Une mission habitée sur Mars qui tourne mal, un astronaute laissé pour mort sur la surface de la planète et la survie à tout prix pendant plus de 500 jours, tels sont les thèmes de The Martian, dernier film de Ridley Scott, avec Matt Damon dans le rôle-titre.
Bon, ce n’est pas que ça me démange très intensément, mais l’envie de participer cette année au NaNoWriMo – pour National Novel Writing Month – me titille depuis un moment. Ce n’est pas tant par envie d’être tendance, mais surtout parce que c’est l’occasion de me sortir les doigts opposables de là où le soleil ne brille jamais et de finir par poser sur papier une idée qui me trotte dans la tête depuis quelques temps.
Tiens, à l’occasion de la sortie du deuxième tome de Le Château des Étoiles, je m’aperçois que j’ai complètement oublié de vous parler du premier – découvert l’année passée à Geekopolis – et, partant, de cette très chouette série de bande dessinée steampunk signée Alex Alice.
Dès le premier épisode, Dark Matter, série de science-fiction canadienne, pose l’ambiance: six personnages, à bord d’un vaisseau spatial, se réveillent d’une stase cryogénique amnésiques et commencent par s’entrebraquer. Ensuite, les choses dégénèrent.
Coup-fourrés, assassinat, trahison, poursuites et fusillades: Romane et El Malik, toujours à Rio de Janeiro, passent à l’offensive, non sans y laisser des plumes. Ce quatrième tome de la bande dessinée d’anticipation Mermaid Project est résolument tourné vers l’action. Peut-être un peu trop, mais en même temps, on sent qu’on approche de la conclusion de la série.
Moitié science-fiction, moitié post-apo, la série américaine Defiance nous est donc revenue pour une troisième saison – qui pourrait bien également être la dernière. Fondamentalement, si vous pensiez, à la fin de la saison précédente, que les personnages étaient dans la merde, vous n’avez rien vu!
Il est 15 h 45 à Washington, 21 h 45 à Paris, 12 h 45 à Mountain View, 5 h 45 au Japon. One Minute, le feuilleton numérique de Thierry Crouzet, c’est l’histoire de cette minute précise. Celle où la vidéoblogueuse Sara Cash a annoncé que les radio-télescopes de la planète avaient capté un message extra-terrestre. Juste avant qu’une panne électrique ne plonge la planète dans le noir complet.
Il faut reconnaître à Charles Stross un certain génie pour trouver des idées originales en SF et de construire des univers bluffants là-dessus. Témoin un de ses derniers romans, Neptune’s Brood, qui allie transhumanisme, hard-science et économie interstellaire.
Oui, cette chronique parle du premier jeu vidéo Borderlands, celui sorti en 2009. Comme je suis quelqu’un d’ordonné et de méthodique, je les ai joué dans un ordre bien particulier, déterminé par une raison et une logique très précise.
Le premier tome à peine refroidi, voici que la série Warship Jolly Roger de Miki Montlló (dessin) et Sylvain Runberg (scénario) remet le couvert, avec un deuxième tome intitulé « Déflagrations » qui confirme les impressions, bonnes comme mauvaises, que j’avais eues.
Ça fait un moment que j’essaye de me faire une culture Roland C. Wagner en lisant un peu tout ce qui me tombe sous la main. Parfois, c’est sympa; d’autre fois, moins, et Aventuriers des étoiles tombe plutôt dans la seconde catégorie.
Quand on parle de la Roumanie et des créatures mythiques, ce sont rarement les loups-garous qui viennent en premier à l’esprit. Pourtant, c’est dans ce pays que Lilian Peschet a décidé de situer son roman La Brigade des Loups.
Dans un Moscou déglingué, à l’horizon 2030, Méhoudar, jeune infirmier originaire du lointain Birobidjan, intègre une équipe de vétérans qui sillonnent les couloirs aériens à bord de leur ambulance volante. C’est sa première semaine et c’est le point de départ de Sovok, le nouveau roman de Cédric Ferrand.
Après avoir écouté la version musicale de After de Winter, j’ai tout naturellement eu envie de lire la suite de la trilogie post-apo The Silent Earth de Mark Healy, à commencer par Seeds of New Earth, le deuxième volume.
Je sais, j’ai pris un peu de retard sur la trilogie post-apo The Silent Earth de Mark Healy, mais du coup, je me rattrape sur la sortie de After the Winter, sa bande-son que l’auteur australien publie sous le nom de Hibernal.
Contrepoint est un de ces bouquins sur lesquels on tombe complètement par hasard: je l’ai reçu en sus de mes achats sur le stand ActuSF à Trolls & Légendes. Il s’agit d’une anthologie dirigée par Laurent Gidon, un recueil de neuf nouvelles « sans guerre ni conflit ni violence ». Idée intéressante, mais le résultat n’est à mon avis pas vraiment à la hauteur de l’ambition.
Pour le financier Richard Camden, le sommeil est une façon ridicule de perdre du temps, Alors, lorsqu’il apprend qu’une thérapie génique expérimentale permet de créer des enfants qui ne dorment pas, il insiste pour que son futur enfant en bénéficie. Mais ce sont des jumelles qui naissent et seule l’une des deux bénéficie du traitement. D’où le titre de ce court texte de Nancy Kress: L’une rêve et l’autre pas.
Prenez un de mes auteurs préférés, à savoir Charles Stross, une réflexion pessimiste – mais pas forcément irréaliste – sur l’avenir et ajoutez une référence à un texte fondateur d’Internet et vous obtenez A different cluetrain.
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