Vous aimez King Crimson? Vous allez aimer Insano, le nouvel album du groupe chilien Platurno. Sinon, euh… disons que ça va être brutal. C’est très « rock progressif, règles avancées ».
Anima Morte et son album The Nightmare Becomes Reality fait un rock progressif instrumental, qui suggère une ambiance façon musique de film d’horreur italien de la « grande époque ».
J’entends déjà ceux (= celui) qui se gausse des noms abscons si communs dans le rock progressif ricaner de ce Hypostatic Union de Greylevel. C’est de bonne guerre, surtout quand l’album est de qualité, ce qui est le cas.
Je me méfie des critiques dithyrambiques et celles de To Shatter All Accord du groupe anglais Discipline m’ont paru suspectement enthousiastes. Elles sont cependant justifiées.
Le rock progressif à chanteuse étant un sous-genre qui me convainc que rarement, Terminal Twilight, des Norvégiens de White Willow, partait sur un mauvais a priori. Il faut toujours se méfier des a priori.
Il y a ceux, comme The Watch, qui déboulent avec leur dernier album Timeless directement d’un univers parallèle où on est en 1976 et Peter Gabriel n’a jamais quitté Genesis.
Ce n’est jamais sans une certaine appréhension que je me lance dans l’écoute d’un album de Steve Hackett, comme son dernier Beyond the Shrouded Horizon.
C’est sur la recommandation de Prog-résiste que j’ai acheté l’album So Close and Yet So Far Away du groupe grec de rock progressif Verbal Delirium.
Voici Noël et son cortège de traditions plus ou moins sympathiques, dont les chants de Noël. Fort heureusement, pour cette dernière catégorie, les December People sont de retour avec Rattle & Humbug.
Voix à la Jon Anderson? Check. Claviers façon Rick Wakeman? Check. Guitare à la mode Steve Howe? Check. Pochette de Roger Dean? Bingo, c’est bien le nouvel album de Yes! Ah, tiens, non: If est un album de Glass Hammer.
Certains groupes de rock progressif flirtent ouvertement avec la pop. Dans le cas de l’album éponyme du groupe américain The Winter Tree, on n’en est clairement plus au stade du simple flirt.
Je ne suis pas fan des vocaux féminins dans le rock progressif, mais il y a des exceptions et Ghost, dernier album du groupe allemand Frequency Drift, en est une de taille.
Force m’est d’avouer que, si je raille régulièrement les groupes de rétro-progressif, quand c’est bien fait, c’est vraiment bien. Témoin l’album The Magician Chronicles – Part 1 de Brighteye Brison.
La musique de Lebowski n’a à peu près rien à voir avec le film éponyme, même si le groupe définit lui-même cet album de rock progressif instrumental comme la bande-son d’un film fictif.
Ah, Arena! Un des grands noms du prog britannique, tendance néo, qui fait son grand retour avec The Seventh Degree of Separation. Alors pourquoi ne suis-je pas plus content?
Il est rare que, quand je parle de musique sur ce blog, je parle de morceaux isolés. Ou alors ce sont des concept-albums d’une heure. Je vais faire une exception avec PyT et Un temps inoubliable, extrait de son futur album prévu pour 2012.
En voyant le titre de ce billet, j’entends déjà certains de mes confrères en progitude de balancer, sur un ton narquois, « c’est à c’t’heure-ci qu’t’arrives? »
Cela fait un petit moment que Quartus Artifactus de From.UZ tourne dans mes playlists, ce qui est le signe d’une certaine perplexité face à cet OVNI jazz-prog ouzbek.
J’aime beaucoup Transatlantic, mais je dois avouer que je m’interroge sur leurs motivations devant More Never is Enough, leur nouvel album en concert.
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