À mes yeux de bête occidental à gros nez, les dessins animés japonais ont tendance à soit être très bons sur la forme ou sur le fond; rares sont ceux qui parviennent à être bons en tout et, heureusement, rares également sont ceux qui se plantent partout. Gakutsuou, aussi connu sous le nom de Le Comte de Monte-Cristo, parvient à l’exploit d’être à moitié génial dans les deux catégories – mais également à moitié foiré.
Cleer, c’est une marque, une entreprise, une philosophie, « Be yourself »; une secte, peut-être. Cleer, c’est un roman de Laurent « L.L. » Kloetzer qui plonge dans cet étrange univers, aux confins du cyberpunk et du fantastique, avec un fond d’enquête-aventure et un soupçon de Dilbert.
Les immeubles modulaires de Singapore
Sous le titre A vision of the urban building of the future, le site TreeHugger propose une vision un peu simpliste, mais très visuelle, de ce que pourrait être les immeubles modulaires dans la Ville libre de Singapore.
Les immeubles modulaires de Singapore Sous le titre A vision of the urban building of the future, le site TreeHugger propose une vision un peu simpliste, mais très visuelle, de ce que pourrait être les immeubles modulaires dans la Ville libre… Continue Reading →
Le problème, quand on est une grosse feignasse, c’est que même les choses raisonnablement simples prennent du temps. Témoin les travaux sur le nouveau Tigres Volants Central, qui commencent enfin à prendre suffisamment forme pour que je puisse vous proposer d’aller jeter un œil à cette nouvelle mouture.
De bleu! Revoilà [bleu], l’improbable duo franco-suisse composé de Gilles Grimaitre et Emmanuel Vion-Dury, qui, après Sincère autopsie de la finesse, revient avec un nouvel OVNI musical au nom encore plus improbable de clara altantsegtseg. Une collaboration avec plus de quarante artistes pour un résultat déconcertant, mais impressionnant.
Je ressors de la lecture de La Suisse romande, de Georges Andrey, avec une impression quelque peu mitigée: d’une part, j’ai appris énormément de choses en lisant cet ouvrage, qui se veut une histoire de cette « Romandie » où j’habite, mais, d’autre part, j’ai souvent été agacé par le style de l’auteur.
Tout est bon dans le béton: architecture soviétique, bis repetita
Pendant les Années d'ombre, ils avaient des champignons radioactifs qui avaient des effets délétères sur le cerveau. C'est l'explication que l'on peut déduire des photos du photographe belge Filip Dujardin, dont les montages improbables des son exposition Fictions pourraient tout aussi bien représenter des bâtiments conçus dans la République slave de la première moitié du XXIe siècle.
Merci au sire Betel pour le lien!
Tout est bon dans le béton: architecture soviétique, bis repetita Pendant les Années d’ombre, ils avaient des champignons radioactifs qui avaient des effets délétères sur le cerveau. C’est l’explication que l’on peut déduire des photos du photographe belge Filip Dujardin,… Continue Reading →
Ah ben dites donc, l’année commence en fanfare: €9.70 de revenus Flattr en janvier pour les désormais habituels €5 de dons! Deuxième meilleur score de tous les temps, rien que.
Si la question de la création artistique et de sa place dans notre société vous intéresse, je ne peux que vous conseiller de lire Chère Aurélie, la lettre ouverte de la dessinatrice Tanxxx. Cette lettre s’adresse à Aurélie Filipetti, ministre française de la culture, mais à mon avis, elle peut s’appliquer à beaucoup de pays et pas seulement à propos de la bande dessinée.
Je vous dirais bien que The Last Colony est le dernier volume de la trilogie « coloniale » de John Scalzi, débutée par Old Man’s War et poursuivie par The Ghost Brigades, mais ce ne serait pas complètement exact. Il manque encore à l’appel Zoë’s Tale, qui est un point de vue un peu différent de ce qui se passe dans The Last Colony et, qui plus est, il existe d’autres ouvrages dans le même univers; cela dit, pour ce qui est de la trame de l’histoire, ces trois ouvrages précités tiennent assez bien la route dans le format trilogie.
Depuis le temps que je répète à qui veut l’entendre (et aussi à un certain nombre de gens qui ne veulent pas) que Riverside est probablement ce qui est arrivé de mieux au rock progressif ces dix dernières années, c’est peu de dire que j’attendais l’arrivée de ce nouvel album, Shrine of New Generation Slaves (SONGS, pour faire court; et oui, c’est voulu) avec une certaine impatience. Ou appréhension.
Dans la foulée de Old Man’s War, j’ai attaqué sa suite The Ghost Brigades, également signé John Scalzi (et, l’ayant terminé, je me suis d’ailleurs lancé sur le suivant, The Last Colony. Encore que « suite » n’est pas le meilleur terme: certes, l’univers est le même et, chronologiquement, il se situe après les évènements de Old Man’s War, mais on ne retrouve que le lieutenant Jane Sagan des Forces spéciales – et encore, pas de façon principale.
Aux Portes de l’Enfer est donc la suite du premier Wunderwaffen, la série de bande dessinée uchronique à base d’air-porn quelque peu honteux (pour cause de croix gammée). J’en parle ainsi parce que, malgré une idée de départ assez intéressante (l’Allemagne nazie parvient à tenir tête aux Alliés grâce à ses armes secrètes), j’ai un peu l’impression que ça s’essouffle.
Ces temps-ci, la blague-qui-ne-fait-pas-rire, c’est le fameux « je ne suis pas homophobe, mais… » suivi en général d’une sortie homophobe, du genre « les pédés, c’est pas des gens comme nous ». Moi, c’est le contraire: je suis homophobe, mais je ne vois pas pourquoi des questions de préférence sexuelle ou même de genre devraient être une excuse pour nier une égalité en droit.
Évidemment, le hasard a voulu que j’aie une crève carabinée au moment où j’ai fini Bad Pharma, le nouveau bouquin de Ben Goldacre – à qui on devait déjà le remarquable Bad Science. La conclusion qui s’impose, c’est qu’être malade, ce n’est pas bon pour la santé!
J’avoue: j’ai brièvement hésité avant d’acheter Octane Twisted, le nouvel album de Porcupine Tree. Hésité, parce que The Incident, le précédent, ne m’avait pas laissé un souvenir impérissable; brièvement, parce que Porcupine Tree, quand même!
L’homme de l’année est une nouvelle série de bande dessinée signée Jean-Pierre Pécau et Fred Duval qui, après avoir beaucoup joué avec l’uchronie, s’attaquent ici à l’Histoire majuscule, mais par le biais de personnages de l’ombre.
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