Violet Cold: Multiverse
Parfois je me dis que j’ai des goûts bizarres, particulièrement quand je me retrouve à chroniquer des albums de Violet Cold, comme ce Multiverse.
Rock et metal progressifs, science-fiction, jeu de rôle et divagations de vieux gauchiste; maison fondée en 2002
Parfois je me dis que j’ai des goûts bizarres, particulièrement quand je me retrouve à chroniquer des albums de Violet Cold, comme ce Multiverse.
Il y a des artistes qui ont une productivité impressionnante. Violet Cold est de ceux-ci, puisqu’un an après Noir Kid, il revient avec Empire of Love.
Quelque part, dans le Caucase, un musicien émule une IA qui composerait du metal expérimental. C’est Violet Cold et son album Noir Kid.
Dans ma précédente chronique d’un album de Violet Cold, j’avais dit que le nom collait bien avec le genre de musique. Ce n’est pas ce kOsmik qui va me faire mentir: ambiances froides, stellaires, avec un noir qui tire sur le violet.
Ce qu’il y a de bien avec Magic Night, le dernier album de Violet Cold, c’est que le titre comme le nom du groupe annoncent la couleur: c’est sombre, avec des teintes de violet profond et le froid d’une nuit d’hiver, et que c’est un peu magique aussi.