Rock et metal progressifs, science-fiction, jeu de rôle et divagations de vieux gauchiste; maison fondée en 2002

Tag Grande-Bretagne

Arena: Double Vision

Parmi les signes que l’on vieillit, il y a les groupes qu’on a adoré un temps et qui, à force des trucs médiocre, finissent par ne plus éveiller qu’un enthousiasme modéré. Témoin Arena et son nouvel album, « Double Vision », qui s’avère plutôt pas mal malgré un côté convenu.

TesseracT: Sonder

TesseracT est de retour! Après l’exceptionnel Altered State, un live raté et un Polaris quelque peu décevant, c’est rien de dire que j’attendais au tournant le groupe anglais. Surprise: ce Sonder est un album très resserré, court et intense, un véritable espresso prog.

Psion EP

Et, soudainement, un groupe anglais venu de nulle part balance un album qui tabasse! Le groupe en question s’appelle Psion (ou PSION, parce qu’ils font très fort) et leur l’album s’appelle… ben, euh, Psion aussi.

Devilment: II – The Mephisto Waltzes

Il faut dire ce qui est: le death mélodique, c’est cool, mais ça se prend quand même pas mal au sérieux. C’est pourquoi l’arrivée de Devilment sur ma platine, avec leur deuxième album, The Mephisto Waltzes, sonne comme un souffle d’air frais – mais plus metal que air, en fait.

Jump: Over the Top

La question du jour: à quel moment un album cesse de ressembler à un hommage pour faire figure de pompage embarrassant? Over the Top, du groupe britannique Jump, est à deux doigts de faire figure d’illustration à cette interrogation.

IT: We’re All in This Together

Quelque part, IT est un cliché: un groupe londonien qui fait du rock progressif, oscillant entre les mélodies d’un Pink Floyd tardif et le néo-prog engagé à la Twelfth Night. We’re All in This Together, leur dernier album, mérite cependant plus que ce qualificatif lapidaire.

Threshold: Legends of the Shires

Généralement, quand un groupe qualifié de « progressif » se lance dans un double album studio, le chroniqueur moyen se méfie. Cela peut être très bon ou une monstruosité dégoulinante d’égo et d’ambition. Parfois les deux, mais rarement entre les deux. Dans le cas de Legends of the Shire, le dernier opus de Threshold, on est heureusement plus dans la première option.

Steven Wilson: To the Bone

Steven Wilson l’avoue lui-même à demi-mots: To the Bone, son nouvel album, est un exercice de style. Un album pop pour un des grands noms du prog, inspiré par les glorieux prédécesseurs des années 1980 – au premier rang desquels le So de Peter Gabriel.

Nordic Giants : Amplify Human Vibration

Il faut un certain état d’esprit pour apprécier Amplify Human Vibration, le nouvel album de Nordic Giants. Un vol de nuit – celui pour aller aux Utopiales, par exemple – est un assez bon moyen de trouver cet état d’esprit: à plus de dix mille mètres dans un ciel d’encre.

Isildurs Bane & Steve Hogarth: Colours Not Found in Nature

Les gens taquins pourraient dire que Steve Hogarth se spécialise dans les sensations bizarres: si un précédent album de Marillion s’appelait Sounds that Can’t Be Made, le titre de sa collaboration avec Isildurs Bane est Colours Not Found in Nature.

Damanek: On Track

Quand on parle de classic-rock, difficile de faire plus typique que Toto – surtout de son tube « Africa ». Damanek est une formation britannique qui cherche à marcher sur les traces de ce glorieux prédécesseur avec leur album On Track. Et c’est plutôt convaincant.

Amplifier: Trippin’ with Dr Faustus

J’ai deux nouvelles, une bonne et une mauvaise. OK, c’est la même: les seventies sont redevenues à la mode. C’est en tout cas la conclusion à laquelle j’arrive avec pas mal de mes dernières écoutes et notamment ce Trippin’ with Dr Faustus du groupe de rock progressif britannique Amplifier.

Anathema: The Optimist

S’il fallait une mesure pour estimer la distance parcourue par le groupe anglais Anathema de ses débuts doom à aujourd’hui, le titre de leur nouvel album, The Optimist, serait un bon indice.

Vennart: The Demon Joke

Quand j’ai lu, dans la chronique de Clair & Obscur, que Vennart était un des membres fondateurs de Oceansize, je me suis précipité sur son album The Demon Joke – enfin, disons que j’ai marqué l’article et que, plusieurs mois plus tard, j’ai fini par l’acheter.

Maschine: Naturalis

De temps à autre, on voit apparaître sur les divers forums de prog-heads des albums qui semblent faire l’unanimité, de Neoprog à Angry Metal Guy – c’est dire! Naturalis, des Britanniques de Maschine, semble être de ceux-ci et il fait avouer que leur néo-progressif moderne et lumineux a de quoi séduire.

Freedom to Glide: Fall

C’est via Progcritique que j’ai découvert Fall, deuxième album du groupe britannique Freedom to Glide, qui propose un néo-prog mélancolique et un concept sur la Deuxième Guerre mondiale, deuxième volet d’une trilogie commencée avec leur premier album, Rain.

Fates Warning à Aarau

Au moment où je tape ces lignes, je suis dans une chambre d’hôtel à Aarau, j’ai des étoiles plein les yeux – et des acouphènes plein les oreilles – parce que je viens de voir Fates Warning en concert au KIFF. Ouais, carrément! Et puis d’abord, c’est mon anniversaire, alors je fais ce que je veux, d’abord!

« 1918, L’étrange victoire », de Jean-Yves Le Naour

Avec 1918, j’arrive au bout des cinq volumes que l’historien Jean-Yves Le Naour a consacré à cette Première Guerre mondiale, qui porte en elle les germes de tout le XXe siècle. Et ce n’est pas beau à voir.

Mike Oldfield: Return to Ommadawn

À force de chroniquer des artistes comme The Healing Road ou Robert Reed, j’en avais presque oublié que Mike Oldfield faisait encore de la musique. Il me le rappelle de fort belle manière, avec un Return to Ommadawn qui reprend la formule des premiers albums.

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