Lupanar post-mortem et plan flèche rouge

À la surprise plus particulière que générale, la dernière séance de la campagne lupanar a été effectivement la dernière. Pas parce que les personnages ont horriblement échoué et sont tous morts dans d’atroces souffrances ou ont été jeté dans un obscur cul de basse-fosse aux fins fonds de la FEF (possibilité qui n’est jamais à écarter), mais parce que l’épisode s’avère au final bien plus court que je ne l’avais pensé au préalable.

Si, dans l’absolu, ça ne s’est pas avéré être un problème insurmontable, ça a mis en lumière un problème de rythme avec cet chapitre: pendant une bonne partie du scénario, les personnages ont un rôle passif et se contentent de crapahuter à travers un environnement hostile en subissant les aléas du voyage plus qu’autre chose. C’est un problème qui peut être cela dit résolu en rajoutant quelque chose qui manque à ce chapitre: une approche alternative.

C’est quelque chose qui a été mis en lumière par les joueurs eux-mêmes après les faits: ce dernier épisode, en l’état, met beaucoup trop l’accent sur une orientation exploration/baston, ce qui est potentiellement un problème si les personnages ne sont pas prévus pour ça. Je pense résoudre ce problème en ajoutant une option qui permette aux personnages de tenter une approche plus sociale, soit en les laissant se faire capturer par les gardiens de la planète ou alors en contactant directement ces derniers.

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Le lupanar perd sa chemise

Samedi passé, nouvel épisode de la campagne lupanar avec ma bande de fous habituels. Les personnages se rendent à Caramer Laeralis pour pouvoir monter à bord de l’Ergartis, vaisseau-casino de luxe à la réputation ambiguë, qui organise un grand tournoi de poker. But du jeu: approcher Lidar shi-Garwandil, chef de la sécurité du vaisseau et détenteur de la seconde partie du code qui amène au magot caché par Leyran.

Après que le Talvarid – seul personnage à avoir un score à deux chiffres dans la compétence jeu – se soit fait essorer au tournoi (l’honneur est sauf: il  n’était pas le plus mauvais de sa table), on a de nouveau eu droit à un grand numéro de notre Highlander déserteur de choc, qui s’est encore pris une cuite mémorable pour se réveiller en mains ennemies – une sale habitude que le joueur semble avoir prise de son personnage précédent, d’ailleurs –ainsi que la démonstration qu’il n’est pas forcément besoin de trimbaler de l’armement lourd quand on a un Talvarid dans son équipe.

Bon, j’avoue aussi, au moment de la bagarre finale, vu que les personnages étaient un peu en slip, j’ai été plus gentil que j’aurais pu ou même dû. Les commandos de la FEF auraient dû constituer une menace plus virulente. Mais il était tard et la soirée a pour moi été placée sous le signe de la tripaille en folie, ce qui n’aide pas vraiment pour faire des choix déhemmiques construits et rationnels.

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Le lupanar nouveau est arrivé!

Bon, ce n’est pas tout à fait exact, mais, ces derniers jours, j’ai passé pas mal de temps à étoffer et modifier la campagne lupanar pour en faire quelque chose de plus immédiatement utilisable par quelqu’un qui ne soit pas dans ma tête. Soyons honnête: ce qui existait jusqu’à présent tenait beaucoup du synopsis, voire de la déclaration d’intention; maintenant, on a quelque chose qui commence réellement à ressembler à une campagne.

Les modifications tiennent surtout en un point: la réduction des PNJ. Rien que les pensionnaires du lupanar, ça représentait près de douze personnes; en suivant l’avis de Thias, j’ai combiné certains de ces personnages pour arriver à neuf protagonistes, donc cinq ou six principaux, ce qui est tout de même plus gérable.

Je me suis aussi employé à faire un peu de ménage dans les différentes et multiples têtes à claques et autres antagonistes potentiels qui parsèment les épisodes. L’idée d’avoir pour les PJ des adversaires récurrents – surtout si ces adversaires peuvent devenir, au fil du temps, des alliés ou même des partenaires (dans tous les sens du terme) permet d’entretenir une certaine continuité et d’avoir un aspect encore plus social.

