Si on en croit les gazettes spécialisées, qu’elles soient numériques ou en arbre mort, la nouvelle sensation en matière de rock progressif est l’album éponyme de Mars Hollow. Groupe qui partage avec Spock’s Beard des origines californiennes, Mars Hollow propose une musique largement inspirée des grands classiques, avec notamment des éclats instrumentaux qui lorgnent visiblement du côté d’Emerson Lake & Palmer.
Comme son nom l’indique, cet album X de Spock’s Beard est le dixième du groupe californien. Ce n’est pas très original, mais, comme le cinquième s’appelait déjà V, il y a une forme de cohérence. Spock’s Beard, qui joue un… Continue Reading →
Ça faisait un moment que le nom Izz flottait au milieu dans mes recommandations Last.fm. L’été étant en général une période calme en matière de nouveautés musicales, je me suis lancé et ai acheté The Darkened Room, leur dernier album… Continue Reading →
Je vais être bref: le nouvel album des Red Sparowes, au titre toujours aussi délicieusement kilométrique de The Fear Is Excruciating, But Therein Lies The Answer, est à peu près tout ce que l’on peut attendre de ce groupe de post-rock instrumental… Continue Reading →
Ça fait donc deux albums du groupe américain Ephemeral Sun en peu de temps et, comme je le supposais, ce Harvest Aorta n’a pas grand-chose à voir avec son prédécesseur, Broken Door. Passons rapidement sur le joli combo nom du… Continue Reading →
J’avoue que, dans la catégorie des noms stupides, on a encore ici affaire à du lourd avec Birds and Buildings, même si c’est un nom qui s’explique dès « Birds Flying Into Buildings », le premier morceau de cet album, Bantam to Behemoth…. Continue Reading →
Je ne sais pas trop si c’est le post-rock, en tant que genre, qui tend à tourner en rond ou si c’est moi qui en ai fait le tour, mais j’avoue avoir du mal à m’enthousiasmer pour ce From Fathoms,… Continue Reading →
J’ai enfin terminé Makers, de Cory Doctorow. C’était touffu. Le roman suit deux inventeurs, Perry et Lester: ce sont des bidouilleurs de génie qui utilisent les copieux fonds de poubelle d’une Amérique en pleine récession dans un futur très proche.
Théoriquement, la notion de rock progressif devrait inclure l’idée de progrès, de vision tournée vers l’avenir et de modernité. Mais, de même que « l’art moderne » n’est plus très moderne, le rock progressif a une fâcheuse tendance à plus se tourner… Continue Reading →
Je vais finir par croire que le rock progressif est, pour beaucoup, une affaire de foi. Ce qui, personnellement, m’arrange assez peu, parce que je suis plus du genre qui doute. Dans le cas de Realms of Eternity, dernier album en date du groupe américain Syzygy, c’est une chronique dans Prog-Résiste qui m’a amené à commander, puis écouter cet album.
Il faudra quand même que l’on m’explique pourquoi, alors que je ne suis un fan ni de punk, ni d’électro, je suis irrésistiblement attiré par Mindless Self Indulgence, un groupe de fous furieux qui donne, vous l’aurez deviné, dans le mélange punk électro, le tout mâtiné de hip-hop et de bruitages débiles.
Et si les USA étaient devenus libertariens, un modèle utopique de la libre entreprise et du libre échange, une nation idéale avec un gouvernement nominal et une administration inexistante? C’est le point de départ de The Probability Broach, une bande dessinée américaine (en anglais, donc), lisible intégralement sur le site web de son éditeur.
Ce n’est pas sans une certaine hésitation que j’ai fini par acheter Doomsday Afternoon, le dernier album de Phideaux. Ce que j’en avais entendu ne m’avait pas convaincu outre mesure, mais c’est parce que cet album mérite d’être écouté dans son intégralité…. Continue Reading →
J’ai pris sur moi et acheté le dernier album de Rush, Snakes & Arrows Live. Je dois en effet avouer que Rush n’est pas exactement ma tasse de thé. Certes, c’est un groupe difficilement contournable et qui reste une influence majeure pour toute la scène prog US, y compris (voire surtout) Dream Theater et, partant, les autres prog-métaleux. Mais j’ai du mal avec la voix du chanteur et certaines compos, qui me semblent plus calibrées pour cartonner sur les radios que pour jouer dans l’originalité.
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