Chroniquer un nouvel album de Blake et Mortimer si tôt après la déception du premier tome de La Vallée des immortels, vous allez dire que je cherche la bagarre. Et je dois avouer que, de prime abord, Le Dernier Pharaon m’a laissé dubitatif. Sauf que.
Comme je n’avais pas assez de bouquins sur ma pile à lire – oui, c’est du sarcasme – j’ai acheté la version numérique du nouveau bouquin de Cory Doctorow, Radicalized. On pourrait le résumer par « comment devenir un terroriste en quatre leçons ».
Un avenir plus ou moins proche, une Terre ravagée par un virus mortel et deux personnages – Jan, un vétéran, et LN une jeune femme – qui traversent des paysages de ruines. Tel est le monde de Soleil froid, ainsi qu’il apparaît au début du troisième et dernier tome de cette série, L’Armée verte.
La saison 4 de Agents of SHIELD se terminait par un gros cliffhanger des familles – ainsi qu’une séquence post-générique WTF montrant Coulson dans l’espace (aaace… aaace…) et laissant présager une cinquième saison bien fumée. Ça n’a pas raté.
Il arrive parfois que je vois passer, sur tel ou tel article, site ou réseau social, un bouquin dont le thème me tape dans l’œil immédiatement. C’est le cas de L’Entraide. L’autre loi de la jungle, ouvrage signé par les chercheurs français Gauthier Chapelle et Pablo Servigne.
Une des séries de science-fiction les plus innovantes – visuellement mais pas que – de ces dernières années, c’est Into the Badlands, qui nous revient avec une deuxième saison (et même une troisième, mais je ne l’ai pas encore vue).
Je n’aime pas les zombies, j’ai un intérêt très limité pour les licornes, expliquez-moi donc pourquoi je me suis retrouvé à lire l’anthologie Zombies vs Unicorns, présentée par Holly Black (Team Zombie) et Justine Larbalestier (Team Unicorn)?
Jerry Beche est le dernier homme vivant sur une Terre dévastée par une arme biologique. Un jour, alors qu’il va vérifier ses éoliennes, il remarque des traces de bottes dans la neige. Ce début de Extinction Game, de Gary Gibson, est tellement un cliché que même le protagoniste le note. La suite de ce roman, par contre, est nettement moins banale.
Dans le monde de Soleil froid, la Grande Peste – une variante de la grippe aviaire – a tué près de 90% de la population. Un ancien soldat d’élite arpente les ruines du monde ancien à la recherche de réponses – et peut-être d’un espoir.
L’utopie – pas l’uchronie ni la dystopie – est un genre peu à la mode. Ça peut se comprendre: ne dit-on pas que les gens heureux n’ont pas d’histoire? En tant qu’historien, j’aurais tendance à ricaner et, en tant qu’auteur, un peu aussi. Et ce petit recueil de nouvelles intitulé Un tremplin pour l’utopie est là pour me donner tort.
Syn est trappeur. Lui et son loup, Ack, passent le plus clair de leur temps dans les vastes étendues sauvages à chasser des robots pour leurs pièces détachées, revenant rarement vers la civilisation pour procéder à des échanges. Mais une guerre menace entre cités. C’est le point de départ de Cygnis, roman post-apo de Vincent Gessler.
Il y a quelques années, je vous avais parlé de la BD américaine signée Brian Wood, The Massive, une sorte de post-apo climatique qui suivait les membres de Ninth Wave, une organisation environnementale, à la recherche de leur vaisseau-amiral dans un monde ravagé par les changements climatiques.
Visiblement, les récits d’anticipation à cinquante ans dans l’avenir sont à la mode. En même temps, ce n’est pas très étonnant. Après Walkaway, voici une bande dessinée française, Résilience, dont le premier tome, Les terres mortes, vient de sortir.
Et me voilà donc qui me replonge dans Judge Dredd, d’une, et dans le post-apo qui tache, de deux. C’est la faute à Gromovar, qui a récemment publié un billet sur le recueil Judge Dredd: Origins. Ouais, voilà: c’est tout de sa faute!
Quelque part au-dessus de Chamonix, un homme seul et sa mule robotique tentent de passer les cols pour arriver en Suisse. On est en 2030, la pandémie de grippe aviaire a fait un carnage et le réduit alpin est peut-être le dernier sanctuaire de l’humanité. C’est le premier tome de Soleil froid, intitulé H5N4.
Alors tout commence dans un squat, avec deux punks qui font les cons et leur copine qui râle parce qu’elle veut dormir. Le problème, c’est que le chambard est en partie dû à un soudain effondrement civilisationnel pour cause d’invasion de zombies: c’est Le club des punks contre l’Apocalypse zombie, de Karim Berrouka.
Qu’obtient-on quand on mélange du post-apo, du western et des combats de sabre façon film de Hong-kong? Une série télé assez surprenante intitulée Into the Badlands et qui parle surtout de gens qui aimeraient bien sortir des badlands en question.
Opération rattrapage de film, deuxième session, avec Mad Max: Fury Road. Disons que c’est un film que je serais peut-être allé voir au ciné si mes proches avaient insisté, mais un peu personne n’avait envie de le voir. Dans l’absolu, n’ayant été fan de la série – je n’ai vu que le troisième, c’est dire – je n’ai pas vraiment insisté non plus.
Les soldes de Steam, c’est le Mal pour le porte-monnaie, mais c’est le Bien pour le gamer qui a quelques jours de vacances devant lui. C’est dans cette optique que j’ai raflé Tales from the Borderlands, un jeu d’aventure genre « point-and-click » qui se déroule, comme son nom l’indique, dans l’univers de Borderlands.
Deux frères, Loki et Roka, deux géants de la mythologie nordique, des ambiances glacées et un post-rock cinématique à l’intensité impressionnante: le premier album de Nordic Giants, A Séance of Dark Delusions, est un des concepts les plus spectaculaires que j’ai entendu cette année.
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