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Le lupanar à l’école

Hier soir, la fine équipe habituelle s’est retrouvée pour jouer la suite de la campagne lupanar. Après la destruction de leur domaine, les personnages s’embarquent à la recherche du trésor caché par leur mentor. Évidemment, ce dernier étant atalen, il n’a pas pu s’empêcher d’en faire une énigme. La première partie de cette énigme, “là où tout a commencé”, est également un jeu de mot sur “source” et emmène les personnages à Huir, “ville-sainte” sur Trian également surnommée “la Grande source”.

C’est à Huir que le mentor en question a fait ses classes de telandil et les personnages le soupçonnent d’avoir caché la première partie de l’énigme dans son ancienne école. Sauf qu’il l’a officiellement quittée bien avant de devenir président, avant même la guerre qui a ravagé la planète pendant plus de quatre-vingts ans. Il leur faut donc essayer de s’întroduire dans le domaine en question – qui est de nouveau une école de telandil en activité.

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Le Marathon des Gnomes

Hier soir, je suis allé faire un saut au Marathon des Gnomes, une mini-convention organisé par le club genevois des Gnomes ludiques (“gnolus” pour les intimes). Le Marathon des Gnomes, c’est quarante heures de jeu non-stop dans les locaux du club, non loin du Musée d’histoire naturelle, ouvert à tous: jeu de plateau, wargame, jeu de rôle. Un évènement qui mériterait plus de visibilité et peut-être aussi un espace plus convivial.

C’est pour moi l’occasion de retrouver des gens avec lesquels j’ai joué il y a longtemps (du genre à se souvenir de Tigres Volants avant la première édition) et que je ne vois plus que rarement. À l’occasion, ça me permet de faire quelques parties de jeux de plateau sympas.

Cette année, j’ai enfin pu y faire une partie de Tigres Volants; je m’améliore: l’année passée, je n’avais pas trouvé de joueurs et, celle d’avant, j’avais carrément raté l’horaire et m’étais pointé, la bouche enfarinée, après la fermeture. J’ai donc joué le désormais habituel scénario de “L’héritage”, celui qui est en quelque sorte l’intro de la campagne lupanar.

Quand on est déhemme en convention, c’est toujours un peu la loterie: on ne sait jamais sur quel genre de joueurs on va tomber. Je devrais presque dire “sur quel genre de cas social on va tomber”, mais comme on parle de rôlistes, c’est un peu redondant. Du coup, j’ai eu droit à une belle brochette d’excités, le genre de jeunes joueurs qui considèrent que l’intégralité du scénario n’est qu’un immense punching-ball défoulatoire pour trop-plein d’hormones juvéniles.

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Un lupanar en état de siège

Or donc, hier, on a joué le quatrième épisode de la campagne lupanar, qui est censé être la charnière de la campagne. Sans trop spolier, c’est le moment où les personnages comprennent que, non seulement il y a quelque chose de beaucoup plus gros derrière toute cette histoire de lupanar, mais qu’ils sont en première ligne. Évidemment, tout commence par l’arrivée d’invités au Domaine, avec des desiderata quelque peu contradictoires.

D’un certain côté, le déroulement de la partie a été sans surprise, avec les deux Highlanders (le vrai et le faux; reste à savoir lequel est lequel) à la manœuvre et beaucoup de bons mots et de franche rigolade, mais malgré tout un final tragique et, pour le groupe, un nouveau départ. Tout s’est déroulé à peu près comme je l’avais prévu, à quelques virgules près, mais je ne peux pas m’empêcher de penser que ça manquait de quelque chose. Quoi exactement, je ne saurais le dire. Ce qui est embêtant.

En fait, je commence à soupçonner que le point faible, c’est le nombre de PNJ à gérer qui, par moment, est proprement astronomique. Je ne sais pas si c’est un défaut de la campagne elle-même ou de moi en tant que déhemme, mais entre les pensionnaires, les visiteurs et les éléments de décor (dirigeants locaux et autres), c’est parfois très difficile à suivre. Surtout quand, comme on me l’a déjà fait remarquer, certains des PNJ ont des noms très similaires.

