En continuant à fouiller dans notre bibliothèque, en préparation de notre déménagement, je suis tombé sur un autre bouquin de Robert Heinlein que je n’avais pas lu, L’enfant tombé des étoiles.
C’est rare que je n’aime pas un bouquin, c’est encore plus rare que je finisse avec une impression qui ne peut guère se résumer autrement que par « dafuq? » How to Live Safely in a Science-Fictional Universe, de Charles Yu, entre pourtant dans cette catégorie.
Il y a bien un an de cela, je faisais un article pour partager mes lectures – en cours ou terminées sur Wattpad. Un an, c’est long, surtout quand on a mon rythme de lecture. Du coup, voici un nouveau coup de projecteur sur les textes que j’ai découvert depuis, sur Wattpad (surtout) et aussi sur Scribay.
Iskander était un janissaire, un esclave-soldat au service des Turcs, jusqu’à ce qu’il s’évade, en compagnie d’un prince valache, un certain Vlad. C’est le point de départ des Ombres de Constantinople, le dernier tome en date de la série uchronique Jour J, avec toujours Jean-Pierre Pécau à la manœuvre.
Tout commence par le massacre d’enfants dans un petit village en Suède, la nuit de Walpurgis. Martin Gudesønn, capitaine de la police de Stockholm, enquête et ne tarde pas à se rendre compte que certaines personnes au sommet de l’État pourraient être derrière ce massacre et que, comme il y a un survivant, elles pourraient bien ne pas s’arrêter là.
En cette année 1878, dans la ville (fictive) de Rapid City – quelque part dans le nord-ouest de ce qui n’est pas encore les États-Unis – vit Karen Memery, l’héroïne quasi-éponyme du roman d’Elizabeth Bear Karen Memory.
Je devrais me réjouir que ce cinquième « épisode » de la bande dessinée Mermaid Project conclue le cycle. Au lieu de ça, je me retrouve quelque peu déçu après la lecture de ce dernier tome. Lors de ma chronique de l’épisode précédent, j’espérais pour celui une conclusion et des réponses, mais au final, si ce tome boucle en effet l’affaire en cours, il ne le fait que de façon peu satisfaisante.
Ce n’est pas un titre, c’est une profession de foi: Le Grand n’importe quoi, de J.M. Erre est un roman qui emprunte plus au pastiche surréaliste qu’à la science-fiction, une sorte de fable absurde qui est à la fois une tarte à la crème et un grand cri d’amour envers la littérature en générale et celle de l’imaginaire en particulier.
Bon, autant faire péter le suspens immédiatement: Apex, conclusion de la trilogie Nexus de Ramez Naam, est une digne conclusion de ce techno-thriller d’anticipation transhumaniste. Pour poser les choses, il commence par un échange nucléaire généralisé. Enfin, pas tout à fait, mais c’est pour dire.
On reconnaît souvent les séries marquantes à leur générique. Celle de Person of Interest commence avec la voix d’un des personnages, qui annonce:
« On vous surveille. Le gouvernement possède un dispositif secret. Une machine ! Elle vous espionne jour et nuit, sans relâche. Je le sais parce que c’est moi qui l’ai créé. »
Jusqu’à présent, les romans de John Scalzi que j’ai lus oscillaient entre le très bien (Old Man’s War) et le sympa-mais-peut-mieux-faire (Redshirts). Lock In, découvert via une chronique sur le site de Lune, est un roman d’anticipation flirtant avec le transhumanisme qui se situe assez clairement dans la première catégorie.
Je suis récemment retombé sur des illustrations de l’artiste suédois Simon Stålenhag, dont les peintures numériques montraient des éléments futuristes intégrés dans la campagne suédoise des années 1980.
Crux est le deuxième roman de la trilogie Nexus, de Ramez Naam, un techno-thriller d’anticipation transhumaniste, centré sur une drogue éponyme basée sur des nanomachines, qui agit comme un système d’exploitation pour ceux qui en prennent et qui leur permet de se connecter, partager des expériences… ou pire.
Bon, j’étais parti pour vous écrire une note sur Implosion, ce septième tome de Orbital, bande dessinée de science-fiction signé Pellé (dessin) et Runberg (dessin), dans la foulée des tomes précédents. Or, en consultant mes archives, je m’aperçois que je n’ai chroniqué que les deux premières « missions », à savoir les tomes un à quatre de la série.
Deuxième tome du diptyque sur Eusèbe, le si mignon lapin de De Cape et de Crocs, Si ce n’est toi… est une preuve supplémentaire que cette bande dessinée est une des meilleures du monde. Ouais, carrément! Ceci posé, j’avoue que… Continue Reading →
En faisant un peu de ménage pré-déménagement dans nos rayonnages, je suis tombé sur The Door into Summer, de Robert Heinlein, un autre classique que je n’avais pas lu et que j’ai dévoré en quelques soirées. Paru en 1957, c’est de la science-fiction de divertissement, un truc assez léger.
Le truc amusant, quand on se plonge dans certains auteurs dits « classiques » qui ont écrits à peu près à la même époque, c’est qu’on peut comparer les styles. Après avoir vu le premier tome de Fondation récemment, je me suis attaqué à L’homme qui vendit la Lune, de Robert Heinlein, un autre géant de la science-fiction des années 1940-1950.
Je pense l’avoir déjà écrit quelque part, mais les bibliothèques sont remplies de classiques que je n’ai pas lu. Même en science-fiction – surtout en science-fiction, d’ailleurs. L’œuvre d’Isaac Asimov en fait partie et, du coup, j’ai profité d’un exemplaire de Fondation – récupéré en book-crossing lors d’un des récents Mercredis de la SF – pour m’y lancer.
William Shakespeare a-t-il vraiment existé? C’est une question qui peut paraître absurde, mais qui a secoué le petit monde du théâtre et de la bonne société londonienne entre la fin du XIXe siècle et le début du XXe et c’est cette énigme à laquelle s’intéresse Le Testament de William S., dernier opus des aventures de Blake & Mortimer.
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