Après avoir écouté Astra Symmetry, le dernier album de Monkey3, je me demande si je ne vais pas lancer l’idée d’un nouveau genre musical: le rétro-post. Histoire de pouvoir caser tous ces groupes qui poussent le post-rock jusqu’à faire faire du rock prog/psychédélique comme dans les années 1970.
Au premier coup d’œil, j’aurais pensé que Celestial Teapot aurait une bonne tête de groupe de space-rock. Bon, y’en a un peu, mais ce One Big Sky s’inspire plus du rock progressif et du post-rock que des tentacules ozriciennes.
Hier, je vous parlais de Quantum Fantay, digne représentant de cette variante de space-rock qui touche au rock progressif. Il est à peu près impossible d’évoquer ce genre musical sans parler de Ozric Tentacles, à la fois dans le rôle du grand-père et du gorille de huit cents livres. Le hasard a voulu que, dans le même temps que j’achetais Dancing in Limbo, j’ai également acquis Technicians of the Sacred, leur nouvel album.
Décidément, on n’arrête plus les space-rockers belges de Quantum Fantay: je n’avais pas sitôt chroniqué leur précédent album que voici Dancing in Limbo!
Le space-rock est un de ces sous-genres du rock progressif qui, à force de spécificité, commence à ne plus avoir grand-chose à dire. Du coup, le très imaginatif – quoique très imparfait – album Terragaia de Quantum Fantay apporte un bol d’air bienvenu.
Et voici donc un deuxième billet à la suite sur l’excellent groupe de post-rock irlandais God Is an Astronaut; même pas honte, fanboi powah! Bon, cette fois, je vais vous parler de leur dernier album en date, Origins.
Autre découverte à mettre au crédit de Fred Bezies, le quatuor new-yorkais Oneironaught avait, sur le papier, beaucoup pour me plaire avec leur album Enlist Today!: du rock psychédélique mâtiné de prog (à moins que ce ne soit le contraire).
C’est plus la curiosité qu’un réel intérêt musical qui m’a poussé à acheter Chimera’s Tale, des Français de Juke, curiosité attisée par la chronique de Neoprog qui promettait du psychédélique floydien. La promesse est tenue: on est tout à fait dans la ligne d’un rétro-progressif à la Pink Floyd, avec des grandes plages instrumentales planantes et des parties chantées qui évoquent sérieusement le Roger Waters des seventies.
Il y a comme ça des albums qui vous prennent par devant, par derrière, par surprise, on retourne et on recommence. The Watchmaker’s Complex, premier album de l’improbable combo groenlandais Mushroom Sword, va dynamiter la scène progressive de ce début 2014, c’est moi qui vous le dit!
Moi qui me lamentais du manque d’originalité du space-rock, je trouve avec ce Astronautica de Hidria Spacefolk motif à me réjouir. En rajoutant des influences post-rock, ces six Finlandais dans le vent (solaire) sont bien partis pour méchamment renouveler le genre.
Si j’ai bien calculé, Paper Monkeys est le 167e album du groupe anglais de space-rock Ozric Tentacles. Ah non, excusez-moi: c’est juste le 22e ou 23e.
À l’écoute de Bridges of Kukuriku, dernier album en date de Quantum Fantay, nombreux sont sans doute ceux qui ont hurlé au plagiat, tant il ressemble au space-rock d’Ozric Tentacles. Personnellement, je le vois plutôt comme un passage de relais.
En général, je n’aime pas les compilations. Soit j’achète tous les albums d’un groupe, soit je n’en achète pas; il est rare que je tape entre les deux. Dans le cas de Prog Is Not A Four-Letter Word, j’en avais entendu parler comme étant une collection de bizarreries rock-prog, ce qui avait piqué ma curiosité.
C’est toujours avec un plaisir certain que j’accueille dans ma liste d’écoute un nouvel album d’Ozric Tentacles, en l’occurrence The Yumyum Tree. Avec son space-rock inspiré, doux mélange entre du prog dinosaurien, un Hawkwind qui aurait pris de l’herbe-qui-fait-rire et… Continue Reading →
Certains hasards font bien les choses: ainsi, s’il n’y avait pas eu cette typo sur le mot « fantasy », Quantum Fantay aurait eu un nom extrêmement banal. Au lieu de cela, ce groupe belge sort du lot, déjà comme ça; c’est le… Continue Reading →
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