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La méthode Zaitoichi contre la méthode spaghetti

Dans son dernier billet en date, Éric Nieudan, biclassé rôliste/romancier, parle de sa méthode d’écriture, dite méthode Zaitoichi. Je vous la fais courte: l’idée est de vaincre l’angoisse de la feuille blanche en écrivant “à l’aveugle”: sans voir d’écran ou de support. C’est plutôt malin et, pour moi qui n’ai absolument aucune méthode d’écriture sinon de jeter des mots sur le premier traitement de texte venu, ça m’impressionne toujours un peu.

 

Des ninjas dans le lupanar

Séquence à la Kill Bill dans cette séance de la campagne lupanar, qui pour une fois se déroulait par un dimanche après-midi presque trop chaud: une troupe de yakuzas en costard cravate et katana tentent d’encercler le pavillon d’une des pensionnaires pour une sordide histoire de vengeance – pour se retrouver face à un Talvarid bleu royal. Bilan: si le Talvarid a fini par tomber, ce n’est pas à cause des deux coups de sabre, mais bien de la rafale de neutralisateur automatique en dispersion maximale tirée à bout portant par un petit camarade qui avait décidé de ne pas faire de détail…

Pas mal d’action dans cette séance, donc, avec une chasse à l’assassin sur fond de grosse fête et de troubles politiques et quelques révélations majeures – dont une qui arrivera au prochain épisode. Pourtant, je ne suis pas entièrement satisfait de l’ensemble. Problème de rythme, d’abord: le début a pas mal manqué de punch et, en regardant mes notes, l’agenda initial était même encore plus long que cela. Il faudra quelque peu revoir ça pour que les joueurs ne s’endorment pas trop (même si je suppose que la température n’aidait pas).

Problème de PNJ, ensuite: les motivations de l’assassin étaient beaucoup trop vaporeuses pour être crédibles cinq minutes face à des rôlistes vétérans des plans tordus, qui ont tendance à inventer quatre conspirations là où il n’y en a qu’une. Au final, j’ai brodé sur une des hypothèses lancées par les joueurs et ai bricolé sur le pouce une histoire d’attentat sur une des personnalités présentes à la cérémonie de clôture du festival. Ça a fait son petit effet – surtout sur le Talvarid, qui a une fois de plus joué les “boucliers de viande” en encaissant à peu près tous les pièges prévus.

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Structurer le lupanar

Hier soir, deuxième scénario de la campagne lupanar avec mes joueurs “Tigres Volants canal historique” (et invités): au gré de l’organisation d’une négociation syndicale secrète, les personnages ont pu prendre leurs marques dans le Domaine des trois sources, tout en découvrant certains des petits secrets des pensionnaires.

Comme il s’agit un peu d’une séance de transition, j’avais un peu peur que ce soit trop décousu et que les joueurs s’ennuient. Je pense ne pas être arrivé à empêcher ça à 100%, mais à mon avis subjectif personnel à moi que j’ai, ça s’est plutôt bien passé. Les deux personnages highlanders nous ont offert un splendide numéro de duettistes (avec souvent le Talvarid bleu dans le rôle du clown blanc) et un peu tout le monde a eu son rôle à jouer. Les personnages sont désormais intégrés dans le domaine; mission accomplie.

Côté rédaction, je me félicite a posteriori de l’idée d’utiliser la réunion syndicale comme fil conducteur de la séance: ça a permis de structurer les différents éléments disparates du scénario autour des préparatifs, les uns agissant parfois comme diversion pour d’autres. Par contre, je vois qu’un des aléas que j’avais prévus ne s’intègre pas très bien dans la trame; il faut soit que je l’élimine complètement, soit que je le modifie pour qu’il ait plus d’influence sur le cours des choses.

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Un lupanar en hibernation

Contrairement à son auteur, qui vient de se taper une méchante insomnie pour aucune raison en particulier, la campagne lupanar roupille un peu. Voire beaucoup. Malgré ces trois semaines de vacances, je n’ai pas beaucoup avancé sur la rédaction. J’ai un peu honte, surtout que si je me gausse du peu de productivité de notre artiste maudite préférée, dans le genre gros glandeur, je suis aussi doué (sans les excuses médicales).

