Cadeau d’anniversaire inattendu mais très bien tombé, Jean Yanne à rebrousse-poil est un pavé biographique signé Bertrand Dicale qui explore la vie et la carrière d’un acteur si râleur qu’il aurait pu être genevois (il était en fait parisien, ce qui n’est pas beaucoup mieux).
Parmi le loot ramené de Paris et, plus précisément, de chez Gibert, il y a ce English Electric, Part One de Big Big Train, qui prouve une fois pour toute à quel point je suis à l’avant-garde, car non seulement c’est du rétro-progressif à la Genesis, mais en plus, la deuxième partie sort ces jours-ci.
Quelque part dans l’Empire khazar, au Xe siècle de notre ère, deux aventuriers enchaînent les arnaques pour survivre, mais, dans Gentlemen of the Road, de Michael Chabon, le duo va se retrouver impliqué dans une épopée à base de trahison, d’usurpation, de prince et de princesse, d’honneur et d’éléphants.
Éco-arcologies pour un monde en reconstruction
Cet article de io9 met en lumière un projet chinois de gratte-ciels qui inclueraient non seulement des habitations, des bureaux et des commerces, mais également des fermes destinées à nourrir la population.
Dans le cadre de Tigres Volants, c'est un projet qui aurait sa place dans les projets de reconstruction highlanders – notamment en Chine, d'ailleurs.
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L’actualité de cette semaine pour Tigres Volants tient en deux éléments: d’une part, le lancement officiel ce lundi de la nouvelle mouture du site, qui reprend le domaine tigres-volants.org et, d’autre part, une conférence à La Chaux-de-Fonds sur ce même sujet (Tigres Volants; pas le site), ce samedi.
Si vous lisez ceci, cela signifie que le Plan Génial a fonctionné: le nouveau Tigres Volants Central est désormais en ligne et fonctionne correctement.
Le deuxième album de DeeExpus, King of Number 33, fait partie du lot de disque que j’ai raflé à Paris il y a dix jours; en général, cette descente sur le rayon « rock progressif » de Gibert Musique se solde par beaucoup d’achats impulsifs et, en général, pas mal de déceptions. Cette fournée aura cependant été particulièrement faste et cet album est probablement le meilleur du lot, un pur bijou de néo-prog contemporain.
Dans la série « demain, je commence ma thèse sur la procrastination » et pour compléter ce dont je parlais dans le compte-rendu de Zone franche, un petit mot pour parler de mes quelques projets d’écriture.
L'interface de votre communicateur
À quoi ressemblent les interfaces des communicateurs, dans l'univers de Tigres Volants. La réponse habituelle est “ça dépend”, mais on peut penser que la gestuelle est souvent utilisée pour certaines actions, surtout avec des écrans holographiques.
Le site Smashing Magazine, qui met souvent mon âme de graphiste en joie, propose un article intitulé “What Sci-Fi Tells Interaction Designers About Gestural Interfaces” et qui présente, par l'exemple de films (plus ou moins récents) de science-fiction, une leçon de conception d'interface gestuelle.
L’interface de votre communicateur À quoi ressemblent les interfaces des communicateurs, dans l’univers de Tigres Volants. La réponse habituelle est “ça dépend”, mais on peut penser que la gestuelle est souvent utilisée pour certaines actions, surtout avec des écrans holographiques…. Continue Reading →
Il y a deux raisons qui m’ont poussé à lire Storytelling, de Christian Salmon: d’abord et surtout de bons retours (mais je ne sais plus de qui; peut-être Un lecteur?) et, ensuite, un titre qui me titille quelque part la fibre rôliste.
C’est la critique assez largement positive de Progressive-Area qui m’a incité à mettre une grosse papatte velue sur Sintrinity, premier album du duo suédois Morph. Notamment, les fourbes ont mentionné TesseracT et Breaking Orbit. C’est très fourbe, parce que le rapport est quelque peu ténu.
Petite annonce: depuis déjà dimanche, votre serviteur (deux cafés, l’addition) s’est invité sur Planète SF, un site agrégateur pour la blogosphère francophone des fans de science-fiction et de fantastique. Bon, en vrai, j’ai soumis ma candidature et ils ont dit oui.
Si je vous parle d’une convention de science-fiction sise dans la salle des fêtes d’une petite cité de la banlieue parisienne, vous êtes en droit de supposer qu’il s’agit là d’un événement mineur. Les figures de style étant ce qu’elles sont, vous faites erreur : Zone franche est un festival majeur.
Il m’a fallu du temps pour m’attaquer à la lecture de Gagner la guerre, de Jean-Philippe Jaworski. D’abord parce que c’est de la fantasy, qui est loin d’être mon genre préféré (quelque part entre les histoires de vampires et les bilans comptables) et d’autre part parce que c’est un sacré pavé. Le terminer a été beaucoup plus rapide, malgré sa taille.
Après le rétro-progressif, le nouveau genre oxymorique du jour est le rétro-néo-progressif! C’est en tous cas ce que m’inspire Across the Rubicon, nouvel album du groupe néerlandais Silhouette, dont le néo-prog aurait été juste parfait il y a vingt-cinq ans. Cela dit, il faut reconnaître que, quand c’est bien fait, c’est le genre de musique qui tape directement dans le reptilien.
Pendant les travaux, les travaux continuent! Ceux sur le Tigres Volants Central, donc: la nouvelle mouture en beta dont je vous avais parlé récemment (l’ancienne est toujours ici). Le petit questionnaire m’a déjà livré des suggestions d’améliorations – merci à ceux qui ont pris le temps de répondre – et j’en profite pour répondre à quelques questions.
J’aime bien me tenir informé sur l’actualité musicale, surtout locale et régionale, mais ça ne fonctionne pas toujours. Dans le cas présent, c’est en faisant des recherches sur le nouvel album de [bleu] que j’ai découvert Wie er in die Welt kam, le nouvel (et, techniquement, unique) album du groupe genevois Equus, dont j’avais chroniqué l’EP Eutheria il y a pas mal de temps.
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