Comme je l’avais mentionné dans mes billets précédents, j’ai passé trois jours à Washington, DC (là-bas, on dit juste “DC”, pour éviter de confondre avec l’état du même nom). Si j’étais méchant, je dirais que sans les mesures de sécurité à l’arrivée, ça aurait été quatre jours, mais ce serait très exagéré: je n’ai attendu qu’une heure et demie dans la file au contrôle des passeports.
Il fut un temps où, quand madame mon épouse manifestait le désir d’aller à la Japan Expo, sans aller jusqu’à faire la gueule, je manquais quelque peu d’enthousiasme. Seulement, depuis quelques années, le grand raout des otakus de France et de Navarre s’est adjoint une convention sœur, la Comic-Con, dédiée aux bandes dessinées, aux webséries et aux jeux.
Et me voilà donc à chroniquer un autre livre électronique écrit par quelqu’un que je connais – en l’occurrence Mon donjon, mon dragon, de Lilian Peschet, qui hante parfois ces pages sous le pseudonyme de ianian!
Avouez que, d’entrée de jeu, avoir Charles Stross et Cory Doctorow à l’affiche, ça fait un peu dream team pour ce The Rapture of the Nerds, roman de science-fiction décalé bien comme il faut que l’on pourrait résumer par “la Singularité vue par quelqu’un qui ne l’aime pas”.
Cruel dilemme, épisode N+1 : soit je vous parle des choses que je n’aime pas dans Formicapunk, le septième tome des Notes de Boulet, et je fais le billet le plus court de l’histoire de ce blog, soit je vous en dis tout le bien que j’en pense et je répète à l’envi les articles précédents.
Okay, c’était bizarre. La lecture de ce Zen and the Art of Motorcycle Maintenance, de Robert M. Pirsig, s’entend. Probablement en grande partie parce que j’en avais beaucoup entendu parler; c’est un peu un bouquin de référence dans le monde geeko-hacker, pour des raisons d’ailleurs assez faciles à comprendre après la lecture.
On ne change pas une équipe qui gagne: la quatrième saison de la Flander’s Company reprend très exactement les mêmes éléments des deuxième et troisième saisons, tout en y rajoutant un petit coup de volant scénaristique classique, certes, mais toujours efficace.
Or donc, je suis allé voir The Avengers, le dernier film de superhéros en date, et c’était très bien. Ne comptez d’ailleurs pas sur une chronique en longueur: certains de mes collègues blogueurs geeko-rôlistes l’ont déjà fait avant moi (et mieux… Continue Reading →
Règle numéro 34: quel que soit le sujet, il en existe une version porno. Aucune exception. C’est une des multiples règles à laquelle Liz Kavanaugh, inspectrice de la police écossaise dans les années 2020, est confrontée quotidiennement dans Rule 34, le dernier roman de Charles Stross.
Nick Frost et Simon Pegg campent deux Anglais fan de science-fiction qui décident de louer un camping-car pour faire “la route des OVNI”. C’est sur cette route que, par hasard, ils tombent sur Paul.
Or donc, pour une raison qui risque d’échapper à beaucoup d’entre vous, je suis retourné au Salon POP’up cette année.
Après Atrocity Archives et Jennifer Morgue, j’ai lu The Fuller Memorandum, troisième volume des aventures de Bob Howard, informaticien-démonologiste au service secret de Sa Majesté.
J’avais beaucoup entendu parler de The Atrocity Archives et de sa suite, The Jennifer Morgue, série signée Charles Stross et j’avais jusque là un peu hésité, principalement par anti-lovecraftisme primaire. C’est un tort, car la série est tout bonnement excellente.
Bon, autant dire qu’écrire à huit heures du matin un compte-rendu du concert d’ouverture de Trolls & Légendes, avec Borrachoz, Dunkelschön et le Naheulband, c’est un peu une gageure.
Ménage à 3 est un webcomic qui suit les aventures de Gary, un geek puceau de 29 ans qui vit en colocation avec une punkette bisexuelle surexcitée et une amazone blonde ultrapulmonée. C’est très sexe.
Hier soir, nous sommes allé voir Suckerpunch. Vous avez vu la bande-annonce, le reste du film est pareil: filles sexy, gros flingues, bastons furieuses et c’est à peu près tout.
Merci à l’artiste Gabriel von Satzger d’avoir clarifié les choses, via cette image et quelques autres. Je n’ai pas réussi à la retrouver dans le Tumblr, mais je suis fan de “Non! Avoir un blog ne fait pas de vous un… Continue Reading →
Histoire de pouvoir m’amuser avec de nouveaux jouets Web 2.0 pour geek lambda, je viens d’ouvrir un blog Tumblr pour rassembler des inspirations de la vraie vie pour l’univers de Tigres Volants.
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