Oh, j’ai bien bricolé un bidule ou deux, dans l’intervalle: deux des PNJ ont changé de sexe, après une remarque d’Ivhor sur le sujet du déséquilibre des sexes parmi les pensionnaires du lupanar et une réflexion personnelle sur le “cœur de cible” du jeu de rôle en général et de Tigres Volants en particulier (mâle, hétéro et souvent surhormoné).

J’ai aussi réorganisé le deuxième épisode, qui était un peu trop “collection de scènes sans lien entre elles”; j’ai donc repris l’événement de la rencontre syndicale comme trame centrale de l’épisode et j’ai réorganisé les trames annexes autour. Théoriquement, les autres chapitres n’ont pas ce problème.

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Campagne lupanar: information de masse

La première séance de la campagne lupanar, intitulée “L’héritage“, s’est terminée sur un petit souci d’ordre mi-narratif, mi-logistique: la présentation du Domaine des trois sources et de ses pensionnaires. Le souci, c’est que ça représente plusieurs lieux (le système stellaire, sa capitale, l’habitat astéroïdal dans lequel se trouve le domaine et ce dernier), plus une bonne douzaine de personnages non-joueurs.

Comme il était déjà tard et que j’avais les yeux en vrac, j’ai bouclé en vitesse et promis aux joueurs plus d’information lors de la séance suivante. Dans l’intervalle, j’ai repris mes notes, taillé dans la masse et viré les informations sensibles et je suis arrivé à un joli document avec toutes les informations pertinentes. Un joli document de sept pages. Ça fait quand même beaucoup d’informations.

Dans un précédent billet sur la façon de “Jouer pulp“, j’avais déjà mentionné la difficulté de gérer les infodumps dans ce contexte. Ici, fort heureusement, c’est arrivé en fin de séance, en “période creuse”, et dans un contexte scénaristique qui pousse nettement moins à l’action à tous crins. Il n’empêche qu’introduire en une fois autant d’information est quelque chose de très compliqué, principalement parce que c’est très massif.

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Campagne Lupanar: L’héritage

La première règle du jeu de rôle, c’est qu’aucun scénario ne survit au premier contact avec les joueurs. Enfin, dans le cas présent, c’est surtout avec mes joueurs. Hier, j’ai donc fait jouer la première partie de la campagne lupanar à mon équipe de joueurs (dite aussi “Tigres Volants canal historique”). C’est un scénario que j’avais déjà fait jouer en convention, à Monthey et à Orcidée et, à chaque fois, les joueurs avaient plus ou moins suivi la trame prévue.

Cette fois-ci, ça s’est passé un peu différemment. Comme l’a dit un de mes joueurs: en convention je teste, avec eux je crash-teste.

Déjà, alors qu’une partie du thème de la campagne (et de Tigres Volants) est le choc culturel, la plupart de leurs personnages sont de culture atlano-eyldarin, ou peu s’en faut, et certains sont très orientés sur les choses du sexe et assimilés. Qu’on en juge: une courtisane atalen inspirée par le personnage d’Inara, dans Firefly et Serenity; un Highlander qui veut devenir ceinture noire de kama-sûtra; une atalen médecin-arcaniste; un Ataneylda originaire de la Fédération des hautes-terres; et enfin un Talvarid ex-flic à Copacabana et très peace and love.

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Le lupanar s’étoffe

Si, ces jours, je ne parle plus beaucoup de la campagne lupanar, c’est principalement parce que c’est business as usual. Je continue à écrire, principalement pour étoffer le premier jet déjà écrit et avoir quelque chose de moins synoptique.

Cela signifie principalement de mieux décrire les situations prévues et notamment de rajouter une brochette de PNJ, y compris leur description et leurs motivations. Parfois, ça a des incidences sur les chapitres précédents ou suivants et je soupçonne qu’à un moment donné, il va falloir que je revienne sur l’ensemble et que je raccommode les bouts qui traînent à gauche et à droite.

Par exemple, je suis en train d’aborder le chapitre où la mort de celui par qui le scandale (et l’héritage) arrive est annoncée officiellement. Ce qui implique que les personnages découvrent alors qui il était (s’ils ne l’avaient pas déjà appris avant) et ce qu’il avait fait. Ce qui implique également, à un niveau narratif, de reprendre des informations qui ne me semblaient jusqu’à présent pertinentes que dans le dernier chapitre.

