Décidément, la série Paris Maléfices prend du galon en avançant: ce troisième tome, Le Petit homme rouge des Tuileries, est le plus réussi du lot. Oh, il a toujours un peu les mêmes défauts des précédents, mais cette fois-ci, il y a une histoire qui me parait plus intéressante.
Quelque part au-dessus de Chamonix, un homme seul et sa mule robotique tentent de passer les cols pour arriver en Suisse. On est en 2030, la pandémie de grippe aviaire a fait un carnage et le réduit alpin est peut-être le dernier sanctuaire de l’humanité. C’est le premier tome de Soleil froid, intitulé H5N4.
Foin des séries kilométriques, avec USA über alles, Jean-Pierre Pécau a le bon goût de signer un triptyque uchronique dont le troisième et dernier tome, sous-titré “L’Ombre rouge”, vient donc de sortir ces jours.
Stupor Mundi, vingt-quatrième tome de la série uchronique Jour J et suite du vingt-deuxième, L’Empire des Steppes, reprend les choses là où elles étaient restées. À Karakorum, l’ambassade chrétienne auprès du Grand Khan ne se passe pas très bien: Guillaume, le moine franciscain, et son maître Matteo, sont esclaves des Mongols et ils voient arriver Renaud, le frère de Guillaume et Aleksander, le mercenaire.
Pour ce vingt-troisième tome – eh oui, déjà! – la série uchronique Jour J nous offre une balade loin de ses habituels rivages franco-américains: La République des Esclaves traite en effet de la rébellion de Spartacus, en 71 avant notre ère et imagine le destin de son armée d’esclaves qui réussit à s’embarquer pour la Sicile et y fonder une république indépendante.
Après un premier tome prometteur, la nouvelle trilogie uchronique signée Jean-Pierre Pécau USA über alles revient et, pour le coup, sort l’artillerie lourde. Par “artillerie lourde”, j’entends surtout les gros avions qui tachent, à commencer par le bombardier Thunderbird, croisement entre un Amerikabomber signé Lippisch et un V-bomber anglais, revu et corrigé par Dassault.
En l’an de grâce 1242, la Chrétienté est aux abois: les Mongols ont ravagé l’est de l’Europe, pillé Rome et l’Italie et, désormais, ils sont sur le Rhin. C’est le point de départ de L’Empire des steppes, vingt-deuxième tome de la série uchronique Jour J.
Ceux qui lisent ce blog depuis un moment risquent, à la lecture du titre, de se demander si leur tonton Alias préféré (car unique) a finalement sombré dans l’Alzheimer profond et commencé à rechroniquer ses vieux billets. Rassurez-vous, ce titre – 1940 – Et si la France avait continué la guerre? – s’applique à la nouvelle bande dessinée uchronique de Jean-Pierre Pécau, inspirée par la fameuse Fantasque Time Line, dont le premier tome vient de sortir.
Troisième partie de la trilogie “Oméga”, Le Crépuscule des Damnés est également le vingt-et-unième tome de la bande dessinée uchronique Jour J, scénarisée par Jean-Pierre Pécau et Fred Duval, avec une fois de plus Maza au dessin.
Disons-le d’entrée: Dragon Rouge, vingtième tome de la série uchronique Jour J, ne va pas trop se démarquer des histoires impliquant la France et/ou les USA, puisqu’en guise de point de divergence, on a un bombardement nucléaire américain pour briser le siège de Diên Biên Phu.
La dernière livraison de bandes dessinées uchroniques, variante “Seconde Guerre mondiale”, arrive avec la mini-série USA über Alles (trois tomes prévus), avec l’inévitable Jean-Pierre Pécau au scénario (et une autre vieille connaissance du genre au dessin, Maza).
Tout commence dans un petit village des Baléares, en 1930: un Français connu des autochtones sous le surnom d’El Loco, le fou, est assassiné en pleine rue. Son vrai nom: Raoul Villain. C’est La Vengeance de Jaurès éponyme de ce dix-neuvième tome de la série uchronique Jour J.
En 1943, la guerre entre la Grande-Bretagne et la France fasciste se poursuit depuis maintenant plus d’une année. Si les Anglais gardent la maîtrise des airs et des mers autour de leurs îles, les troupes françaises sont victorieuses au Proche-Orient. C’est dans ce contexte que commence Opération Charlemagne, dix-huitième tome de la série de BD uchroniques Jour J.
Dans ce deuxième tome de Paris Maléfices, intitulé L’Or du millième matin, on retrouve les deux agents du Bureau des affaires publiques, la très euphémistique et très mystérieuse officine chargée d’enquêter sur des phénomènes paranormaux dans la capitale, aux prises avec une entité dangereuse à la recherche d’une expérience alchimique.
Dans la nuit du 14 avril 1912, le Titanic, qui accomplit là son voyage inaugural, évite de justesse un immense iceberg grâce au jeune Max Waterson. C’est le point de départ de L’Étoile blanche – symbole de la White Star Line, qui possède le navire –, seizième tome de la série de bande dessinée uchronique Jour J.
Le quinzième tome de la collection de bande dessinée uchronique Jour J, intitulé La Secte de Nazareth pose une question intéressante et controversée: que se serait-il passé si Ponce-Pilate avait décidé de gracier Jésus? Le défaut est qu’à mon avis, la réponse n’est pas à la hauteur de la question.
Avec La malédiction de la Tour Saint-Jacques, premier tome de la nouvelle série de bande dessinée Paris Maléfices, Jean-Pierre Pécau commence à me faire un peu peur: non seulement il semble être un grand amateur d’uchronie (surtout si ça implique des avions débiles), mais il a aussi un intérêt pour le fantastique urbain en général et à Paris en particulier. J’ai l’impression d’être confronté à mon jumeau qui a réussi.
Au-dessus de la Manche, une traînée de feu: c’est l’avion du commandant Saint-Exupéry qui tombe en flammes et, avec lui, les espoirs d’un apaisement entre l’État français de Doriot et la Grande-Bretagne. Ainsi commence Oméga, la dernière livraison de la série de bande dessinées uchroniques “Jour J”.
Avant toute chose, une mise au point: l’étiquette “La conclusion de l’aventure” apposée sur la couverture de ce sixième tome de la série uchronique Le Grand Jeu, intitulé “Antinéa”, est un gros mensonge! Ce volume termine un cycle (et encore: sur un cliffhanger), mais ne conclut rien du tout.
Or donc, un capitaine d’origine gênoise nommé Colomb traversa un beau jour l’Océan atlantique à bord de trois navires pour découvrir ce qui s’avéra être l’Amérique. Fort bien, sauf que dans ce treizième tome de la série Jour J, intitulé Colomb Pacha, ledit capitaine a pris le prénom Abdel après sa conversion à l’Islam et navigue pour le compte de l’émir de Corfou.
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