue Reading →
Lors de ma chronique de leur précédent album, Mantiis, j’avais parlé d’Obsidian Kingdom comme d’un groupe capable d’incorporer à sa musique de multiples influences, du post-rock à l’électro, en passant par le death-metal. A Year with No Summer, leur nouvel album, confirme et amplifie cette tendance.
On est dimanche après-midi, il pleut, votre femme vous a quitté et est partie avec les chats, vous devez remplir votre déclaration d’impôts et il n’y a plus de bière dans le frigo. Le moment idéal pour écouter The Judas Table, le dernier album d’Antimatter.
Bruce Soord, c’est Pineapple Thief; Jonas Renkse, c’est Katatonia. Le premier écrit, le deuxième chante et mon tout, c’est Wisdom of Crowds, un album bizarroïde qui n’a à peu près rien à voir avec les deux groupes précités.
Cela fait un moment que The Octopus, troisième album du groupe anglais Amplifier, tourne dans mes playlists et que je me promettais de vous en parler.