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Un lupanar à Orc’idée

Dans un peu moins de deux mois (le 10-11 avril) aura lieu Orcidée, la convention de jeux de Lausanne qui n’a pas lieu à Lausanne. C’est un peu beaucoup le rendez-vous incontournables des rôlistes de Suisse romande (et d’ailleurs: on a un certain nombre de réfugiés politiques français qui viennent y squatter; mais que fait l’UDC?), avec sa palanquée de tables, ses stands et ses joueurs fous (qui a dit “pléonasme”?).

Le thème de cette année étant “tentacules”, j’ai un temps caressé l’idée (blague eyldarin) de faire un scénario Tigres Volants hentai, mais je n’ai pas réussi à trouver en temps et heure une trame de base qui me plaisait. Du coup, je vais me rabattre sur une autre idée idiote: faire jouer la première partie de la campagne lupanar.

D’une part, c’est un scénario qui, avec son côté “hommages à mille douze scénarios du même genre pour l’Appel de Cthulhu », colle avec le thème. En poussant, certes. D’autre part, c’est un scénario qui est prévu pour prendre des personnages venus d’horizons divers et variés (voire avariés) et les mettre dans la mouise.

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L’état du lupanar

Comme mentionné précédemment, j’ai terminé la première écriture du Secret du Domaine des trois sources, autrement dit de la “campagne lupanar”. Avant de trop avancer sur le sujet, je mets ici en ligne une sorte de synopsis de la campagne, à partir des résumés de début de chapitre. Alors donc, d’une part, si vous avez …

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La cuisine eyldarin

Tiens, encore un petit bout de contexte en droite ligne de mes fichiers de la “campagne lupanar”. Vu que l’action se déroule en grande partie dans une auberge eyldarin (avec eau courante à tous les étages), je suis allé replonger dans mes archives moisies de l’époque Fils des Étoiles pour remettre au goût du jour un petit texte sur les habitudes culinaires des Eyldar. Ça ne mange pas de pain. Ha! Ha!

S’il y a bien quelque chose de frustrant dans les coutumes culinaires eyldarin et, dans une moindre mesure, atalen, c’est bien leur inexistence apparente. Certes, parler de « cuisine eyldarin » est à peu près aussi absurde que de parler de « cuisine terrienne » : chaque peuple, chaque planète, voire chaque clan a des pratiques qui lui sont propres. En plus de cela on peut presque dire que chaque Eylda et chaque Atalen a ses propres habitudes.

Il y a d’une part l’habitude de manger quand on a faim ; Eyldar et Atlani ont en général une connaissance suffisamment fine de leur métabolisme pour savoir quand ils doivent manger. D’autre part, les membres d’une même famille se réveillent souvent à des heures différentes, fort éloignées les unes des autres, soit pour des raisons professionnelles, soit le plus souvent par préférence personnelle. Difficile dans ce cas de faire un repas pour chacun.

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Corrigé des devoirs de vacances

Écriture

Terminus, fin de vacances! Je reprends demain le chemin du bureau après presque trois semaines de pause. Je vous dis pas comment ça fait du bien: soit vous le savez, soit vous me haïssez pour ça. Cela dit, j’avais mentionné que ces vacances étaient également pour moi l’occasion de bosser sur un certain nombre de …

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Lupanar: premier jet

Attention, ce titre comporte une blague eyldarin!

Mis à part ça, ce que cela signifie, c’est que j’estime avoir bouclé une première esquisse de la “Campagne Lupanar” (dont le titre de travail plus officiel est “Le secret du Domaine des trois sources”). C’est plutôt une bonne nouvelle: je sais où je veux aller et à peu près comment y arriver.

Comme on est dans Tigres Volants et qu’il n’y a jamais de bonne nouvelle sans mauvaise nouvelle, ce n’est pas encore terminé, loin de là.

Une des choses dont je me suis aperçu récemment, en rajoutant aux différents épisodes de la campagne un résumé des scènes et des enjeux (selon la méthode du bon docteur Grümph), c’est qu’autant sur certains épisodes, cela s’écrit tout seul, autant d’autres sont plus difficiles à expliquer, principalement parce qu’ils ne sont pas orientés “action” et dépendent énormément des interactions sociales entre les personnages et les PNJ.

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