Comme je l’avais mentionné dans mes billets précédents, j’ai passé trois jours à Washington, DC (là-bas, on dit juste « DC », pour éviter de confondre avec l’état du même nom). Si j’étais méchant, je dirais que sans les mesures de sécurité à l’arrivée, ça aurait été quatre jours, mais ce serait très exagéré: je n’ai attendu qu’une heure et demie dans la file au contrôle des passeports.
En cette année anniversaire, la lecture d’un ouvrage sur l’histoire de Donjons & Dragons s’imposait: c’est chose faite avec Of Dice and Men, du journaliste américain David Ewalt, qui prouve une fois de plus que le jeu de rôles mène à tout (y compris à travailler pour Forbes), même sans avoir forcément à en sortir.
Il y a quarante ans – janvier 1974 – paraissait la première édition de Dungeons & Dragons et, avec lui, le jeu de rôle ludique tel que nous le connaissons, à quelques détails près. Sur BoingBoing, le journaliste Ethan Gilsdorf a écrit un article intitulé At 40 Years Old, Dungeons & Dragons Still Matters, dans lequel il revient sur cet anniversaire.
Je ne sais pas si ce sont des bons auspices, mais le premier article de cette nouvelle année sera consacré au jeu de rôle et, plus particulièrement, à Monster of the Week, un jeu que j’ai testé avec mon équipe habituelle lors de notre traditionnelle partie de Nouvel-An.
J’en parlais hier dans ma chronique sur The Hobbit: il y a des fans qui sont vraiment trop fans et ça commence doucement à m’énerver. Des pour qui l’Œuvre Originale, celle à majuscules, est une sorte de dogme qu’il ne faut absolument pas toucher sous peine de blasphème, d’où fatwa.
Je suppose que dire que mon déplacement à Monthey au début de l’hiver pour la convention du Dé qu’à dents est une tradition serait un peu exagéré. D’abord parce que ce n’est que la deuxième (ou troisième, en comptant la Convention des Fous) et ensuite parce que je n’aime pas la tradition.
J’aurais voulu vous dire que la Cité des Jeux, première édition, est une convention à suivre, un futur rendez-vous incontournable pour les joueurs de Suisse romande. Ce serait un peu exagéré.
On reconnaît souvent les bonnes conventions au fait qu’on rentre à la maison sur un petit nuage, malgré la fatigue, et qu’il nous faut la semaine pour s’en remettre – ainsi que, pour un exposant, qu’on rentre avec beaucoup moins de stock qu’on est parti. L’édition 2013 d’Octogônes, la convention lyonnaise, en fait partie.
C’est une réflexion qui me tourne dans la tête depuis un petit moment: la mise au point d’une stratégie « open data » pour les différents sites de jeu de rôles (et assimilés).
Un dé dans la face est un nouveau site pour joueurs (de rôle et autres) qui se concentre sur l’organisation des parties et d’événements ludiques.
Ce samedi, nous avons testé un scénario pour Tigres Volants avec des idées venues d’Apocalypse World. Ça donne des choses intéressantes.
Si je vous reparle aujourd’hui de Borderlands 2, c’est parce que j’ai également téléchargé les quatre DLC et que c’est vraiment de la bonne!
Il fut un temps où, quand madame mon épouse manifestait le désir d’aller à la Japan Expo, sans aller jusqu’à faire la gueule, je manquais quelque peu d’enthousiasme. Seulement, depuis quelques années, le grand raout des otakus de France et de Navarre s’est adjoint une convention sœur, la Comic-Con, dédiée aux bandes dessinées, aux webséries et aux jeux.
Je sais, ça fait longtemps que je ne vous ai pas parlé de jeu de rôle et ça ne sera pas encore pour cette fois. Enfin, pas vraiment: je vous propose de découvrir une initiative très intéressante: le Groupe d’entraide des auteurs rôlistes (GEAR pour les intimes).
Et me voilà donc à chroniquer un autre livre électronique écrit par quelqu’un que je connais – en l’occurrence Mon donjon, mon dragon, de Lilian Peschet, qui hante parfois ces pages sous le pseudonyme de ianian!
Il a fallu un peu de temps (on est suisse ou on ne l’est pas), mais les vidéos de JDR’idée, la série de conférences sur le jeu de rôle proposées pendant Orc’idée 2013, sont en ligne sur le site officiel de la convention.
Ça faisait longtemps que je n’avais plus acheté un jeu et l’annonce d’une version française de Apocalypse World, de Vincent D. Baker – soutenue par un bombardement publicitaire orbital de la part de son traducteur, Greg Pogorzelski – avait attiré mon attention.
Entre l’arrivée de Steam et une sorte de frénésie de portage de jeux plus ou moins récents, je me suis retrouvé ces temps-ci avec une belle quantité de jeux vidéos bien sympa. Le dernier en date, c’est Borderlands 2, un croisement jeu de rôle/jeu de tir à la première personne (un peu comme Deus Ex) dans un univers SF/post-apo/western à mi-chemin entre Fallout et Firefly, mais avec beaucoup plus de flingues.
Il y a des coups de Cosmogun qui se perdent! J’avais déjà parlé il y a quelques temps sur la scandaleuse suspension par PayPal des paiements à des éditeurs de littérature érotique, cette fois-ci c’est l’éditeur de jeu de rôle Pulp Fever qui se voit puni… parce que les ventes de leur prochain jeu, Space Adventure COBRA, provoque un pic d’activité sur leur compte.
Je suppose que je n’ai pas besoin de vous rappeler que, ceci étant un blog et pas grand-chose de plus, tout espoir d’impartialité est illusoire. En plus, s’il s’agit d’une convention organisée 1) sur la terre de mes ancêtres et 2) par un ami, c’est carrément mort. Tout ceci pour dire que je suis allé à la Convention du Dé qu’a dents, club de jeu montheysan.
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