Rock et metal progressifs, science-fiction, jeu de rôle et divagations de vieux gauchiste; maison fondée en 2002

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Ihsahn: Àmr

Dans ma précédente chronique sur Ihsahn, je commençais en disant à quel point ce projet me perplexifiait à chaque fois. Vous pouvez aller relire cette introduction, parce qu’avec ce nouvel album, « Àmr », c’est rebelote!

Dimmu Borgir: Eonian

Si, il y a dix ans, on m’avait dit qu’un jour j’achèterais du black-metal et qu’en plus, j’aimerais ça, j’aurais ricané. Bon, à l’époque, je ne savais pas non plus que Bathory était du black-metal. Et, pour être tout à fait honnête, je ne suis pas 100% certain que Eonian, le nouvel album de Dimmu Borgir, en soit non plus.

Soup: Remedies

Il y a quatre ans, j’avais découvert le groupe norvégien Soup, avec son rock progressif mâtiné de post-rock – à moins que ce ne soit le contraire. Après un long hiatus, les voici qui reviennent avec Remedies – dont j’ai découvert l’existence grâce à un billet de Totoromoon.

Enslaved: E

Un jour, les membres d’un groupe de black-metal norvégien se sont demandés « OK, que pourrait-on faire pour sortir de la masse? » L’un d’entre eux a dit « Je sais: inspirons-nous du rock progressif! » Et le plus étonnant, c’est que ses petits camarades ont répondu « Ah oué, cool! » Et c’est ainsi qu’Enslaved a sorti un album comme E.

Enfin, je crois.

Leprous: Malina

Dans un commentaire sur le billet de samedi, je mentionnais que ma liste de lecture musicale comportait trois monstres: en plus d’Eva Can’t et d’In Tormentata Quiete, il y avait Malina, le nouvel album de Leprous.

Ulver: The Assassination of Julius Caesar

Je suppose que je devrais arrêter d’être surpris par le parcours de Ulver et oublier qu’il y a très longtemps, il s’agissait d’une formation de black-metal. Cela fait déjà pas mal de temps que le groupe a décidé d’explorer d’autres genre et leur dernier album, The Assassination of Julius Caesar, en est une illustration supplémentaire.

Ulver: Riverhead

OK, résolution de nouvelle année: arrêter d’utiliser mes expression féticho-débiles, du genre « le black-metal mène à tout, à condition d’en sortir ». Et, bien évidemment, voici le nouvel album d’Ulver, black-metaleux repentis, qui débarque avec Riverhead.

Sirenia: Dim Days of Dolor

On pourrait se poser la question si, avec Dim Days of Dolor, Sirenia a voulu écrire l’épitaphe de cette année 2016 qui s’achève. Bon, en même temps, je suppose que les personnes qui ont vécu 1942 doivent quelque peu ricaner.

Les brefs du samedi: Les Discrets / Leaves’ Eyes / Skeleton King

Le hasard ayant voulu que j’aie dans ma liste d’écoute exactement trois EP, j’en profite pour faire un tir groupé, façon « Restes du samedi », mais à la teinte metal, puisqu’on y trouve Les Discrets, Leaves’ Eyes et Skeleton King. Là, ce n’est pas la qualité, mais plutôt le format court qui m’empêche d’en faire des chroniques entières.

Circus Maximus: Havoc

Entre Circus Maximus et moi, ce n’est pas le grand amour et, du coup, j’ai pas mal hésité avant d’acheter Havoc, leur dernier album en date. Je n’avais pas vraiment été convaincu par les précédentes prestations de ce groupe norvégien de métal progressif auto-proclamé, comme Isolate ou Nine.

Les restes du samedi: Jusska / Oceans of Slumber / The Kovenant

Bon, c’est les vacances, donc on mange léger et les restes du samedi sont, par conséquent, un poil brefs aussi: seul deux albums – deux EP, plutôt – à signaler: Jusska, et Oceans of Slumber. Ah, et un truc bizarre aussi, The Kovenant.

Ihsahn: Arktis.

Je suis toujours mystifié avec les albums de Ihsahn: je ne sais pas si c’est lui qui change constamment de style ou moi qui oublie d’un coup sur l’autre, mais ce Arktis. m’a une fois de plus pris par surprise avec un mélange détonnant de heavy-metal classique et de black-metal, avec un – gros – soupçon de progressif par-dessus.

Rendezvous Point: Solar Storm

En écoutant Solar Storm, le premier album des Norvégiens de Rendezvous Point, découvert grâce à une récente chronique de Neoprog, je commence à croire que Haken et Leprous ont eu un impact considérable sur le rock progressif contemporain.

Gazpacho: Molok

Gazpacho est un groupe bizarre. Bon, OK, il y a le nom, mais pas que. Il y a aussi un amour pour les concepts bizarres et pour une musique lente, mais qui sait distiller des ambiances inquiétantes. Molok, leur dernier album en date, en est la preuve.

Leaves’ Eyes: King of Kings

Le métal symphonique, c’est un peu comme pour tout: il y a du bon et du moins bon; la Loi de Sturgeon, en quelque sorte. J’ai tendance à classer le groupe germano-norvégien Leaves’ Eyes dans la première catégorie et leur nouvel album, King of Kings, est plutôt du genre à me donner raison.

Manes: Be All End All

Il fut un temps où Manes était un groupe de black-metal norvégien; mais ça, c’était avant. Depuis quelques albums, le groupe se dirige vers des rivages bien plus improbables, comme le prouve ce Be All End All, dernier album en date du groupe, que l’on croyait pourtant défunt après Vilosophe, en 2003, et How the World Came to an End en 2007 (que j’ai manqué).

Gentle Knife

Dans la progosphère francophone, cet été, deux articles sur Neoprog et JesterProg ont quasi-simultanément salué Gentle Knife, groupe norvégien éponyme de son premier album. Du néo-prog léché, souvent contemplatif, dont la principale caractéristique est un duo vocal masculin-féminin.

Sirenia: The Seventh Life Path

Préparez vos cartons de metal-bingo, car voici The Seventh Life Path, le nouvel album de Sirenia, groupe norvégien de métal symphonique à voix féminine. On y trouve des chants féminins en clair, des chants masculins en growl, des orchestrations symphoniques et du goth inspiration Sisters of Mercy. La routine.

Umpfel: Cactus

Pour cette découverte pur prog qu’est Cactus, de Umpfel, c’est Neoprog que je dois remercier. Encore que « remercier » n’est peut-être pas le terme le plus approprié, puisque ce duo norvégien me laisse des impressions mitigées.

Leprous: The Congregation

Même si j’arrive quelque peu après la bataille – à savoir leur album Bilateral – je ne me lasse pas de Leprous et de son métal progressif atypique. Cela dit, l’écoute de The Congregation après celle de Coal me laisse comme un goût trompeur de trop peu. C’est un peu frustrant.

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